L’alliance des frustrés et des déshérités prépare de nouveaux totalitarismes. La publication de la vidéo de la mort brutale de Georges Floyd écrasé par le genou d’un policier blanc a provoqué de nombreuses manifestations violences un peu partout aux États-Unis et en Europe.
A Paris, des milliers de personnes ont défilé pour Adama Traore et contre « les violences policières. »
En arrière-plan, c’est une guerre civile qui s’annonce, une guerre des races mue par la haine de l’oppresseur qu’elles se sont choisies
La cause avancée pour ces indignations, ces colères et ces violences, c’est un combat pour la justice et contre le racisme.
Mais en arrière-plan, c’est une guerre civile qui s’annonce, une guerre des races qui ramène à la surface les ressentiments et les rancoeurs identitaires de populations agrégées par la haine de l’oppresseur qu’elles se sont choisies.
Cet antiracisme qui prétend combattre les injustices et la haine est , en fait, une nouvelle forme de fascisme. Dans l’histoire du siècle passé et de l’histoire tout court, ce n’est pas une nouveauté. Toutes les périodes de crise ont vu naître le besoin de trouver une raison unique aux malheurs des individus, broyés par le cours des événements. La tentation totalitaire, c’est la promesse d’un monde purifié délivré du Mal. « Les Représentants du peuple seront impassibles dans l’accomplissement de la mission qui leur est confiée : le peuple a mis entre leurs mains le tonnerre de la vengeance, ils ne le quitteront que lorsque tous ses ennemis seront foudroyés. Ils auront le courage énergique de traverser les immenses tombeaux des conspirateurs et de marcher sur des ruines, pour arriver au bonheur de la nation et à la régénération du monde. » (Proclamation des Représentants à Lyon, le 15 frimaire, an II.)
Cette tentation totalitaire se renforce aujourd’hui très rapidement. Elle va même jusqu’à enrôler des enfants dans son combat idéologique. Ce qui la caractérise, c’est qu’elle prône la disparition ou la mise à l’écart de ceux qui sont censés représenter le Mal. Hier, les Juifs, les bourgeois, les Tutsis au Rwanda. Aujourd’hui, l’homme blanc.
Elle a pour partisans et acteurs deux groupes d’individus: les déshérités, véritables ou imaginaires, et les frustrés. Cette alliance des frustrés qui se veulent responsables du sort de ceux qu’ils voient, à tort ou à raison, comme des victimes et des opprimés et, d’autre part des déshérités est réellement explosive. L’histoire a toujours réuni ces deux groupes de personnes dans un élan qui s’est voulu révolutionnaire. Les déshérités ont réellement besoin de lutter pour la justice et l’égalité.
Ce fut le cas, entre autres, des ouvriers et des paysans, victimes des inégalités, du chômage pendant la révolution industrielle dans les temps qui précédèrent l’émergence des mouvements prolétariens. C’est toujours le cas dans de nombreux endroits de la planète.
Ou quand les frustrés transforment le combat des déshérités en une injustice de la vie
Ils apportent dans ces mouvements un peu de raison et des raisons de combattre. Les frustrés qui ne sont pas de véritables déshérités, écrivaillons, journalistes, enseignants, techniciens, communient dans une jalousie commune et maladivement cherchent à réparer ce qu’ils considèrent comme une injustice de la vie.
Ils vont diriger le combat des déshérités et transformer le combat des déshérités en une lutte pour de nouvelles dominations. Ils vont vouloir écraser les imposteurs qui ont pris la place qui leur est due en raison du mérite qu’ils s’attribuent.
Comment le totalitarisme séduit-il à la fois ceux que j’appelle les frustrés et les déshérités? Il permet d’expliquer les difficultés de la vie sans en donner la responsabilité aux individus eux-mêmes. Il promet une revanche à ceux qui vivent dans l’échec. Il joue sur le sentiment de culpabilité (qui est différent de la responsabilité), car il est différent de reconnaître qu’on s’est mal conduit en ne suivant pas des préceptes extérieurs à soi-même plutôt que d’examiner avec sa raison critique l’ensemble complexe des causes qui ont provoqué la situation d’échec.
