Alors que l’Iran cerne Israël, les luttes internes des dirigeants questionnent

Notre gouvernement est paralysé depuis un an, à la suite d’une querelle autour d’une loi mineure, tandis que Netanyahu semble plus attaché aux mots qu’aux actions de notre allié

Alors que les responsables politiques auto-centrés d’Israël donnent satisfaction à leurs egos et intérêts personnels depuis un an — nous laissant sans gouvernement pleinement fonctionnel et nous infligeant deux, peut-être bientôt trois, élections tandis qu’ils s’invectivent les uns les autres — les règles militaires du jeu nous entourant ont changé. Et l’Iran en est le maître.

La semaine dernière, avant l’aube mardi, l’armée a réglé ses comptes avec le voyou qu’elle considère comme le « principal instigateur » du terrorisme venu de Gaza l’année passée, déployant un missile guidé pour tuer Baha Abou al-Ata et son épouse dans leur chambre, pendant leur sommeil. S’en sont suivis deux jours de tirs de roquettes depuis l’enclave en direction des localités du sud d’Israël, lesquels ont même provoqué la mise à l’arrêt de notre moderne et animée ville sioniste de Tel Aviv.

Puis cette semaine, de nouveau avant l’aube mardi, une semaine après qu’un Israël silencieux a été réprouvé pour une seconde frappe aérienne à Damas contre un deuxième commandant du Jihad islamique et après des reportages de la télévision syrienne sur une attaque contre des cibles à l’aéroport de la capitale, le nord d’Israël a été sorti de son sommeil par des sirènes annonçant des tirs de missile en provenance de Syrie — quatre projectiles heureusement interceptés par notre système de défense Dôme de Fer.

Source et article complet : timesofisrael.com

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