Le pacte nucléaire avec l’Iran caractérisera la fin de l’ère Obama. Elle est digne d’une saga shakespearienne. Monté au pouvoir à l’instar d’un dieu inaugurant une ère de paix mirifique – rappelons-nous le Prix Nobel reçu avant même d’avoir accompli quoi que ce soit ! -, il termine sa deuxième cadence comme un Caligula jetant son pays et le monde entier dans une adversité violente et sans précédent dans l’histoire.
Etrange histoire, en effet, d’une puissance impériale apaisant son ennemi irrédutcible -pourtant un nain militaire face à elle – et abandonnant ses alliés les plus fidèles ! Obama l’empereur fou, le Caligula de notre temps ! Le pharaon hiératique et erratique ! Il faut voir de plus près le personnage théâtral.
Etrange histoire, en effet, d’une puissance impériale apaisant son ennemi irrédutcible -pourtant un nain militaire face à elle – et abandonnant ses alliés les plus fidèles ! Obama l’empereur fou, le Caligula de notre temps ! Le pharaon hiératique et erratique ! Il faut voir de plus près le personnage théâtral.
Son discours a toujours été évanescent et narcissique, centré sur son nombril ; « Regardez-moi. Je suis un métis, Barack Hussein Obama, et mon père était kényan » Ce fut le seul argument de sa montée au pouvoir. Relisez bien ses discours de présentation, bien en phase avec la post-démocratie des postmodernistes où la valeur se fonde dans la race ou le genre, voire la religion (« de paix »). Il exorcisait adroitement la conscience coupable de l’Amérique envers son passé ségrégationniste. C’est parce qu’il était noir, avant même tout argument rationnel, qu’il souleva l’enthousiasme quasi messianique de ses supporters dans le monde, et notamment en Europe.
C’était un choix commandé par la magie, la foi, mais pas la raison politique. Ce qui nous apparaît comme folie politique aujourd’hui s’avère en fait avoir été depuis le début une politique au service du déclin programmé de la puissance occidentale, de l’ouverture des portes de l’Occident aux Frères Musulmans, dans son propre pays, au Moyen Orient et dans une Europe devenue vassale, arrière cour de cette nouvelle Amérique du déclin.
Un tel personnage devait inéluctablement se heurter à Israël sur la voie de sa mégalomanie défaitiste. C’est un cas de figure connu dans l’histoire juive, c’est pourquoi j’ai évoqué Caligula ou la figure pharaonique. Il s’était vu en « messager de la paix », l’acte essentiel de sa législature devant « régler » le problème palestinien, élevé au rang du problème planétaire le plus urgent, et calmer l’animosité anti-américaine du monde musulman. Mais ce projet s’est brisé sur le roc de la réalité. Comme celà ne marchait pas il s’est alors voulu l’héroïque porteur de la paix avec l’Iran théocratique et fauteur de guerre, pour finir par détruire l’ordre international dns un renversement des alliances vertigineux.
Mais son œuvre de destruction ne s’arréte pas là. Elle s’attaque maintenant au judaïsme américain qui, par deux fois, vota pour lui avec enthousiasme et… stupidité politique. Sommé de choisir entre lui et Israël, menacé très explicitement dans ses positions, il est en train de se briser en mille morceaux , entamant un déclin annoncé depuis pas mal de temps.
Je ne sais quel Armageddon apocalyptique, cette chute à l’abîme nous réserve mais aujourd’hui comme hier la confiance forte et résolue en soi même est pour le peuple d’Israël éternel la ressource la plus fiable, ce peuple qui défia autrefois l’ukaze pharaonique alors que se levait le « Dieu des Armées » ! « YHVH, homme de guerre » (Ex. 15, 3) ! Il y a en Israël des ressources spirituelles qui pourraient se relever de l’oubli !
*À partir d’une chronique sur Radio J, le vendredi 21 août 2015
http://www.desinfos.com/spip/spip.php?page=ispip-article&id_article=49282
C’était un choix commandé par la magie, la foi, mais pas la raison politique. Ce qui nous apparaît comme folie politique aujourd’hui s’avère en fait avoir été depuis le début une politique au service du déclin programmé de la puissance occidentale, de l’ouverture des portes de l’Occident aux Frères Musulmans, dans son propre pays, au Moyen Orient et dans une Europe devenue vassale, arrière cour de cette nouvelle Amérique du déclin.
Un tel personnage devait inéluctablement se heurter à Israël sur la voie de sa mégalomanie défaitiste. C’est un cas de figure connu dans l’histoire juive, c’est pourquoi j’ai évoqué Caligula ou la figure pharaonique. Il s’était vu en « messager de la paix », l’acte essentiel de sa législature devant « régler » le problème palestinien, élevé au rang du problème planétaire le plus urgent, et calmer l’animosité anti-américaine du monde musulman. Mais ce projet s’est brisé sur le roc de la réalité. Comme celà ne marchait pas il s’est alors voulu l’héroïque porteur de la paix avec l’Iran théocratique et fauteur de guerre, pour finir par détruire l’ordre international dns un renversement des alliances vertigineux.
Mais son œuvre de destruction ne s’arréte pas là. Elle s’attaque maintenant au judaïsme américain qui, par deux fois, vota pour lui avec enthousiasme et… stupidité politique. Sommé de choisir entre lui et Israël, menacé très explicitement dans ses positions, il est en train de se briser en mille morceaux , entamant un déclin annoncé depuis pas mal de temps.
Je ne sais quel Armageddon apocalyptique, cette chute à l’abîme nous réserve mais aujourd’hui comme hier la confiance forte et résolue en soi même est pour le peuple d’Israël éternel la ressource la plus fiable, ce peuple qui défia autrefois l’ukaze pharaonique alors que se levait le « Dieu des Armées » ! « YHVH, homme de guerre » (Ex. 15, 3) ! Il y a en Israël des ressources spirituelles qui pourraient se relever de l’oubli !
*À partir d’une chronique sur Radio J, le vendredi 21 août 2015
http://www.desinfos.com/spip/spip.php?page=ispip-article&id_article=49282
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