Indignité Nationale
Ce gouvernement est indigne.
Il met en scène la violence qu’il crée à dessein, pour détourner l’attention sur son incapacité et sur son impuissance.
Et n’essaie en aucun cas de répondre à son peuple, ne faisant que jouer simplement une bataille d’opinion, les yeux rivés sur les sondages.
Sondages qu’il ne respecte que dans un seul sens.
Afin d’atteindre un retournement de tendance inéluctable.
Et il divise et oppose toutes les composantes de la nation entre elles pour survivre.
Au final, il crée toutes les haines entre tous.
Haines et intolérances palpables qu’on trouve et qu’on respire partout.
Faisant ainsi, il fait monter le FN pour apparaître comme seul recours.
Espérant rééditer son coup des présidentielles.
Et prolongeant cette même stratégie dans toute l’Europe.
Mais, ce qu’il n’a pas compris,
C’est qu’à trop s’acharner sur le FN et plier les médias à sa botte
Il finit par endosser lui-même les habits de l’intolérance et de la tyrannie que le peuple exècre.
Et il arrive qu’à trop tenter le diable, on en crée le désir.
L’Europe et le monde viennent pourtant de le lui rappeler, mais l’homme n’écoute que son nombril.
Macron se trompe du tout au tout.
Il veut en fait, tordre son peuple à sa volonté.
Mais au final, en démocratie, il n’est qu’une chose sacrée, légitime et immortelle: le peuple, et non son serviteur passager.
Alain Attal
Rarement vu texte aussi unilatéral, irresponsable et irréfléchi.
Taper du pied et dire NON est facile.
La preuve : c’est un sport national franchouillard de longue date.
Petit rappel : Sarkozy a échoué à se faire réélire ; c’est Hollande qui fut élu en 2012.
Hollande qui a échoué encore pire, n’ayant même pas pu se représenter.
Et maintenant, la meute suicidaire rend la France ingouvernable à 18 mois de présidence.
Naturellement, la rétrospective plus lointaine est tout à l’avenant.
Nous avons donc une instabilité croissante depuis des décennies ; cet Alain Attal doit être amnésique ou ignorant pour croire qu’il s’agit d’un problème momentané lié au président actuel.
Et si dire NON est facile, il faut savoir dire OUI à une solution.
Mais pour dire OUI il faut un minimum de maturité, bien connaitre le champ des possibles.
OUI à quoi ? A Mussolina, dont le parti politique est un business familial et qui, en cas de victoire, en transformerait la France en succursale ? Sans oublier les inavouables zombies cachés à peine dans ses placards historiques ?
Au Lider Minimo, Fidel de poche, Chavez low-cost, l’excité de Sophia, qui rêve de soumettre les insoumis et les autres façon Maduro ?
Alain Attal propose-t-il une alternative valable ?
Car sinon, c’est la bonne vieille râle du café du commerce, rien d’autre.