Dans son nouveau film “Ils sont partout”, Yvan Attal a choisi de s’attaquer avec humour aux clichés véhiculés sur les juifs.
“Les juifs ont de l’argent”, “les juifs complotent”, les juifs ont tué Jésus”… Dans son nouveau film Ils sont partout, dont Europe 1 est partenaire, le réalisateur et comédien Yvan Attal tente de démonter un à un les nombreux clichés qui persistent sur cette communauté en France.
Yvan Attal : “L’objectif est de remettre le… par Europe1fr
L’antisémitisme français.
Si le sujet est traité avec humour, Yvan Attal n’en est pas moins inquiet. “Oui, je pense que la France garde un fond d’antisémitisme”, a-t-il affirmé sur Europe 1 vendredi matin. “Mon but n’est pas de culpabiliser les gens. Mon but c’est de demander ‘où est cette France qui se mobilisait quand un cimetière était profané'”. Après les attentats de janvier et ceux perpétrés par Mohamed Merah à Toulouse et Montauban, le réalisateur aurait souhaité voir un soutien plus massif à la communauté juive. Quant au rassemblement du 11 janvier, il s’interroge : “S’il n’y avait pas eu Charlie Hebdo, je me demande ce qu’on aurait fait de l’Hypercasher”.
Découvrez la bande annonce ‘”Ils sont partout”‘ par Europe1fr
La déception cannoise.
Le film Ils sont partout a été particulièrement difficile à financer pour Yvan Attal. Dernier coup dur : le film ne sera pas présenté au festival de Cannes. “Je ne peux pas dire que je ne suis pas à Cannes parce que c’est un film sur les juifs”, souligne-t-il. “Mais quand on fait un film engagé, on espère avoir le soutien de gens qui prônent l’engagement”. Un choix, une tendance, qui agacent le réalisateur. “On dit que les films présentés au festival de Cannes sont le miroir du monde. Mais cette année, ce n’est même pas le miroir de la France”, a-t-il pesté.
S’il estime “vain de vouloir ‘retourner’ les antisémites”, Yvan Attal espère cependant que son film fera “rire et réfléchir” les spectateurs qui iront le voir.
La République française n’a jamais perdu son antisémitisme depuis son ( coming out ) de son occupation nazi et de sa collaboration au nazisme.
Ses politiques internes et externes ne laissent aucun doute sur son relent antisémite, allant même jusqu’au négationnisme historique concernant l’État israélien.
La France couche avec les arabes, la preuve en est faite.
Je suis d’accord avec vos arguments la France a toujours gardé un fond d’antisémite pourquoi tous les juifs Français retournent en Israël c’est qui il y’a un grand malaise qui a ètait créé par la politique Française arabisé. Nous sommes plus en sécurité en Israël.
EXCELLENT Iyan Attal j’espère qu’on va bien rigoler avec son film vivement juin.
j’espère que nous allons rigoler, mais je compte aussi sur Yvan Attal pour dénoncer une ambiance de plus en plus discutable. j’espère donc que ce film fera aussi réfléchir les plus sceptiques sur ce climat malsain , cet antisémitisme latent. En témoignent les films de Berry, Chouraqui, et à présent Yvan Attal: 3 films en deux mois réalisés par 3 juifs. encore! vont dire certains!!!!
Et pourtant…
Et si ce soir les amis de Marine Le pen gagnent en Autriche, ce sera un avant goût de ce qui nous attend. Un avertissement, un de plus.
S’il est question de rigolade, je ne veux pas être en reste. En juin. Profitons cependant du joli mois de mai.
Pour ce qui est de l’antisémitisme, il en est comme le feu. Apres l’incendie suscité par les nazis, on a eu le sentiment que ce feu, sans être éteint, était contenu. Ensuite, il y a eu le détail qui a rallumé un autre feu, puis il y a un autre feu qui s’embrase, provenant justement de la création d’un foyer, mais juif, il y a 68 ans, jamais encore accepté par les arabes qui font feu de tout bois, affirmant des inepties telles qu’ils identifient ISRAÊL à un pays d’apartheid par le BDS, ou réfutant son histoire juive à Jérusalem par rien de moins que l’UNESCO, qui s’est mise en position du coup, d’affirmer que Martin Luther King était blanc albinos. Si c’est voté!!!!!! On poutrrait voter la fin de l’injustice, de la pauvreté et que sais-je encore, mais pas de la connerie!
Donc 3 films traitant du sujet, c’est pas de trop, encore faut-il que les salles veuillent bien les programmer.