René Seror. Comparaison n’est pas raison


Au plus fort de leur carrière, alors qu’ils ne s’appréciait pas, les pères fondateurs de notre état oubliaient leurs divergences et s’accordaient une trêve quand il y avait danger.
David Ben Gourion zal n’hésitait pas à demander à Menahem Begin zal de participer au conseil des ministres.
Il tenait compte de son avis, il acceptait ses conseils.
Et l’on découvrait un nouveau type de maroquin,
MINISTRE SANS PORTEFEUILLE.

Face au danger du coronavirus, ne serait-il pas logique que tout l’exécutif oublie ses différences?
Le monde est en émoi.
Israël n’échappe pas à l’épidémie.
Comme si la maladie ne suffisait pas, chaque jour, nos concitoyens et nos soldats doivent faire face à des actes terroristes.
Si les opposants à BIBI ont vraiment  la capacité à gouverner comme ils le prétendent, qu’ils oublient leurs griefs et qu’ils se rangent derrière le gouvernement, comme un seul homme!
Or, il faudrait pour cela faire preuve d’une grande intelligence.
Ce dont, hélas, nous constatons qu’ils sont totalement démunis.
Tout autre que notre Premier Ministre aurait « pété les plombes. »
Au lieu d’admirer la maestria de l’homme, sa force de caractère, ils préfèrent poursuivre leurs perfides exactions.
Sans la moindre honte.
Le peuple, c’est à dire nous, sommes insultés à chaque instant.
Par leur comportement, ils nous prouvent qu’à leurs yeux nous n’avons aucune valeur.
A la lecture de ce texte, je sais déjà que je serai accusé de partialité.
Je voudrais au contraire que l’on comprenne que mon message est un appel à l’union.
Qu’on laisse de côté ses rancœurs.
Je rappelle que nos textes nous enseignent qu’UNIS, personne ne peut nous atteindre, serions-nous idolâtres!

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