Le négationniste conteste la réalité de la Shoah. L’antisioniste conteste la présence d’un Etat juif. Des livres, des articles sont publiés, toute une littérature est consacrée à la dénégation des crimes nazis contre les Juifs. Aujourd’hui encore, 85 ans après la publication de Mein Kampf en Europe, et 70 ans après le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale, des manifestations et des rassemblements néo-nazis se déroulent en toute impunité en Allemagne et en Autriche.
Le régime nazi est à l’honneur. Il est banalisé, réhabilité, innocenté. Plus d’un jeune Allemand sur sept estime que les Juifs méritaient leur persécution et que la Shoah était justifiée ! Un jeune Allemand sur 20 préfère s’aligner sur l’extrême-droite et s’exprime en termes antisémites et xénophobes. En Espagne, le parti d’extrême-droite vient d’entrer au Parlement.
Des actes antisémites sont perpétrés, des croix gammées sont tracées sur les murs de plusieurs villes d’Europe et également aux Etats-Unis. Des cimetières sont profanés en France, en Belgique et partout ailleurs. Des synagogues sont la cible de terroristes de tous bords. Les Juifs sionistes ne sont pas admis dans des forums internationaux ni dans les débats académiques et universitaires en Angleterre. Les réunions sur le racisme et les droits de l’Homme dans le monde se transforment toujours en un concert de résolutions et de manifestations anti-israéliennes.
Le boycottage du Juif hier est appliqué avec le rejet de l’Israélien, aujourd’hui. Celui qui éprouve de la haine pour un Juif, hait l’Israélien, le sioniste. D’ailleurs, les musulmans intégristes ne font aucune distinction et ne prononceront jamais le mot « Israël ». Le « yahoud »(Juif) et le « sioniste » prendront la place de l’Israélien ; Pour les négationnistes et les antisionistes du monde arabe, l’Israélien n’existe pas, il n’a jamais existé. Dans les années 1970, sous l’impulsion des partis communistes arabes, soutenus par l’Union Soviétique, les Palestiniens revendiquaient une « Palestine démocratique et laïque ».
Le vrai Palestinien, voire le Juif installé dans la Palestine mandataire, est effacé et l’Arabe a le devoir, par le Jihad, la guerre sainte et la « résistance », de prendre sa place sur le territoire évacué, sur le même foyer national du peuple juif, promis par les Britanniques, le 2 novembre 1917, dans la célèbre déclaration Balfour. Ainsi, on comprendra pourquoi les Arabes en général, et les Palestiniens en particulier, refusent obstinément de reconnaitre l’Etat d’Israël comme Etat juif ! D’ailleurs, chez les Palestiniens, le nom Israël n’est mentionné sur aucune carte. Toutes les cartes, y compris celles qui figurent dans les manuels de géographie et les livres scolaires, portent le nom de Palestine avec la capitale El Qouds (la sainte Jérusalem).
Le négationnisme anti-israélien nie l’existence même de l’Etat juif. Tous les peuples de la planète ont le droit à l’autodétermination, à un statut politique légitime, sauf le peuple juif qui en est exclu. En clair, le peuple hébreu, celui qui a offert à l’humanité entière les Dix commandements, ne peut être associé à la famille des nations.
Chez les extrémistes du monde arabe et musulman, il existe, aujourd’hui encore, une véritable industrie de la haine contre les Juifs israéliens.
