🔥 Glaives de fer : cent neuvième jour de guerre
La nouvelle est tombée ce matin, telle un couteau en plein cœur : Voici les noms de 10 des 21 soldats tombés à Gaza, d’un Tir de RPG en direction d’un char et de bâtiments remplis d’explosifs.
🕯️ L’ Adjudant Matan Laza, 32 ans, de Haïfa
🕯️ Le Sergent Hadar Kapeluk, 23 ans, de Mevo Beitar
🕯️ L’ Adjudant Sergey Gontmaher, 23 ans, de Ramat Gan
🕯️ Le Sergent Elkana Yehuda Sfez, de Kiryat Arba
🕯️ Le Sergent Youval Lopez, 27 ans, d’Alon Shvout
🕯️ Le Sergent chef Yoav Levy, 29 ans, de Yehud Monosson
🕯️ Le Sergent Nicolas Berger, 22 ans, de Jérusalem
🕯️ Le Sergent Cydrick Garin, 23 ans, de Tel Aviv
🕯️ L’ Adjudant Raphael Elias Mosheyoff, 33 ans, de Pardess Hanna
🕯️ L’ Adjudant Barak Haïm Ben Walid, 33 ans, de Rishon LeTsion
Que leur souvenir soit béni.
Hier sont aussi tombés à Gaza…
🕯️ Le lieutenant David Nati Alfas, 27 ans, de Beer Sheva, sergent-major dans la brigade 202 des parachutistes . הי״ד
🕯️ Le lieutenant Ilay Levy, 24 ans, de Tel Aviv, commandant de peloton dans la brigade 202 des parachutistes. הי״ד
🕯️ Le sergent Eyal Mevorach Twito, 22 ans, de Beit Gamliel, commandant de section dans la brigade 202 des parachutistes. הי״ד
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👉 Gaza : objectif final l’établissement d’un État palestinien
Israël aurait rejeté un plan proposé par cinq pays arabes, dont l’Arabie saoudite, pour « le jour d’après ». Le plan a pour but de favoriser la normalisation des relations entre l’Arabie saoudite et Israël. Israël l’a rejeté en raison des préoccupations liées à la question palestinienne.
👉 Otages : pas de réponse du Hamas
Israël a proposé au Hamas une trêve de deux mois en échange de la libération en 3 étapes de tous les otages. Israël aurait proposé au leadership du Hamas de quitter Gaza dans le cadre d’un cessez-le-feu. L’offre israélienne n’inclut pas la fin de la guerre ou la libération de tous les terroristes emprisonnés en Israël.
👉 Tsahal : transaction d’armement immédiate
Une délégation de sécurité israélienne aux États-Unis pour soutenir la poursuite des combats dans la bande de Gaza. La mission vise à introduire divers équipements militaires, y compris des munitions, des missiles, des véhicules blindés, et à faciliter l’acquisition d’avions et d’hélicoptères.
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👉 Yémen : contre des sites houthis
La coalition américaine a attaqué la capitale Sanaa. Bruits d’explosions et de nuages de fumée visibles à l’aéroport.
👉 Primaires : Haley pourrait surprendre
Nikki Haley et Trump entrent avec un grand sourire. Donald Trump a reçu l’approbation de Ron DeSantis, qui s’est retiré de la course à la présidence républicaine. Nikki Haley, l’ancienne ambassadrice des États-Unis à l’ONU, est désormais la principale rivale de Trump dans la course.
👉 USA : la source du mal
Brad Cooper, un commandant de l’armée américaine, a déclaré que l’Iran était très impliqué dans les attaques des Houthis contre les navires. Cooper a rajouté que l’Iran finance, fournit des ressources et fournit une formation aux Houthis, ce qui les rend directement impliqués dans les attaques.
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💡 Analyse : La véritable menace : le djihad mondial
par Maître Micha Laykin Avni
Les horreurs du 7 octobre renforcent la compréhension que nous n’avons pas le droit moral de l’ignorer : c’est une guerre religieuse à laquelle nous faisons face en première ligne de la lutte de toute la culture occidentale.
