La famille de Kayla Mueller, une travailleuse humanitaire de l’Arizona détenue en captivité, maintes fois torturée, violée puis tuée par le leader d’ISIS, a déclaré que cela lui avait apporté un grand réconfort de savoir que l’opération militaire américaine qui a pris fin avec la mort du terroriste lui avait été dédiée.
Réalisant qu’il n’y avait pas d’issue, al Baghdadi a fait exploser une bombe suicide à l’intérieur d’un tunnel sans issue, tuant lui-même et trois des enfants qu’il avait forcés à l’accompagner dans l’espoir de se protéger et se cacher derrière eux.
« Il est mort comme un lâche, en se sauvant et en criant », a indiqué le président Trump dimanche matin dans une allocation télévisée de 90 minutes au cours de laquelle il a donné de nombreux détails de l’opération aux Américains, « c’était un froussard, une bête et un froussard ».
Pour leur part, les médias sont comme toujours à la hauteur de leur petitesse, et à ma grande surprise, ça marche au-delà de ce que j’imaginais : les mêmes qui n’ont plus confiance dans les médias sont assez idiots pour les croire sur les sujets qu’ils connaissent mal.
- Dimanche soir, les journaux ne parlent déjà presque plus de l’extraordinaire opération. Pour Obama, ils ont fait durer l’élimination de Ben Laden en longueur pendant des semaines (ce n’est qu’après sa réélection que l’on apprit qu’Obama ne la voulait pas). Parlez de double standard ou de deux poids deux mesures est encore en dessous de la réalité.
- Lorsqu’ils en parlent, c’est pour critiquer Trump, confirmant cette blague que si Trump marchait sur l’eau, les journalistes diraient qu’ils ne sait pas nager, et que s’il soignait le cancer, ils lui reprocheraient d’avoir mis les cancérologues sur la paille. Là, ils lui reprochent d’avoir « manqué de mesure », et d’avoir « créé le spectacle autour de la mort de Baghdadi. »
- CNN a trouvé un titre exceptionnellement mesquin : « La mort de Baghdadi est peut-être un moment de soulagement politique pour Trump, mais l’enquête de destitution ne l’est pas ».
- Et le plus magnifique revient comme toujours à l’extrême gauche américaine : le Washington Post a présenté le chef d’ISIS comme un « érudit religieux austère à la tête de l’Etat islamique », avant de changer son titre pour quelque chose de moins islamo-gauchiste, en panique.
Abu Bakr al-Baghdadi, érudit religieux austère à la tête de l’Etat islamique, est mort à l’âge de 48 ans
Le quotidien du patron d’Amazon est même allé jusqu’à écrire, dans l’article signé par Joby Warrick, que « M. Baghdadi s’est révélé être un dirigeant capable et prudent, politiquement ».
Et en France, les journalistes n’ont pas chômé non plus.
D’abord, ils ont passé sous silence que Baghdadi s’est sauvé en courant, protégé par trois enfants, pour qu’on l’épargne. Surtout, afin de ne pas choquer les musulmans, ils ont « omis » de révéler que le terroriste s’est suicidé, un geste interdit par l’islam, et qui mène directement en enfer.
Puis ils ont inventé une Fake News, et sorti de leur chapeau que la Turquie a aidé Trump dans l’opération – alors que justement le Pentagone a précisé que la Turquie n’a apporté aucune aide, car qu’elle n’a même pas été informée de l’opération.
Pourquoi ce mensonge ? Question idiote ! La vraie question doit être « pourquoi pas ? » Oui, pourquoi rapporter les faits exacts et dire la vérité et rater une occasion de faire du Trump bashing ?
Tout est bon, pour mes hystériques confrères anti-Trump, jaloux que Macron ne lui arrive pas à la cheville.
Source : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Les journalistes militants qui font de la propagande au lieu de donner les faits et informer scrupuleusement sont malheureusement légion et déshonorent cette belle profession mais ils ne sont jamais inquiétés alors qu’il existe un code d’éthique journalistique c’est pourquoi les gens vont chercher ailleurs la véritable information ! Merci à Dreuz et son équipe qui font un vrai travail d’investigation et de re-information !
Il avait vraiment la tête et la dégaine de l’emploi , ce sinistre Baghdadi ; bon débarras mais il est déjà remplacé par un autre qui a un nom qui n’en finit pas.