L’ouvrage abject Les Protocoles des Sages de Sion est devenu la base de l’antisémitisme moderne. Ce faux, forgé au 19ième siècle par la police secrète tsariste, a été publié en arabe en 1951. Préfacé par un célèbre écrivain égyptien, Abbas Mahmoud al-Akkad, il est diffusé au Caire par le ministère de l’Orientation nationale de la République Arabe Unie, dirigée par le frère du président Nasser. Au Liban, l’ouvrage devient un best-seller et figure avec Mein Kampf parmi les meilleures ventes de librairies. Dans l’avant-propos, de la dernière édition, parue à Beyrouth en 1995, aux éditions Dar al-Kitab, nous pouvons lire en arabe : « Adolphe Hitler n’est pas l’héritage exclusif des Allemands, il fait partie des grands hommes de ce monde qui ont presque stoppé le cours de l’Histoire et ont modifié la face du monde… »
De nombreux extraits ont été reproduits dans les manuels militaires, dans les directives des forces armées arabes avec le slogan : « Connaîs bien ton ennemi ! » De nombreux pamphlets et des caricatures sont publiés jusqu’à ce jour dans la presse arabe, avec des thèmes antisémites virulents. Le leader ou le soldat israélien est décrit comme sanguinaire et dépeint comme étant un vampire, assoiffé du sang des enfants palestiniens, un rappel de l’organe nazi tristement célèbre, Der Störmer. Des pièces de théâtre sont jouées et diffusées sur les chaines publiques, comme Le Juif errant ou Le marchand de Venise où la judaïté de Shylock est accentuée de manière forte négative. Quand, en mai 2001, Bachar el Assad accueille à Damas le pape Jean-Paul, il affirme pendant la réception donnée en son honneur : « les Juifs portent atteinte aux principes du monothéisme avec la même mentalité avec laquelle ils ont trahi Jésus et tenté de tuer le prophète Mohamed ».
Des négationnistes de la Shoah organisent des colloques et des séminaires au Caire, à Beyrouth, à Téhéran. A l’université Al-Azhar, dans le plus grand centre culturel islamique du Caire, un scheik rappelle le “hadith” (la tradition) selon laquelle Mahomet aurait déclaré qu’« un massacre des Juifs par les Musulmans précéderait le jour de la résurrection des morts ».
La haine du Juif se transforme en rejet de l’Israélien. Il n’existe aucune distinction entre judaïsme et sionisme et ces deux concepts sont décrits comme identiques. Le sionisme est l’organe exécutif du judaïsme. L’argumentation selon laquelle les Arabes sont des sémites eux-mêmes, et donc ne peuvent être antisémites, n’est que prétexte et camouflage, elle s’exprime uniquement dans les discours extérieurs. Tous savent parfaitement que le terme « antisémitisme » a toujours été formé à l’encontre exclusivement des Juifs et du judaïsme.
Pour les antisémites d’hier comme ceux d’aujourd’hui, le Juif est un être particulier, différent des autres et singulier dans son environnement. Même le Juif assimilé, le non croyant, sera mis à part, en quarantaine, dans un ghetto. Ses libertés et ses droits seront toujours limités. Il est maudit, chassé et expulsé de son pays natal. Pour régler le “problème”, le Juif doit se convertir ou périr, finir sur l’échafaud. Depuis l’aube de l’Histoire, les mesures adoptées contre les Juifs n’ont pas varié. Mais depuis la nuit des temps, le Juif a résisté et a survécu à l’esclavage, à l’Inquisition, aux pogroms et aux massacres. Hitler a voulu en finir avec tous les Juifs et a décidé “la Solution finale”. Il y a réussi en partie en massacrant systématiquement 6 millions d’innocents !
Trois ans après la Shoah, et depuis le jour où le peuple hébreu est retourné sur sa terre bimillénaire et a créé son propre Etat, les antijuifs poursuivent leur chasse et amplifient leur haine. Des discours, des paroles, des mots abjects et à vomir sont prononcés en cascade. L’antisémitisme classique s’est recyclé dans un antisionisme primaire, un anti-israélisme idéologique et religieux.
Le 10 novembre 1975, une résolution infâme « assimilant le sionisme au racisme », a été adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU. 72 pays, dont tous les pays musulmans, la Turquie, incluse ; tous les pays de l’Est, le Brésil et le Portugal, ont osé, 30 ans après la libération des camps de la mort, considérer que « le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale ». Une ignorance totale de l’Histoire contemporaine et du mouvement de la libération du peuple juif. Suite à des pressions, à des manifestations diverses et une impressionnante campagne d’information qui durera plusieurs années, cette résolution sera enfin abrogée. Il a fallu aussi attendre 60 ans après la libération du camp d’Auschwitz, pour que l’ONU consacre une journée commémorative (le 27 janvier) en souvenir de la Shoah des Juifs. Mais des conférences internationales effaceront grossièrement ce progrès dans les esprits. A Durban et à Genève, lors des conférences sur le racisme, la confusion, l’amalgame, les attaques contre les Juifs sionistes sont virulentes et antisémites. Une machination orchestrée par le président de l’Iran et des ONG d’extrême-gauche.
