🔥 Glaives de fer : cent trente cinquième jour de guerre
🕯️ Le porte-parole de l’armée a annoncé samedi soir que le soldat de réserve Uri Ya’ish, âgé de 27 ans et originaire de Modi’in, est le deuxième mort dans l’attaque par balles d’hier à la jonction de Ram.
🕯️ Dans l’attentat, Yeshayahu Gartenberg, âgé de 23 ans et originaire de Modi’in Illit, a également été tué. Gartenberg a étudié à la yeshiva Kiryat Malachi et auparavant à la yeshiva Ma’or HaTalmud à Rehovot.
Que leur mémoire soit bénie !
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👉 Otages : conférence de presse du Premier Ministre
Netanyahou a insisté sur la nécessité de maintenir une pression militaire forte pour obtenir la libération des otages. Il a dénoncé les exigences jugées « absurdes » du Hamas et a affirmé que leur acceptation équivaudrait à une défaite pour Israël. Il a souligné l’engagement continu d’Israël à ramener tous les otages chez eux, soulignant que jusqu’à présent, 112 prisonniers ont été libérés grâce à une approche combinant pression militaire et négociations fermes.
Benjamin Netanyahu a répondu au plan de l’administration Biden concernant la proclamation d’un État palestinien. Il a souligné la position d’Israël de ne pas se soumettre à des conditions internationales préalables pour tout arrangement futur avec les Palestiniens, affirmant que de telles résolutions devraient découler de négociations directes entre les parties concernées, sans conditions préalables.
👉 Tel Aviv : c’est reparti…
Des manifestations contre le gouvernement Netanyahou ont éclaté dans plusieurs villes d’Israël, notamment à Tel Aviv, où la rue Kaplan a été bloquée dans les deux sens par des manifestants appelant à des élections législatives. Des affrontements ont également eu lieu à Césarée et à Jérusalem. La présidente du parti travailliste, Merav Michaeli a affirmé que Netanyahou manque de courage et craint de perdre le pouvoir. Elle a souligné les conséquences tragiques pour les otages et les soldats.
👉 Gaza : problèmes de communication
Le Hamas suscite des soupçons en Israël en raison de ses exigences jugées excessives et impossibles à réaliser. Certains responsables israéliens estiment que même en cas de consentement, il sera difficile de concrétiser un accord en raison de ces difficultés.
👉 Égypte : éventuelle fuite de Gazaouis
Le ministre égyptien des Affaires étrangères a déclaré que son pays ferait face à toute présence de réfugiés de Gaza sur son territoire. En préparation d’une éventuelle offensive israélienne à Rafah, l’Égypte prévoit une zone d’accueil de plus de 10 kilomètres carrés pour des milliers de réfugiés.
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👉 UNRWA : larmoyant
Philippe Lazzarini, a déclaré dans un journal suisse : « Nous sommes actuellement confrontés à une campagne israélienne étendue et concentrée dont le but est de détruire l’UNRWA ».
👉 Hezbollah : suivis et éliminations
Suite aux avertissements de Nasrallah sur l’arsenal d’Israël, de nouvelles informations dramatiques émergent. Israël est accusé de mener des opérations de renseignement réussies en piratant les téléphones des dirigeants et militants clés. Israël aurait un contrôle quasi total sur les réseaux téléphoniques libanais.
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💵 Économie : mesures d’encouragement
Le ministre des Transports Miri Regev a décidé de réduire les frais aéroportuaires pour les compagnies low-cost afin de les inciter à revenir en Israël. Cette décision intervient après que Ryanair a annoncé l’arrêt de ses vols vers Israël en raison des frais élevés.
💶 Taux de change :
💶 1 Euro : 3,89 shekels
💵 1 Dollar : 3,61 shekels
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⚽️ Sport : le surdoué du ballon rond
Arsenal a envoyé des éclaireurs pour observer le joueur israélien Oscar Gloukh lors de son match contre Blau-Weiß Linz, où il a réalisé une performance solide malgré le score de 1-1. Salzbourg pourrait demander environ 21 millions d’euros pour le transfert de Gloukh, un montant trois fois supérieur à ce que Maccabi Tel Aviv a payé pour l’acquérir l’année dernière.
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📣 Annonces matinales :
🏖️ Pessah : 10 jours à Eilat avec AZvacances :
À l’hôtel Caesar, à 5 minutes de la mer, du 21 [la veille de Pessah] au 30.04 [lendemain de Mimouna]. Bateau, vélo, Tyoul, bowling, piscine et farniente dans une ambiance conviviale.
