Venez courir avec nous ! Marathon de Jérusalem, vendredi 8 mars 2024…
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🔥 Glaives de fer : cent vingt troisième jour de guerre
🕯️ Le sous-lieutenant David Shakuri, âgé de 30 ans et originaire de Rehovot, officier combattant dans le génie militaire est tombé au combat dans le nord de la bande de Gaza. « Un homme pur, un professionnel avec une grâce divine. » הי״ד
Que son souvenir soit béni.
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👉 Wall Street Journal : le supplice continue
Israël estime que jusqu’à 50 des otages détenus par le Hamas pourraient ne pas être en vie, selon des sources égyptiennes qui ont divulgué des détails des pourparlers.
👉 Khan Younes : le terrorisme et l’argent
Tsahal a découvert des preuves de financement iranien du Hamas et de son leader Yahya Sinwar. Plus de 150 millions de dollars transférés d’Iran au Hamas entre 2014 et 2020. 20 millions de shekels en espèces saisis dans un tunnel de Gaza.
👉 Hamas : début de processus
L’organisation terroriste demande un cessez-le-feu total. Bien que les Israéliens aient initialement considéré la réponse comme un refus tacite, des sources indiquent que les négociations ne font que commencer.
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👉 Arabie saoudite : plus dur que Hamas
Le ministère des Affaires étrangères saoudien a déclaré mardi soir aux États-Unis qu’il n’y aura pas de normalisation avec Israël sans la reconnaissance d’un « État palestinien indépendant dans les frontières de 1967 » et l’arrêt de « l’agression » dans la bande de Gaza.
👉 USA : présence militaire renforcée dans la région
Le Pentagone annonce que 3 soldats américains ont été tués, deux grièvement blessées, neuf ont subi des blessures graves et 132 des blessures légères, dans des attaques menées par des milices pro-iraniennes en Irak, en Syrie et en Jordanie depuis octobre 2023.
👉 People : saison plus dure et moins humaine
Lior Raz, l’acteur principal de la série israélienne Fauda, a révélé que le scénario de la prochaine saison a été modifié suite aux événements du 7 octobre 2023, date à laquelle une série d’attaques terroristes a frappé Israël.
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💵 Économie : renforce les liens économiques
Le président argentin Javier Milei est en visite en Israël pour la première fois depuis son élection. Il annonce le transfert de l’ambassade d’Argentine de Tel Aviv à Jérusalem. M. Milei a visité le Kotel et a exprimé son soutien à Israël.
💶 Taux de change :
💶 1 Euro : 3,92 shekels
💵 1 Dollar : 3,65 shekels
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⚽️ Sport : décision troublante
José Rodríguez, le milieu de terrain espagnol de l’Hapoel Tel Aviv, a effacé tous ses tweets en faveur d’Israël après avoir reçu une offre de la Turquie. Bien qu’il ait exprimé son soutien à Israël depuis le début de la guerre, malgré des menaces reçues, il semble maintenant se rapprocher de signer avec le club d’Erdogan.
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🤗 Message matinal : négocier avec le diable
La cruauté du Hamas est égale à son culot. Alors que les dirigeants fuient de tunnel en tunnel, ils ont le temps d’envoyer en courant un WhatsApp pour dire Non, ou exiger un arrêt total de la guerre, et bien sûr demander à rester au pouvoir.
Jusqu’où va l’entêtement de ces monstres et surtout la faiblesse de l’occident ? “Dîtes leur oui et qu’on en finisse ! “ doit-on penser dans les capitales européennes.
Et Israël dans tout ça ? Nous sommes les premières victimes de ce chantage impensable. Alors qu’ils sont traqués comme des rats, ils dictent les conditions…
De quoi se souviendrons nous quand tout sera fini ?
De notre résilience ou de notre fragilité face à leur cruauté ?
Si nos soldats à Gaza devaient eux décider, croyez-moi, Sinwar serait déjà sorti avec le drapeau blanc et nos otages.
A A
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💡 Analyse : Le « maintenant » [A’hshav] qui survient au détriment du ‘’futur’’.
Par le rav Eliézer Haïm Shnovald, directeur des yeshivot hesder « Meïr Har’el » et colonel de réserve dans l’armée de la brigade Yiftah.
