Le plan américain « divise essentiellement Jérusalem et modifie ses frontières », rapporte Israël Hayom.
Un autre rapport a été publié sur les détails du plan de paix israélo-palestinien du président américain Donald Trump. Les autorités américaines ont annoncé que le plan serait rendu public juste après les élections à la Knesset du mois prochain.
Le rapport de Nadav Shragai, publié en Israël Hayom , est au centre du statut de Jérusalem aux termes du plan américain.
Lorsque Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël en 2017, il a déclaré que sa déclaration ne faisait pas référence aux limites définitives de la ville. En effet, son plan de paix « divise essentiellement Jérusalem et modifie ses frontières », indique le rapport, bien qu’aucune source ne soit mentionnée.
Shragai rapporte que des «portions et idées» du plan ont déjà été présentées à Israël, aux Palestiniens, à l’Arabie saoudite, à la Jordanie et à l’Égypte.
Certaines parties septentrionales des limites municipales actuelles de Jérusalem, capturées par Israël lors de la guerre de 1967, mais où se trouvent un village arabe et un camp de réfugiés, seraient transférées dans un État palestinien, de même que les quartiers arabes du sud de Jérusalem capturés lors de la même guerre.
Au moins à la première étape de la mise en œuvre, Israël maintiendrait des « pouvoirs de sécurité étendus » dans les zones cédées aux Palestiniens, indique le journal, ajoutant que 85% de la Judée-Samarie seraient également inclus dans l’État palestinien.
Selon le rapport, l’administration américaine établit une distinction entre les zones de « l’ancienne Jérusalem jordanienne » avant la guerre de 1967, qui comprend la vieille ville et les quartiers adjacents, et une bande beaucoup plus grande de territoires qu’Israël a annexés à sa capitale la guerre, mais qui n’avait pas été incluse dans les lignes municipales auparavant.
La vieille ville et les zones adjacentes, y compris le mont des Oliviers, resteraient sous la souveraineté israélienne, selon le rapport. Cependant, certains des quartiers arabes périphériques, qui sont devenus une partie de Jérusalem seulement après le conflit de 1967, seraient inclus dans l’État palestinien.
Le Mur occidental resterait sous le contrôle exclusif d’Israël.
En ce qui concerne le mont du Temple, les Américains souhaitaient envisager la mise en place d’une administration religieuse commune interarabe qui comprendrait d’autres États, en plus de la Jordanie, qui sert actuellement de protecteur des lieux saints musulmans. Cette administration travaillerait en tandem avec Israël, selon le plan annoncé, et la région resterait sous souveraineté israélienne.
Une voie de passage sécurisée serait aménagée entre la partie «palestinienne» de Jérusalem et le mont du Temple.
L’Autorité palestinienne rejette par avance le plan Trump, indique le rapport.
© Moshé Anielewicz – Europe Israël News
Territoire «capturé» ? On a vraiment l’impression de prédateurs alors qu’une conquête par la guerre de défense est légitime.
Un plan de paix sur la base de l’abandon de territoires israéliens et de la division de Jérusalem n’est pas la solution au conflit palestinien. En effet, voici ce que la Bible révèle des racines de ce conflit, en parallèle avec des conflits antiques du même genre :
« L’Eternel parla à Moïse (…) Il dit : Parle aux fils d’Israël, et tu leur diras : Lorsque vous aurez passé le Jourdain (pour entrer) dans le pays de Canaan,
Vous déposséderez devant vous tous les habitants du pays, vous ferez disparaître toutes leurs idoles de pierre, vous ferez disparaître toutes leurs images en métal fondu et vous détruirez tous leurs hauts-lieux.
Vous prendrez possession du pays et vous vous y établirez ; car je vous ai donné le pays pour qu’il soit votre propriété. (…)
Mais si vous ne dépossédez pas devant vous les habitants du pays, ceux d’entre eux que vous laisserez seront comme des échardes dans vos YEUX et des AIGUILLONS dans vos côtés, ils seront vos adversaires dans le pays où vous allez vous établir. » (Nombres 33, 50-55 – Juges 2, 3…)
De toute évidence, sur le sol d’Israël, Dieu établit clairement et incontestablement UN LIEN de CAUSE à EFFET entre la présence de hauts-lieux et les conflits de territoires entre les populations liées à ces hauts-lieux et les autochtones, savoir les Juifs. C’est une REALITE SPIRITUELLE qui n’a pas changé.
Donc, par rapport à ces passages bibliques, il est clair que la CAUSE du conflit palestinien est les hauts-lieux de l’islam, Dôme du Rocher etc., et l’EFFET, les populations liées à ces hauts-lieux qui sont « comme des échardes dans les yeux des Israélites et des aiguillons sur leurs côtés ».
