Bernard Weill. Réflexions sur la « Lettre ouverte de Pierre Lurçat à Alain Finkielkraut et à quelques autres Juifs fascinés par l’Eglise »
L’ensemble de la lettre[1] est très intéressant et je l’approuve totalement. J’ai deux remarques à formuler – qui, d’ailleurs, renforcent peut-être l’argumentation de Pierre Lurçat : Lurçat reproche à Finkielkraut sa fascination pour la dernière parole de Jésus en croix qui, selon lui inaugurerait le christianisme : […]