Hier, l’antisémitisme se déchainait par des actes ignobles et bestiaux et des pogroms, aujourd’hui l’antisionisme fait partie des partis politiques et propose un canevas qui encourage le terrorisme international contre les Juifs de la diaspora et d’Israël.
Pour les antisémites et les antisionistes en Europe, et notamment en France, l’Etat d’Israël est, sans doute, éphémère, et il disparaitra un jour, tôt ou tard.
Une campagne de dénigrement et de désinformation se déchaine dans les moments de crise et suite à des raids de l’armée israélienne.
Les vagues antisionistes ont débuté lors de la Première guerre du Liban, en juin 1982, avec le massacre de Palestiniens par les Phalanges chrétiennes, dans les camps de Sabra et Chatila, dans la banlieue de Beyrouth. Les opérations israéliennes contre le Hamas dans la bande de Gaza ont accentué cette campagne antisioniste et elle est toujours orchestrée par l’extrême-gauche européenne. On a osé comparer les soldats israéliens à des nazis ! Gaza à Auschwitz !!! Comment ne pas être révolté et scandalisé par cette abjecte comparaison ?
La guerre civile au Liban (1975-1980) qui a fait plus de 100 000 victimes, et a notamment tué une partie de la communauté chrétienne maronite, a été minimisée par les médias. L’OLP n’a pas été condamnée et « ses actes de résistance » sont justifiés contre le Liban chrétien, cher à la France. Concernant les autres conflits qui ne concernent pas directement Israël, les réactions des chancelleries européennes et celle du Vatican se font rares et sont diffusées dans l’indifférence totale. L’Etat juif, seul pays qui est venu au secours des Chrétiens d’Orient, dans ces moments de désespoir et de détresse, est toujours condamné, même en agissant exclusivement par des actes humanitaires.
La diffusion de reportages, de films et d’ouvrages amplifient la campagne anti-israélienne. La désinformation, la manipulation et la récupération politique et idéologique encouragent les actes antisémites meurtriers et le terrorisme aveugle. Les amalgames fusent de partout. Il ne s’agit pas de critiquer simplement un gouvernement, une politique, une armée, ce qui est légitime en soit, mais de délégitimer tout un peuple et un Etat démocratique. Le Juif et Israël sont diabolisés à chaque occasion. Des journaux français comme L’Humanité communiste ou Témoignage Chrétien, et de nombreux sites Internet et des blogs véhiculent la haine et la désinformation. Les titres, les caricatures, les photos, les articles, les réactions et les commentaires déforment systématiquement les faits historiques et les réalités au Proche-Orient, et présentent Israël comme l’incarnation du Mal.
Le négationnisme n’est pas seulement une affaire de l’extrême-droite ou des fascistes, mais aussi et surtout des mouvements d’extrême-gauche, des révolutionnaires, pacifistes et anarchistes. Quant aux mouvements antisionistes, ils condamnent, en général, les actes clairement « antisémites » en les dénommant « actes racistes », car le sionisme est selon eux, une forme de racisme… Leur jeu est doublement cynique : ils sont toujours solidaires des juifs persécutés en diaspora. Le Juif errant, le faible, la victime des injustices est toujours défendue, mais par contre, l’Israélien, le Juif qui porte l’uniforme et ose se battre est condamné à l’avance. Ces mouvements d’extrême-gauche discréditent totalement la nation juive et ses dimensions nationales et étatiques.
L’ouvrage de Paul Rassinier, Le Mensonge d’Ulysse, paru en 1950, cinq ans après l’Occupation, sert de référence et de canevas aux militants d’extrême gauche. Sous couvert d’antisionisme, et encouragés par la propagande soviétique stalinienne, ils manifestent une violente et agressive hostilité envers les Juifs de France. Comment expliquent-ils les goulags, les hôpitaux psychiatriques, les persécutions et les faux procès contre les Juifs et les dissidents en Union Soviétique ?