Ils nous connaissent pour notre moralité, notre sensibilité à la vie humaine, et notre solidarité nationale
Le retour des otages dans leurs foyers est un grand commandement et aussi un devoir national suprême. Nos cœurs sont remplis de préoccupation pour eux. Ils sont retenus par des monstres sanguinaires, des tortionnaires sans cœur, et chaque jour qui passe pour eux est une souffrance inimaginable.
Certains d’entre eux souffrent également de problèmes de santé qui pourraient mettre leur vie en danger. Nous prenons leurs familles à cœur et prions chaque jour pour leur libération et leur sécurité.
L’État d’Israël s’engage à ramener les captifs dès le premier jour de la guerre. Les meilleurs esprits collectent des informations, recherchent des moyens de les ramener, agissent sur le plan international pour faire pression en faveur de leur libération. Les forces de Tsahal sur le terrain font tout leur possible pour les localiser et gèrent la complexité des combats de manière à les protéger. Dans les combats en surface et souterrains.
Notre ennemi impitoyable, dépourvu d’humanité, les a capturés avec cruauté le jour de la fête de Simhat Torah, dans le cadre de leur plan stratégique. Les enlèvements sont une « arme » stratégique qu’ils utilisent depuis des décennies. Ils nous connaissent pour notre moralité, notre sensibilité à la vie humaine, et notre solidarité nationale. Pour eux, ce n’est pas un avantage mais un point faible qu’ils peuvent exploiter pour nous placer devant un dilemme monstrueux. Comme une carte à jouer et comme une « assurance » qui nous empêchera de décider de la guerre, de leur imposer un lourd tribut pour le massacre qu’ils ont perpétré, et de répondre à l’avertissement.
L’objectif ultime commun de nos ennemis qui nous entourent, proches et lointains, est notre destruction : « Disons : Effaçons-les du milieu des nations, et qu’on ne se souvienne plus du nom d’Israël » (Psaumes 83:5). En conséquence, ils mènent maintenant une « négociation » très subtile tout en menant une guerre psychologique intense. Leur principale exigence est que le retour des captifs « maintenant » soit conditionné à un arrêt total de la guerre, à un retrait de Gaza, et à la libération de tous les terroristes qui ont commis les atrocités. Notre soumission leur permettra de revendiquer la victoire. Leur rêve est de répéter la victoire de Salah ad-Din qui a battu les Croisés au XIIe siècle. Ils n’accepteront pas moins que cela. Quiconque s’amuse avec d’autres options dans « la négociation » les méprise, (un mépris qui était probablement l’une des raisons de la négligence lors de la fête de Simhat Torah) et se met en danger.
C’est un « prix » que nous ne devons pas payer ! Même s’il nous ramène une partie de nos précieux captifs « maintenant », il mettra en danger beaucoup d’autres dans le futur. De notre expérience passée, nous avons appris que la soumission à leurs dictats encourage de nouveaux enlèvements dans toutes les parties du pays et dans le monde. Les terroristes libérés dans ces « transactions » ont assassiné des centaines d’autres personnes. Notre soumission au Hamas serait une preuve de notre faiblesse et renforcerait la motivation de nos autres ennemis du monde entier à essayer de nous détruire. Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour l’empêcher et pour leur inculquer la conscience que tout essai similaire à l’avenir aura un prix douloureux pour eux.
En ces jours-ci, nous complétons la conquête de Khan Yunes, tout en menant une bataille féroce de nos soldats avec détermination, dans les combats en surface et souterrains. Parallèlement, le ministre de la Défense a annoncé que l’armée se prépare à la conquête de Rafah. L’anneau se resserre autour de leurs dirigeants. C’est probablement aussi la seule garantie sûre pour le retour des captifs à la maison, même si cela prend du temps et ne se produit pas « maintenant » et immédiatement.
La Torah traite de la guerre pour conquérir la terre : « Voici, j’envoie un ange devant toi pour te garder sur le chemin et pour te conduire au lieu que j’ai préparé » (Exode 23:20). Il était clair dès le début que la guerre pour la terre serait graduelle et prolongée. Elle ne se terminera pas « maintenant », d’un seul coup : « Je ne te chasserai pas de devant toi en une seule année, etc. Je te chasserai peu à peu de devant toi, jusqu’à ce que tu sois fécond, etc. » (Ibid. 29-30).