Les YEUX sont situés au niveau de la TÊTE. Or, en Israël, géographiquement la TÊTE (égal capitale) est JERUSALEM et les CÔTES, la BANDE DE GAZA ainsi que d’autres frontières. L’actualité extrêmement mouvementée, faite d’ECHARDES dans les YEUX (donc à Jérusalem) et d’AIGUILLONS sur les CÔTES (notamment dans la Bande de Gaza, et sur le Golan), ne fait que corroborer cette vérité spirituelle INCHANGEE…
Maintenant, étant donné que ces hauts lieux de l’islam ont été édifiés pendant l’exil des Israélites dans la diaspora au cours de ces deux derniers millénaires, et que le pays d’Israël était laissé à l’abandon, et SOUS LA SEULE GARDE DE DIEU, il est donc clair que DIEU est le SEUL à pouvoir intervenir dans cette situation conflictuelle, c’est-à-dire au niveau de sa CAUSE, pour neutraliser par ricochet les EFFETS de cette CAUSE, et ainsi régler définitivement le problème. Donc chercher à régler le conflit humainement, c’est-à-dire par l’abandon successif de territoires n’est absolument pas une bonne idée et surtout ne réglera en rien le conflit mais, tout au contraire, portera préjudice à Israël en lui enlevant ENCORE UNE FOIS de son espace VITAL…
J’ignore quelle est la religion de Mme Anderhuber mais ses commentaires religieux sont toujours intéressants et utiles. J’aimerais voir des réponses à la lumière du judaïsme.
Pour le camarade bien clair,je ne sais pas si ce « plan » farfelu » a un rapport avec les projets du maître; je regrette l’enthousiasme Israëlien pour ce personnage dangereux qui, avec sa petite base « sous contrôle Israëlien » et ses livraisons d’armes incongrues contrarie la réalité de la souveraineté totale Israëlienne.
Avec ce « plan » extravagant, la souveraineté d’Israël sur Jérusalem, qui est incontestable, au contraire du Golan, est disputée par l’ami encombrant. Encore deux années et Israël retrouvera un « ami raisonneur », après l' »ami visionnaire ». Bon courage!
2° paragraphe:
Pour le camarade Trump qui s’éclaire au Trump et qui ne voit donc pas bien clair, je ne sais pas…
Olivier Comte, vous dites : « J’aimerais voir des réponses à la lumière du Judaïsme ». Or quand on parle de Judaïsme, il va sans dire que l’on parle de la BIBLE entière, c’est-à-dire de la Genèse à l’Apocalypse parce que ce Livre inspiré par l’Esprit de Dieu est écrit à 99 % par des JUIFS. Sur cette base donc du Judaïsme BIBLIQUE, voici une prophétie de Jésus donnée peu de temps avant sa mort :
« Comme quelques uns disaient du temple
qu’il était orné de belles pierres et d’objets apportés en offrandes, Jésus dit :
Les jours viendront où, de ce que vous voyez ici,
il ne restera pas pierre sur pierre qui ne soit renversée (…)
Les Juifs tomberont sous le tranchant de l’épée,
ils seront emmenés captifs parmi toutes les nations,
et Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations
jusqu’à la fin du temps des nations… »
(Levi- Matthieu 24 ; Yohanan-Marc 13 ; Luc 21 v. 5-24)
Très brièvement :
La prophétie de Jésus commence à s’accomplir en 70 de notre ère quand Rome DETRUIT le Temple.
La prophétie de Jésus continue de s’accomplir quand Jérusalem est alors foulée aux pieds par les nations : Occupations romaine, byzantine, perse, arabe – ISLAMisation et construction du DÔME DU ROCHER -, égyptienne, franque (croisés), mamelouke, turque-Ottomane et finalement britannique jusqu’au 14 mai 1948 où Israël est relevé devant le monde entier par la proclamation de Ben Gourion (accomplissement d’Isaïe 66, 7-8).
Puis en juin 1967, l’État hébreu, qui ne possédait qu’une moitié de capitale, réunifie Jérusalem à l’issue de la Guerre Des Six Jours.
La parole de Jésus qui disait notamment : «et Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations [chute en l’an 70] JUSQU’A [relèvement ou réunification en 1967] ce que les temps des nations soient accomplis» est réalisée au niveau de ses cinq aspects : Destruction du Temple et de la ville, dispersion du peuple, occupations successives du pays, relèvement de Jérusalem, et donc fin du temps des nations.
L’occupation musulmane a eu lieu alors qu’Israël était en exil dans la diaspora. Dieu était le GARDIEN du pays, VEILLANT à la réalisation de sa parole donnée par Jésus. Israël n’a donc pas pu empêcher l’édification du haut-lieu de l’ISLAM réalisée pendant la GARDE divine. Or on a vu le lien de CAUSE à EFFET entre un haut-lieu et les guerres territoriales en résultant avec les populations autochtones. C’est pourquoi…
À la lumière du Judaïsme BIBLIQUE, la source du conflit étant SPIRITUELLE, la CAUSE, par conséquent ses EFFETS, AMPLIFIES inconsciemment par Israël par son retrait de la Bande de Gaza, ne pourront JAMAIS être résolus de manière humaine – et si c’était le cas, ce serait un leurre -, mais sont du seul ressort DIVIN…