🔥 Glaives de fer : cent trente neuvième jour de guerre
👉 Ma’ale Adumim : Attentat !
Huit personnes ont été blessées, dont trois grièvement, dans une attaque à la fusillade. Les terroristes ont été abattus.
👉 Otages : du fond de leur trou.
Un haut responsable du Hamas, Oussama Hamdan, a évoqué la possibilité d’une trêve à Gaza avant le Ramadan, affirmant que la ‘’résistance palestinienne’’ est confiante dans sa stratégie. Il a critiqué le rôle des États-Unis, les accusant de complicité avec l’occupation israélienne, et a souligné que la récente guerre a mis fin au programme américain de normalisation dans la région.
👉 Hamas : l’étau se resserre.
Yahya Sinwar est toujours présent dans la bande de Gaza, malgré des rapports contradictoires dans les médias saoudiens affirmant le contraire. Sa présence est cruciale pour tout accord concernant les otages, car tant qu’il est en liberté et capable de communiquer, aucun prisonnier ne sera libéré. Son arrestation reste une priorité pour Tsahal, mais cela devient de plus en plus difficile en raison de la diminution des cachettes disponibles dans la bande de Gaza.
👉 CNN : date butoir.
Le gouvernement Biden cherche à obtenir un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas avant le Ramadan. Les États-Unis estiment que la libération des otages est essentielle pour atteindre une pause dans le conflit, voire mettre fin à la guerre. Cependant, l’attitude de Netanyahu quant à une pause ou à une confrontation à Rafah reste ambiguë.
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👉 Hezbollah : descend de l’arbre ?
Nasrallah exerce des pressions sur le Hamas pour qu’il assouplisse ses demandes élevées, y compris la libération de otages. Nasrallah estime avoir obtenu des résultats significatifs et est favorable à une cessation des hostilités. Cependant, le Hamas continue de résister, mais les observateurs pensent que leur position est de moins en moins tenable.
👉 Brésil : main dans la main.
Le secrétaire d’État américain, Blinken, a rencontré le président brésilien, Lula, malgré les commentaires controversés de ce dernier comparant Israël à Hitler. Les États-Unis ont souligné la force de leurs liens avec le Brésil et ont clarifié qu’ils ne souscrivent pas à de telles comparaisons avec la Shoah. Les deux parties ont également convenu de la nécessité de la création d’un État palestinien lors de la réunion.
👉 Eurovision : partialité politique.
L’annulation de la chanson israélienne prévue suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression artistique. La décision de l’Union européenne de radiodiffusion (EBU) de disqualifier « October Rain » soulève des questions sur la gestion des contenus politiques dans la compétition. La controverse met en lumière les tensions entre la liberté d’expression et la censure artistique.
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💵 Économie : investissements de dizaines de milliards de dollars.
Intel a conclu un accord majeur avec Microsoft pour la fabrication de puces d’une valeur totale de 15 milliards de dollars. Dans le cadre de sa stratégie Foundry, Intel ouvre de nouvelles usines de puces, principalement aux États-Unis et en Israël, dans le but de servir des sociétés telles qu’Apple, Google, Amazon et Nvidia.
💶 Taux de change :
💶 1 Euro : 3,98 shekels
💵 1 Dollar : 3,68 shekels
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⚽️ Sport : contre-attaque
Shagiv Yehzkel, le joueur israélien, a été expulsé de Turquie après avoir célébré un but en hommage aux otages enlevés par le Hamas. Son équipe turque l’a arrêté, interrogé et libéré, mais continue de le retenir, probablement pour éviter des sanctions de la FIFA. Yehzkel a déposé une plainte contre son club et demande une compensation de 1 260 000 euros pour rupture de contrat. La question reste de savoir si le club turc paiera pour son comportement et son soutien présumé au Hamas.
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📣 Annonces matinales :
🏖️ Pessah : 10 jours à Eilat avec AZvacances :
À l’hôtel Caesar, à 5 minutes de la mer, du 21 [la veille de Pessah] au 30.04 [lendemain de Mimouna]. Bateau, vélo, Tyoul, bowling, piscine et farniente dans une ambiance conviviale.
Nombre de places limité. Tel : 050-9013394 / 0524445541
📖 Un livre, une vie !
Ne laissez pas votre histoire dans un tiroir… Première rencontre gratuite et sans engagement. Je vous propose plusieurs rencontres, où je retranscrirai vos paroles en une belle histoire émouvante, la vôtre. Ensuite on l’imprimera, sous forme de roman, et vous l’offrirez à vos proches. En français ou en hébreu.