Les négationnistes dénoncent « l’imposture du génocide juif ». Les chambres à gaz à Auschwitz-Birkenau, à Sobibor ou Treblinka, n’ont pas existé et donc selon cette logique monstrueuse, les 6 millions de victimes juives sont une invention du judaïsme et du sionisme pour accélérer la création de l’Etat juif en Palestine et obtenir des indemnités, une compensation en « argent liquide ».
Une fois encore, le « complot juif » se manifeste. La « juiverie mondiale » relève la tête. Comment ne pas être scandalisé par cette falsification de l’Histoire, en plein jour ?! Quelle supercherie abominable ?! Des Français, de droite comme de gauche, Paul Rassinier, Maurice Bardèche, Robert Faurisson et Roger Garaudy (converti à l’islam) prétendent avec des “historiens” en Allemagne et en Autriche que la “Solution Finale” n’a jamais atteint les 6 millions de victimes juives, et qu’au minimum il y eu 500 000 et au maximum, un million et demi de personnes tuées dans le cadre de la guerre. Jean-Marie le Pen qualifie la Shoah de « détail de la Deuxième Guerre mondiale ». Le président de l’Iran nie l’existence même de la Shoah et organise une conférence internationale avec la participation d’intellectuels européens.
Le négationnisme se propage partout en Europe et principalement dans les campus universitaires. Un professeur de religion islamique de l’université de Gand, en Belgique, a osé contester le récit d’un ancien déporté juif du camp d’Auschwitz.
Ce “professeur”, Abdelahmid Temsamani, juge (le 13 mars 2009) que le survivant de la Shoah, Henri Kichka, a « une vision romancée et largement exagérée » de la Shoah. Comment une université belge honorable admet-elle la présence de ce professeur dans le corps enseignant ? Les politiciens belges ou français ont-ils vraiment peur d’échauffer les électeurs musulmans Le professeur de cette espèce n’a-t-il pas bafoué la loi belge qui sanctionne le négationnisme ? Jusqu’à quand des professeurs et des intellectuels en Europe et dans le monde musulman pourront-ils se permettre de contester des vérités historiques et salir la mémoire de millions de victimes sans être sanctionnés sévèrement ? Si un éducateur pense ainsi et nie l’existence des chambres à gaz, comment réagiront ses élèves ? Peut-on leur reprocher directement les bêtises prononcées par leur professeur ? Les gouvernements et les ministères de l’Education en Europe devraient réviser leur programme scolaire et la liste des professeurs d’histoire contemporaine.
En mai 2008, quand un député égyptien s’alarmait que des livres israéliens puissent être introduits dans la bibliothèque d’Alexandrie, le ministre égyptien de la Culture répondit avec superbe : « Brûlons ces livres ; s’il s’en trouve, je les brûlerai moi-même devant vous ! » Eh bien, ce ministre a été élu … Directeur général de l’UNESCO !!! Le déshonneur humiliant de l’organisation internationale pour l’Education, la Science et la Culture qui, depuis 1974, tente d’exclure Israël. Une honteuse pensée ! Un acte dégradant et scandaleux !
Suite aux protestations israéliennes et juives, le ministre en question est contraint de se justifier dans les colonnes du Monde du 28 mai 2009. « Je suis un homme de paix », dit-il, et il ajoute dans l’embarras : « j’ai dit ces mots sans intentions ni préméditation. Je regrette ! » Peut-on facilement pardonner des propos incendiaires pour pouvoir faciliter une élection à cette haute et honorable fonction ?
La culture a changé de mains et de visages ; la coopération culturelle et intellectuelle est manipulée et politisée. Le problème est universel, extrêmement grave, et avant tout éducatif.
Les parents des jeunes élèves n’ont pas vécu la Seconde Guerre mondiale et leurs grands-parents vivent le déclin de la vie. Ces jeunes ont grandi dans le monde de la télévision et de l’Internet et pour eux la Shoah est liée aux Juifs, à Israël et au conflit israélo-arabe.