Plus de 50 000 attentats terroristes ont eu lieu dans le monde au cours des 40 dernières années, tous sous le label du djihad, signifiant « guerre sainte dans les villages ». Qui sont les « villages » ? Nous tous. Hommes, femmes, bébés. 50 000 attaques, soit en moyenne environ 1 250 actes de terrorisme se produisant chaque année à un rythme de plus de trois attaques par jour. Pendant que vous essayez de subvenir à vos besoins et de vivre une vie pleine de sens, il y a ceux qui consacrent toute leur volonté et leur capacité à assassiner impitoyablement au nom de ce « djihad sacré ».
Actuellement, Israël mène une guerre intensive contre le terrorisme sur sept fronts différents (plus que tout autre pays dans le monde) : Gaza, Liban, Syrie, Judée-Samarie, Yémen, Irak et Iran. Chacun a une nature d’action et une tactique différentes, mais un objectif commun : l’aspiration déclarée à la destruction d’Israël.
« La formulation du problème est souvent plus importante que sa solution », disait autrefois Albert Einstein, et ces paroles sont vraies non seulement pour la physique quantique mais pour tous les domaines de la vie. Nous devons comprendre avec sagesse que nous sommes confrontés à un problème existentiel, et sa définition en tant qu’existentiel fait déjà partie de la solution.
L’Occident tout entier est confronté à une menace croissante du djihad islamiste, qui ne cache pas du tout son objectif déclaré : détruire tout ce qui n’est pas musulman. Le calme apparent qui règne au-dessus de l’Europe n’est qu’une « période de préparation » du point de vue des terroristes : ils recrutent des partisans, créent des cellules dormantes et collectent des renseignements. Ils ont de la patience et de la persévérance.
Pendant la période de Noël, il y a moins d’un mois, des extrémistes musulmans ont massacré 195 chrétiens au Nigeria. Est-ce que cela a surpris quelqu’un ? Non. Est-ce que cela a suscité une attention exceptionnelle ? Également non. Les grands attentats à New York, Madrid, Paris, Bruxelles, Manchester, Londres, Mumbai et Nice au cours des deux dernières décennies sont devenus des données de Wikipédia. Du point de vue de la conscience – et de manière paradoxale par rapport à l’ampleur de la menace – le monde éclairé tombe dans une somnolence. C’est peut-être une question de cœur, mais c’est certainement une non-stratégie pour faire face à un monstre terroriste massif et sophistiqué.
Le fait qu’Israël soit attaqué de manière presque continue sur sept fronts différents ne signifie pas que nous sommes la cible principale du djihad, mais plutôt la cible stratégique de tous. C’est une constatation significative qui doit être gérée avec diplomatie et action sécuritaire. L’idéologie commune des organisations terroristes, et surtout le soutien spirituel et financier de l’Iran, est un désir intransigeant de répandre les lois de l’islam par le biais du djihad. L’aspiration à détruire l’État d’Israël et à tuer tous les Juifs ne découle pas d’un conflit territorial ou de souveraineté. Nous devons apprendre à écouter l’ennemi, qui déclare partout : c’est une guerre sainte.
L’État d’Israël doit appeler le problème par son nom : une guerre sainte menée contre nous par des extrémistes religieux qui n’ont aucun respect pour la sainteté de la vie. Ce n’est pas une question politique, et il nous est interdit de la catégoriser comme telle, car alors nous retournerions à la réalité pré-7 octobre.
La négligence n’est pas un plan de travail. Le monde occidental tout entier est confronté à une menace grandissante du djihad islamiste, qui ne fait aucun effort pour cacher son objectif déclaré : détruire tout ce qui n’est pas musulman. Le calme apparent qui règne au-dessus de l’Europe n’est qu’une « période de préparation » du point de vue des terroristes : ils recrutent des partisans, créent des cellules dormantes et collectent des renseignements. Ils ont de la patience et de la persévérance.
Si nous échouons même à cela, il est possible qu’il n’y ait plus personne capable d’établir une commission d’enquête.
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« Le peuple d’Israël n’a pas peur d’un long cheminement. »
עם ישראל לא מפחד מדרך ארוכה
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