Contactez Avraham Azoulay au 0524445541
❤️ « Pinouk Lahayalim » est né !
Le dimanche après-midi, les buffets halavi sont préparés dans la cuisine de la synagogue Emouna, à Jérusalem, avec la bénédiction du Rav Yehouda Ben Ichay. Sous la supervision de Denis, ça coupe, ça lave, ça assaisonne, ça emballe dans la bonne humeur. L’équipe est composée essentiellement de grands-mères, certaines en béquilles, voire en déambulateur, pour participer à cette grande chaîne humaine et vivre l’histoire d’Israël.
Ah j’oubliais, vous voulez participer à l’aventure ?
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📣 Le supplément matinal
🤗 Message matinal : Que nous apprend cette guerre ?
En ce moment, nous, les Juifs, souffrons car nous avons l’impression, qui n’est pas fausse d’ailleurs, que l’on ne nous chérit plus. Qu’est-ce que l’on cherche dans la vie ? À être aimé. Oui, nous aimons être aimés. Or l’Occident en a marre d’Israël et de son Premier ministre borné qui veut aller jusqu’au bout pour en finir définitivement avec le terrorisme. Le fossé entre les perceptions occidentales et la réalité au Moyen-Orient est immense. Tout le monde a aimé Sharon Za’’l lorsqu’il s’est retiré de Gaza sans aucune condition, montrant ainsi son engagement pour la paix. Résultat ?
Alors, rassurez-vous et cessez de vous émouvoir ! Quand tout le monde nous déteste, c’est bon signe. Cela signifie que nous sommes sur le bon chemin, celui de la justice et d’un avenir plus radieux. Aucune nation arabe n’a réellement soutenu les Palestiniens dans leurs conflits avec Israël. Jamais les Arabes n’ont connu un Israël aussi déterminé, aussi ‘’fou’’, aussi fort. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle tous veulent signer des accords, prétextant l’état palestinien qui les fatigue autant que nous.
Je le redis une fois de plus, la clairvoyance de Bibi et sa fermeté nous mènent vers un véritable dénouement. Laissons-le faire !
A A
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💡 Analyse : « Non à tout prix » par Meyer Bouzaglo
La question de répondre aux demandes du Hamas n’a rien à voir avec une position religieuse ou laïque, ni avec la droite ou la gauche. Elle découle de la question de savoir si nous voulons nous maintenir dans cette région.
Arrêter les combats n’est pas un prix que tout État peut payer en échange de la libération des otages. Cette demande, nouvelle dans le conflit israélo-palestinien, est apparue pendant la guerre des roquettes.
Les demandes palestiniennes en matière de kidnapping ont augmenté au fil des ans, et Israël y a répondu, ce qui a renforcé leur appétit pour une demande irréaliste. En effet, il n’y a pas d’autre choix si nous voulons survivre. Cependant, céder à ces demandes ne fait pas que dissuader les terroristes d’organiser des attaques – ils savent que s’ils sont arrêtés, ils seront finalement libérés en héros pour leur famille. Céder ici compromet même la possibilité de réponse de l’armée, et en fait, abandonne complètement l’utilisation de la force militaire. Dans cette situation, la demande de cesser les hostilités signifie en fait que vous avez une armée mais vous ne pouvez pas l’utiliser.
Peut-on établir un État sans armée ? Les Palestiniens ont-ils une raison de parvenir à un arrangement sans l’armée israélienne ? Nous discutons aujourd’hui de savoir si l’affaiblissement du Hamas, parrainé par le Qatar, est possible. Je ne rentre pas dans ce débat, mais au cours de la lutte, un nouvel objectif a été créé, celui de définir une ligne rouge concernant le paiement des kidnappings.
Même si l’affaiblissement du Hamas est impossible, nous ne devons pas nous rendre ici. Les décisions des rabbins et les affirmations comme celles-ci et d’autres sur l’importance de la rançon des captifs ne tiennent pas compte de la situation dans laquelle nous nous trouvons. Selon un sondage de l’Institut national de recherche sur la sécurité, 28 % sont en faveur du retour des captifs à tout prix. Autrement dit, même au prix de l’arrêt des combats et du retrait de Gaza. Je suppose qu’ils pensent qu’il est impossible de déraciner le Hamas, ou qu’ils ne peuvent pas supporter la douleur des captifs.