Contrairement à l’absence de mouvements pacifistes et d’associations de droits de l’Homme dans le monde arabe, Israël est un bastion pour ces organisations et pour de nombreuses ONG, et il demeure l’un des rares pays au monde à respecter les valeurs démocratiques. Les leaders arabes ne se sont jamais rendus dans les anciens camps d’extermination.
Ils n’ont pas franchi le porche d’entrée du camp de la mort à Auschwitz-Birkenau, où sur une grille on lit la célèbre inscription cynique : « Arbeit macht frei », le travail rend libre ! Ils n’ont pas traversé les blocs de briques rouges ; ils n’ont pas touché de leur main les murs froids de béton, les murailles de la mort et du désespoir des chambres à gaz. Ils n’ont pas vu les objets orphelins des victimes…Les tas de cheveux, les milliers de lunettes et de chaussures…
Ils n’ont pas visité un Mémorial de la Shoah, à Paris, à Bruxelles, à Berlin, à Washington ou au Japon, près d’Hiroshima. Ils n’ont pas visité non plus le musée de Yad Vashem, à Jérusalem, ou beaucoup ignorent son existence, comme ces jeunes du Moyen-Orient et du Maghreb, représentant tous les courants de l’Islam.
Les charlatans de l’histoire contemporaine n’ont pas écouté les témoignages déchirants, les récits accablants et écrasants. Ils n’ont pas vu les documents irréfutables, les photos, les cartes, les images et les visages, les objets orphelins, les listes, les registres, les dessins d’enfants, les chiffres insaisissables et la comptabilité macabre des wagons de l’enfer et des chambres à gaz.
C’est là que chacun et chacune est conscient de son devoir de mémoire. Le devoir du monde libre est de faire barrage à la mégalomanie et la folie des hommes, d’interdire la suprématie de ces bêtes humaines, de les traduire en justice et de les mettre derrière les barreaux, dans des cages. Les peuples doivent obstinément refuser de se laisser emporter par des idéologies ignobles et abjectes.
C’est dans le recueillement sur le passé qu’il faut tirer des leçons politiques et préparer l’avenir. Le pardon aux barbares, l’amnistie des bourreaux, doivent être rejetés avec mépris et sans grâce. La vengeance, la haine perpétuelle sont aussi inutiles. Le monde tourne et change et l’espoir renaît avec les générations nouvelles et avec l’espérance. Notre force est dans le souvenir, dans la vérité historique, mais aussi dans l’esprit d’un meilleur avenir.
L’Europe qui a été, en juillet 1938, indifférente au sort des réfugiés juifs rescapés de l’Anschluss devrait prendre plus au sérieux le fléau du négationnisme. Des sanctions, des lois sévères, des punitions, une vigilance sans relâche, et surtout un programme éducatif, à tous les niveaux, pourront mettre un terme au négationnisme, à la renaissance de l’antisémitisme et aux nouvelles menaces.
Freddy Eytan, Le CAPE de Jérusalem, jcpa-lecape.org
Cette chronique devrait être largement diffusée dans les médias et dans les établissements éducatifs, car elle est explicite à souhait pour informer ceux et celles qui cherchent à connaître les faits concernant Israël.
Freddy Eytan, ancien ambassadeur, est particulièrement doué pour rappeler aux lecteurs les difficultés, diverses et variées, rencontrées par son pays pour faire face à ses détracteurs et notamment : les islamistes, les intégristes chrétiens judéophobes, les antisémites en général, les antisionistes, les gauchistes, les trotskistes et autres communistes.
C’est trop, beaucoup trop, et c’est pourquoi, tout homme et toute femme de bonne volonté se doivent (1°) se détacher des groupes sus-nommés et (2°) soutenir Israël de bonne foi.
Je rêve ? Pour répondre, je n’oublie pas ce qu’a dit le père du sionisme, Théodor Herzl, au peuple juif : « Si VOUS VOULEZ (re-créer votre Etat), ce n’est point une légende ».
En hébreu : « Im tirtsou, ein zou hagada ».