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Ne laissez pas votre histoire dans un tiroir… Première rencontre gratuite et sans engagement. Je vous propose plusieurs rencontres, où je retranscrirai vos paroles en une belle histoire émouvante, la vôtre. Ensuite on l’imprimera, sous forme de roman, et vous l’offrirez à vos proches. En français ou en hébreu.
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📣 Le supplément matinal
🤗 Message matinal : paysage d’Israël
Ces voisins qui nous entourent sont atteints de la même maladie obsessionnelle. Elle ne semble pas avoir été décelée par le monde occidental. Je suis sûr que certains dirigeants arabes plus perspicaces ont compris mais se taisent. En fait, ce monde palestinien-hamassien-hezbollahien souffre d’une démence meurtrière. Ils sont incapables de s’assumer seuls sans tutelle militaire israélienne, sinon ils tuent, tout simplement. Et l’oncle Joe, tout fier, veut nous présenter un programme d’avenir où ces dangereux malades pourraient s’auto-gérer dans un état indépendant, sans aucune surveillance, et créer tranquillement un nouvel univers destiné à leur unique obsession : la fin d’Israël. Qui désire un voisin aussi nuisible dans son quartier ou dans son immeuble ?
A A
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💡 Analyse : Qui craint Rafah ? par la Prof Eyal Zisser
L’Égypte ne veut pas de réfugiés palestiniens sur son territoire et cherche à s’assurer qu’une action israélienne à Rafah ne conduira pas à une fuite incontrôlable des Gazaouis vers leur territoire.
C’est pour la première fois depuis des années qu’Israël se lance dans une guerre dans le but de vaincre et de décider du sort de l’ennemi, et non seulement de le frapper dans une tentative de le dissuader et de gagner un répit temporaire jusqu’au prochain cycle.
Pour la première fois également, Israël se rapproche de la réalisation de ses objectifs à part entière : détruire les capacités militaires du Hamas et mettre fin à son pouvoir. Gaza ajoutera à notre défi celui du terrorisme sous forme d’attaques isolées – les Gazaouis sont imprégnés de haine envers Israël dès leur naissance – mais le Hamas, en tant que force militaire et politique organisée, cessera d’exister.
Il semble que le problème ne réside pas en Égypte ou aux États-Unis, mais précisément chez nous. On espère que personne en Israël ne sera perturbé par les implications de l’action attendue à Rafah, qui signifie la victoire et la réalisation des objectifs de guerre. L’action obligera Israël à faire face à la question du « jour d’après » et aux décisions difficiles qui en découleront, des décisions que nous évitons pour le moment.
Dans le nord de la bande de Gaza et à Khan Younès, les forces combattantes du Hamas ont été vaincues et leur retrait a laissé derrière eux le vide et le chaos, ne laissant que la ville de Rafah et ses environs – son dernier bastion dans la bande, qui est également maintenant sur la sellette. En prenant le contrôle de l’espace de Rafah et de son côté égyptien, toute la bande de Gaza se retrouvera en fait sous le contrôle sécuritaire israélien – même si le Hamas, en tant qu’idéologie de guerre et de meurtre et en tant que pions du terrorisme, continuera probablement à exister et à bénéficier du soutien de nombreux Gazaouis.
Comme prévu, juste avant qu’Israël ne soit sur le point de vaincre le Hamas – dans le monde entier, même parmi nos amis, des voix s’élèvent en appelant à arrêter la vague israélienne juste avant la victoire et à éviter d’agir à Rafah, ce qui donnerait au Hamas une bouée de sauvetage.
Il aurait été possible d’éviter le dilemme de Rafah, surtout face à l’Égypte et aux États-Unis, si l’armée israélienne avait commencé son opération militaire en attaquant le sud de la bande de Gaza, en prenant le contrôle de Rafah et de la frontière – et essentiellement de la route des évasions depuis l’Égypte – puis seulement après s’être dirigée vers le nord vers les autres bastions du Hamas à Gaza. Mais lorsque nous sommes entrés en guerre, la direction politique et militaire en Israël semblait supposer que nous avions une fenêtre de temps étroite avant qu’un cessez-le-feu ne nous soit imposé, et donc elle a demandé à frapper le Hamas avec force dans ses forteresses à Gaza. Elle n’a probablement pas cru ses propres déclarations, selon lesquelles cette fois-ci nous irons jusqu’au bout.
Israël a cependant eu une grâce, ainsi que des amitiés dans le monde et surtout aux États-Unis, ce qui lui donne une marge de manœuvre complète et empêche toute tentative de lui imposer un cessez-le-feu avant l’heure. Ainsi est venue aussi la tourmente de Rafah.