Il est possible de comprendre les demandes des familles et de ceux qui les accompagnent d’agir pour libérer les captifs à tout prix – personne ne peut les blâmer. En revanche, une grave atteinte à la capacité de réponse de l’armée est en jeu, avec toutes les implications géopolitiques pour l’environnement ; et alors que le Hezbollah nous regarde et apprend que nous libérerons des captifs à tout prix, y compris l’arrêt des combats, nous ne devrions pas céder ici et accepter cette demande. Il y a des signes encourageants que le message est en train de s’infiltrer dans l’esprit de nos ennemis : la destruction de Gaza et les nombreux morts palestiniens sont attribués au Hamas.
Abu Mazen demande au Hamas de libérer les captifs et de ne pas mettre en danger les Palestiniens. Pour nous, l’équation a déjà changé : Benny Gantz parle de menacer de rentrer à Rafa si les captifs ne sont pas libérés.
Il y a l’espoir qu’un nouvel accord soit conclu ici pour un échange graduel, qui réduira progressivement le coût de ce qui est en jeu. Le retour des otages en échange de la vie des dirigeants du Hamas et de ses terroristes. Des centaines de nos meilleurs fils ont payé de leur vie et des milliers de blessés avec nous pour atteindre cet objectif. La capitulation ici signifie non seulement abandonner l’élimination du Hamas, mais leur accorder un succès qu’ils n’auraient jamais rêvé avant le massacre – neutraliser Tsahal. La satisfaction de ces demandes étranges libérera les captifs d’aujourd’hui, mais elle invitera des enlèvements accompagnés d’attaques et de kidnappings sur un cessez-le-feu.
En effet, si nous avions répondu à leurs demandes à tout prix, comme certains l’ont affirmé il y a quelques semaines, nous n’aurions pas atteint cet objectif. Quel est le prix à payer pour libérer nos frères et sœurs captifs par des monstres humains ? C’est un débat public. Faire pression sur nos dirigeants pour qu’ils clarifient l’importance suprême de la libération sans qu’il soit possible de le faire est légitime.
D’autre part, les dirigeants de la guerre à Gaza sont appelés à jouer leur rôle, et au moins à empêcher le Hamas de réaliser des gains sous la forme d’un cessez-le-feu ou de longues trêves. C’est également la position majoritaire en Israël.
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📕 Le message de Sivan Rahav Meir : Qu’ai-je appris de deux familles converties ?
La seule personne sur cette photo qui soit née juive, c’est moi. Tous ici se sont convertis et ont fait leur alyah. Deux familles complètes, une originaire de Nouvelle-Zélande et une du Maryland aux États-Unis. Ils vivent désormais dans la localité de Dolev.
Ces jours-ci, Elia (la mignonne à côté de moi) célèbre sa Bat Mitzvah. Elle a demandé à m’interviewer. Finalement, bien sûr, je l’ai interviewée elle. Et eux. Et qu’est-ce que j’ai entendu ?
« La Nouvelle-Zélande est verte, mais elle nous semblait sèche par rapport à Israël », « J’avais l’impression que je n’avais pas d’air à l’étranger, que c’est seulement ici que je peux vraiment respirer, à pleins poumons », « Ça me fait rire que les Israéliens me demandent comment j’ai quitté le Maryland, ou pourquoi j’ai pris sur moi d’accomplir les mitsvot. Malgré les difficultés, les crises et les défis, les Juifs ne comprennent pas parfois quel trésor ils possèdent, quel privilège ils ont. Ils prennent cela pour acquis. »
Il n’y a pas si longtemps, nous avons lu la parachat Ytro, qui vient vers le peuple d’Israël de l’extérieur. Il est exposé à l’histoire juive et décide de se convertir et de rejoindre ce peuple . Également dans le Cantique des degrés (shirei maalot), dans le livre des Psaumes, le verset « Et que les nations disent : Hachem a fait de grandes choses pour ces gens », et alors seulement il est écrit : « Hachem a fait de grandes choses à notre égard, soyons heureux»(126,2-3). Parfois, les Nations voient l’ampleur et la signification des événements de l’extérieur.
Je pense que cela vaut la peine de s’asseoir avec des Guer Tzedek ( convertis authentiques ) de temps en temps, juste pour secouer notre poussière et se rappeler qui nous sommes.
Merci de nous avoir renforcés.
Mazel Tov.
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7500 personnes, en Israël et en France, la reçoivent tous les matins.
Elle est relayée par le groupe Golda Events-Léa Tov : https://did.li/TudZH et le site : tribunejuive.info
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עם ישראל לא מפחד מדרך ארוכה
« Le peuple d’Israël n’a pas peur d’un long cheminement. »
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