🔥 Glaives de fer : 447ème jour de guerre –
100 otages encore détenus
🔹 Vatican : nouveau front.
Le pape François a provoqué une polémique avec ses déclarations sur Israël. Il a accusé Israël de « pulvériser des enfants palestiniens » à Gaza avec des mitrailleuses et de bombarder des écoles et des hôpitaux.
🔹 Otages : où sont-ils ?
Le Hamas nie que Mohammed Sinwar est responsable du retard dans la divulgation de la liste des otages vivants, affirmant que des difficultés de communication avec d’autres groupes terroristes sont en cause. Il a précisé que la liste complète serait fournie après le début de la trêve.
🔹Syrie : chaos similaire à une guerre civile.
La situation se détériore avec des affrontements violents entre les forces de sécurité du gouvernement et les partisans de l’ex-régime d’Assad. Les manifestations se multiplient, alimentées par des tensions communautaires, notamment entre les alaouites et les chiites. Le gouvernement intérimaire appelle à la répression.
🔹Iran : après l’effondrement d’Assad.
Un mécontentement interne grandit parmi les jeunes radicaux, qui critiquent la direction pour sa gestion de la situation. Ce schisme est attribué à la politique d’aliénation et de radicalisation d’Ali Khamenei, qui a promu une ligne dure et sélective de recrutement depuis 2010, alimentant ainsi la division au sein de l’organisation.
🔹Moyen-Orient : Israël face à la Turquie.
La chute du régime d’Assad modifie les rapports de force, avec un retour de la Turquie en tant que puissance régionale. Celle-ci poursuit ses ambitions impérialistes, notamment en développant des projets d’infrastructure en Syrie, ce qui pourrait entrer en conflit avec les intérêts israéliens.
🔹Yémen : défi croissant.
Israël envisage de frapper significativement les Houtis après un quatrième tir de missile. Bien que les frappes actuelles n’aient pas résolu le problème, Israël prévoit d’intensifier ses attaques après l’entrée en fonction du gouvernement Trump. Netanyahu a averti que ces derniers, comme le Hamas et le Hezbollah, apprendront la leçon.
🔹Telegraph : l’effondrement d’un empire.
Asma al-Assad, l’épouse de Bachar, lutte pour sa vie à Moscou. Ses chances de survie sont de 50%. Elle a été diagnostiquée avec une leucémie après avoir surmonté un cancer du sein en 2019. Ses médecins l’ont isolée pour éviter les infections.
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💶Taux de change :
Euro : 3,79 shekels
Dollar : 3,65 shekels
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🤗 Message matinal : Oui, ils existent, on les a tous vus !
Jamais nous n’avons assisté à autant de miracles en si peu de temps. Notre existence en tant que peuple juif dans le monde, et particulièrement en Israël, a vacillé. Le 7 octobre a marqué le début d’un long cheminement, à la fois physique et moral. Nous avons cru tomber, basculer et tourner à toute vitesse. Cependant, notre stabilité est semblable à celle d’une toupie : même si ses extrémités tournent et perdent le contrôle, son centre reste toujours droit et solide. Malgré les turbulences géopolitiques et les menaces provenant des ennemis d’Israël, le pays maintient un certain équilibre. Cela reflète la résilience du peuple juif à travers l’histoire.
Hannouka Sameah
Avraham Azoulay
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📕 La pensée quotidienne / Sivan Rahav-Meir
Message de Hannouka depuis la bande de Gaza
Le Rav Eliaav Turgeman, aumônier en réserve dans l’unité de reconnaissance 551, a participé hier depuis la bande de Gaza à une émission spéciale de Hannouka que j’ai animée. Bien que la connexion n’ait pas été idéale, ses messages étaient profondément clairs :
« La fête de Hannouka nous donne le langage précis pour décrire ce qui se passe actuellement. Lors de Sim’hat Torah 5784, nous avons vu une obscurité immense. Depuis, nous sommes des combattants de la lumière, ajoutant de la lumière au monde.
Nous combattons aujourd’hui un ennemi qui cherche à nous détruire physiquement. Mais il est essentiel de remarquer que lors de Hannouka, les Grecs ne voulaient pas nous tuer. Ils étaient prêts à ce que nous vivions, mais pas en tant que Juifs ! Ce qui les dérangeait, ce n’était pas notre existence physique, mais notre existence spirituelle. C’est pourquoi Hannouka est une fête de l’identité juive, de l’indépendance spirituelle. Ce n’était pas une bataille pour le corps, mais pour l’âme. Voilà l’histoire.
Dans presque chaque maison de Gaza, nous voyons des images d’Al Qods, des mosquées de Jérusalem. Nous aussi, bien sûr, sommes ici au nom de Jérusalem – mais d’une Jérusalem de lumière, de vie et de sainteté.
Nous sommes venus pour chasser l’obscurité. »
Ce soir – deuxième bougie. Hannouka Samea’h !
Quelques points essentiels :
• Les bougies doivent brûler environ 30 minutes. On ne peut pas utiliser leur lumière pour autre chose.
• Il est recommandé de rester à côté des bougies, prier, réciter des Psaumes, faire des demandes personnelles (cette année, les sujets ne manquent pas…), chanter, raconter l’histoire de Hannouka.
• Chaque jour, on ajoute une bougie.
• Le vendredi, on allume d’abord les bougies de Hannouka avant celles du Chabbat.
Ce sont les bases des lois de Hannouka. J’espère n’avoir rien oublié. Après tous les beaux messages sur la lumière, assurons-nous que ceux qui nous entourent savent concrètement comment illuminer le monde ce soir.
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« Le peuple d’Israël n’a pas peur d’un long cheminement. »
עם ישראל לא מפחד מדרך ארוכה
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