L’opération militaire rapprochée de Tsahal pour affaiblir le Hamas à Rafah suscite de vives critiques. Certains viennent de ceux qui nient le droit d’Israël à se défendre contre ses ennemis et qui, de toute façon, s’opposent à toute action en Gaza, même limitée. Mais ce qui est important, ce sont les préoccupations exprimées au Caire et à Washington, des préoccupations qui peuvent être dissipées par un dialogue constructif avec l’Égypte et les États-Unis.
L’Égypte ne se soucie pas vraiment du Hamas. Au contraire – dès que l’organisation terroriste a pris le contrôle de la bande de Gaza, elle a insisté auprès d’Israël pour qu’il le renverse par la force. Le Hamas – et aussi son mouvement frère, les Frères musulmans en Égypte – sont une menace pour Le Caire, et donc il ne faut pas s’attendre à ce qu’il verse une larme si le pouvoir du Hamas à Gaza est renversé. Mais le pouvoir égyptien ne veut pas de réfugiés palestiniens sur son territoire, et il cherche à s’assurer qu’une action israélienne à Rafah ne conduira pas à une fuite incontrôlable des Gazaouis vers son territoire.
Le gouvernement Biden veut paraître sensible à la souffrance de la population civile dans la bande de Gaza aux yeux de ses partisans du côté gauche de l’échiquier politique américain, c’est pourquoi il veut s’assurer qu’une action israélienne ne causera pas un grand nombre de victimes, ce qui susciterait des critiques à la fois à la maison et dans les médias américains.
Ce sont des problèmes qui peuvent être résolus facilement, comme mentionné. Mais il semble que le problème ne réside pas en Égypte ou aux États-Unis, mais précisément chez nous. On espère que personne en Israël ne sera perturbé par les implications de l’action attendue à Rafah, qui signifie la victoire et la réalisation des objectifs de guerre. L’action obligera Israël à faire face à la question du « jour d’après » et aux décisions difficiles qui en découleront, des décisions que nous évitons pour le moment.
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📕 Le message de Sivan Rahav Meir : Moshé Rabbenou
Vendredi nous avons marqué le 7 Adar.
Voici 5 points relatifs à ce jour particulier de notre calendrier :
1- Tout d’abord le 7 Adar est connu comme étant le jour de la naissance et du départ de ce monde (même si l’on ignore le lieu exact de sa sépulture) de Moshé Rabbenou.
2- Ce jour a été retenu pour marquer l’anniversaire du départ de ce monde de tous ceux dont on ignore la date exacte du décès ou de ceux qui n’ont pas reçus de sépulture.
Malheureusement, il y a tellement de nouveaux noms cette année qu’il faudra désormais honorer à cette date.
Ce matin même, Yaël Ader, la mère de Tamir Ader qui a été enlevé le 7 octobre et dont le corps se trouve à Gaza, m’a écrit qu’il fallait sensibiliser les gens à ce sujet.
3- Le jour du départ de ce monde d’un tzaddik est un jour propice à la prière à l’étude de la Thora et bien sûr ce jour-là, on allume une bougie pour l’élévation de son âme.
4- Avec les années, c’est aussi devenu un jour particulier pour les employés de la Hevra Kaddisha. Certains d’entre eux ont coutume de jeuner ce jour-là. Cette année nous avons tous pu estimer l’apport de ces personnes qui font un travail si difficile et si sacré. Nos ennemis cherchent par tous les moyens à profaner l’image de Dieu dans l’homme. Les personnes chargées de l’identification et de l’enterrement des victimes ont travaillé très dur ces derniers mois pour leur rendre dignité et honneur.
5- C’est aussi un jour qui doit nous permettre d’estimer les milliers d’années écoulées depuis l’époque de Moshé Rabbenou. Le voyage est long. L’histoire est à l’œuvre. Moshé Rabbenou a-t-il achevé l’œuvre de sa vie ? Il semble que son œuvre s’accomplisse encore à travers nous. Ses prophéties continuent de se réaliser et de progresser. Malheureusement, il y’a aussi des crises en chemin. Il nous a conduits pendant 40 ans dans le désert, et n’a finalement pas pu entrer en terre d’Israël, la terre promise. Nous avançons et nous progressons.
A sa mémoire et à la mémoire de bien d’autres de nos frères et sœurs.
En espérant que le mois de Adar deviendra à jamais un mois de joie et de bonnes nouvelles.
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7500 personnes, en Israël et en France, la reçoivent tous les matins.
Elle est relayée par le groupe Golda Events-Léa Tov : https://did.li/TudZH et le site : tribunejuive.info
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עם ישראל לא מפחד מדרך ארוכה
« Le peuple d’Israël n’a pas peur d’un long cheminement. »
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