Comment le totalitarisme séduit …
Le totalitarisme promet le salut, si on suit les commandements qu’il préconise. Il exclut la part de hasard dans la vie individuelle et collective. Dans un sens, il apporte une sorte de sentiment de sécurité intérieure en faisant croire qu’il existe une solution parfaite, un comportement parfait pour assurer le bonheur dans cette vie et même dans l’au-delà. Il donne du grain à moudre à l’appétit de pouvoir et à la soif de combattre. Il donne du sens et unit contre un ennemi commun qui est diabolisé, qui devient le mal incarné. Dans l’île de Crète, les villageois brûlent le jour de Pâques un immense mannequin représentant Judas, le traître, le maudit. Ce feu de joie délivre l’âme inquiète et affolée par les changements du monde et donne l’assurance que l’avenir peut être bénéfique et même radieux. Cette alliance des frustrés et des déshérités prépare des conflits futurs qui n’opposeront pas seulement des cultures et des civilisations mais à l’intérieur même des sociétés, en Occident comme en Orient, des groupes humains séparés par leurs conceptions culturelles, religieuses, par leurs conditions sociales ou ethniques et dont certains se considèrent comme des victimes de complots fomentés par des ennemis tous puissants et maléfiques.
Aujourd’hui les Blancs ET les Juifs. Ces deux formes de racisme sont très souvent liées. Regardez l’exemple de Robert Mugabe le suprémaciste noir massacreur de Blancs : il faisait l’éloge d’Adolf Hitler. Mais nos ennemis ne sont pas les Noirs. Ou n’importe quel peuple. Notre ennemi est une idéologie raciste à laquelle adherent aussi des Blancs masochistes et détraqués et qu’à l’inverse dénoncent des gens de toutes couleurs de peau.
Et pas un seul mot sur un des moteurs de ce chaos dévastateur qui s annonce, et que la peur et la lâcheté qu’elles génèrent alimentent gangrène m humanité tout entière et qui s appelle l Islam et son Meinkempf coranique.
Et si on essayait de chercher des mesures de Prévention pour, d’une part faire évoluer les « blancs masochistes et détraqués » et, d’autre part, éduquer et traiter comme il se doit les délinquants récidivistes « de toutes couleurs de peau » ?
Car les problèmes et les drames surgissent quand la Police chargée du maintien de l’ordre se heurte à des délinquants « de toutes couleurs de peau ». Aussi, diaboliser éternellement les uns (« blancs détraqués ») et se montrer systématiquement indulgents envers les autres (« délinquants »), cela ne fera que faire perdurer le problème que l’on cherche à résoudre.
@Shlomo Khalifa Vous n’avez pas compris mon propos. Les Blancs détraqués et masochistes dont je parle sont évidemment les Blancs anti-blancs (les complexés du cerveau) et anti-juifs. Bien à vous.
En effet, Jérome, j’ai mal interprété votre propos.
Cependant, mon propre propos reste valable, visant à défendre la Police…mal appréciée par leur « boss » Ministre de L’Intérieur nommé Castaner, lequel a eu la bêtise de courir à toute vitesse au secours des « détraqués » (blancs) et autres – de couleur – qui manifestent en ce moment même, à Paris et dans d’autres villes, pour accuser ladite Police d’avoir mal traité le délinquant récidiviste qu’était l’individu noir nommé Adama Traoré, mort au Commissariat de cause non encore élucidée. Bien à vous.
Qu’est-ce qu’on fait alors? Et l’État que fera-il?
Quand Zemour denonce cela il est menacé de mort. Les Terroristes qui le menacent sont soutenus par leurs et protégés par la sphère médiatiquo politique bien pensante lâche, soumise et acquise à leurs « causes »… La réaction des « français de souche » et de ceux qui aiment la « France de mon enfance » ne viendra pas ! La fin sera sanglante et le grand remplacement se mettra en place.
Il est temps pour les 600 000 juifs de France impuissants devant le nombre, de prendre leur courage à deux mains et « sauver les meubles » pendant qu il est encore temps et les places d avion encore disponibles….vers Israël, notre véritable Patrie.
Les immigrants maghrébins et africains transfèrent leur sentiment d’injustice vécu et réel qui existe dans leur pays d’origine à leur pays d’acceuil où la liberté d’expression existe et qu’il transforme en révolte exagérée et violente. Ils ne peuvent pas faire celà dans leur pays d’origine où ils seraient véritablement opprimés. En France, ils expriment la haine que leurs parents leur a inculqués. Cette haine leur permet de garder leur identité d’origine et l’idealiser. Parce que l’amour de la France leur ferait perdre leur identité.
Le courage salvateur voudrait qu’enfin, loin des beaux discours angéliques, les hommes admettent avec réalisme que le « choc des cultures » exitera toujours et que au nom de « l egalite des races et des croyances », vouloir faire cohabiter sous le même toit le loup et le mouton est une vaste et dangereuse utopie…
Le paisible mouton se fera toujours égorger par le loup carnassier.
Chacun chez soi dans son pays, dans sa culture, et les vaches seront bien gardées. Tant que les hommes les politiques, les médias refuseront d’ admettre et de mettre en pratique cette réalité humaine, celle ci se déchirer.
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