Selon le Zohar, c’est un principe fondamental. De nombreuses choses ne sont pas réalisables immédiatement ici et maintenant, mais plutôt comme un processus graduel, et la patience est payante : « Pendant que le Saint-Béni-Soit-Il les établit et les retire de l’exil, alors il leur ouvre une petite porte de lumière [qui est] très fine, puis une autre porte plus grande que celle-ci, jusqu’à ce que le Saint-Béni-Soit-Il leur ouvre des portes célestes supérieures ouvertes aux quatre vents du monde. etc. Et tout ce que le Saint-Béni-Soit-Il a fait pour Israël et pour les justes en eux, ainsi tous, et pas immédiatement. etc. Tel est Israël, comme il est dit (Exode 23:30) Je les chasserai peu à peu de devant toi, etc. Et ainsi pour quelqu’un qui vient pour guérir, ce n’est pas instantané, mais petit à petit jusqu’à ce qu’il se renforce. etc. » (Traduction du Zohar, Hahadach 101a).
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📕 Le message de Sivan Rahav Meir : Rabbi Yaakov Edelstein – Pour ces jours-ci
C’est le jour anniversaire de la mort de Rabbi Yaakov Edelstein, le rabbin de Ramat Hasharon et le rabbin de dizaines de milliers de personnes. Je me suis replongée dans le livre que nous avons écrit à son sujet, « L’Échelle de Yaakov », et j’ai choisi quelques outils et conseils qui peuvent être utiles, surtout en cette période :
• Lorsque les gens lui demandaient des segoulot, le rav leur parlait souvent d’un “moyen”, d’une segoula simple : l’auto-correction, l’amélioration de soi. Une amélioration pratique qu’ils sont censés apporter dans leur vie. Le petit-fils Dov Whiskey donne deux exemples : « Si vous savez que vous avez irrité quelqu’un, que vous l’avez offensé, le rav vous recommanderait d’aller le trouver pour faire la paix. Le rav parlait aussi beaucoup du Shabbat. Il nous a rappelé que le Shabat est source de bénédiction et a appelé chacun à respecter un peu plus le Shabbat, même dans les petites choses ».
• Lorsque les gens demandaient ce qu’ils devaient prendre sur eux, il les encourageait à céder , même lorsqu’ils pensaient avoir raison . Ne pas s’entêter , ne pas « chercher » où nous avons été blessés. « Quand une personne cède à une autre », dit-il, « même s’il s’agit simplement d’une file d’attente dans le bus ou chez le médecin c’est vraiment un moment privilégié pour cette personne pour formuler toutes ses demandes « .
• Il avait une phrase merveilleuse : « Il faut juger une personne avec indulgence, mais parfois il faut aussi la juger en reconnaissant une simple sottise et non une intention »…
• En temps de guerre ou de terrorisme, lorsque les enfants lui confiaient qu’ils avaient peur, il leur conseillait de mémoriser des versets, des chapitres de psaumes et des michnayot.
• Combien de fois a-t-il également fait une recommandation simple et pratique : commencer à faire de l’exercice. Une âme saine dans un corps sain.
• Une habitante de Ramat Hasharon raconte : « Je suis venue le voir inquiète, submergée même d’inquiétudes diverses. Je me souviens d’une phrase rassurante de la conversation avec lui : Une personne qui respecte l’autre n’aura jamais aucune inquiétude dans son cœur.
• À plusieurs reprises, il a envoyé des gens recevoir une bénédiction spécifique auprès des survivants de la Shoah des « personnes saintes qui ont survécus à l’épreuve ».
• Il a dit un jour : « Les sentiments de culpabilité font partie des machinations du mauvais penchant pour nous confondre et nous faire penser au passé plutôt qu’au futur.
• Comment gérer une crise ? Rabbi Noah Plai : rapporte « Un homme très riche est venu le voir après avoir perdu presque tout son argent. Je pensais que le rav le bénirait simplement pour qu’il redevienne riche, mais quand l’homme a demandé une bénédiction, le rabbin a dit lui des mots d’encouragement qui correspondent vraiment une vision du monde : Jusqu’à présent, vous étiez en première année. Vous avez fait face à une expérience : la richesse. Maintenant, vous passez en deuxième année, pour une expérience différente. Puissiez-vous y faire face aussi – et en sortir grandi. Cette bénédiction est à elle seule une leçon entière, c’est un regard différent sur notre monde, sur la manière de faire face aux défis.
À sa mémoire.
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« Le peuple d’Israël n’a pas peur d’un long cheminement. »
עם ישראל לא מפחד מדרך ארוכה
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