Après l’affaire des dattes, voici voici Le prince William en Israël et dans les territoires palestiniens. Les journaux avaient annoncé l’événement dès le mois de mars : C’est qu’il s’agit d’une visite officielle. Une première pour un héritier du trône britannique, puisqu’à ce jour, aucun membre si haut placé de la famille royale ne s’était rendu officiellement en Israël depuis la création de l’Etat hébreu en 1948.
La tournée du Prince
Le petit-fils de la reine Elizabeth II entend, lors de sa tournée au Proche-Orient, aller dans les Territoires palestiniens, en Jordanie, et en Israël.
De Mahmoud à Bibi, Ils sont tous contents.
Certes, le prince Charles était venu, mais pour assister aux funérailles d’Yitzhaz Rabin et à celles de Shimon Peres, avant d’aller sur le mont des Oliviers se recueillir sur la tombe d’ Alice de Grèce, sa grand-mère.
La patate chaude
Lecteur ? Tu sais quoi ? Robert Jobson, expert de la royauté britannique, il a expliqué qu’Israël c’était un peu une patate chaude. Traduis que ça craint, quoi. C’est que le Royaume Uni, concernant le statut de Jérusalem, il a tranché : ça doit être en fin de compte la capitale partagée des Etats israélien et palestinien.
Pour l’heure, le prince a été reçu à Amman par le prince héritier Hussein ben Abdallah et aurait rencontré de jeunes Jordaniens, des militaires britanniques et des réfugiés syriens.
On sait que le duc de Cambridge se rendra sur des sites éminents de Jérusalem et de Tel Aviv et rencontrera le Premier ministre et le Président, avant de s’entretenir, dès mardi, avec le président palestinien et de rendre visite à des jeunes palestiniens pour une célébration de la culture, de la musique et de la nourriture palestiniennes, dixit le communiqué officiel.
La patate chaude, elle a fait parler d’elle, lorsque Jérusalem-Est fut qualifié, dans une déclaration détaillant the voyage, de territoire palestinien occupé.
Mais les Britanniques, ils ont répondu… que le prince n’était pas une personnalité politique.
Jeudi marquera la fin du périple, couronné par une halte au Mémorial de Yad Vashem et une autre au mont des Oliviers à Jérusalem-Est. Il se recueillera sur la tombe de sa grand-mère Alice of Battenberg, dont on sait qu’elle avait aidé, au cours de la Seconde Guerre mondiale, à mettre à l’abri trois membres de la famille d’un politicien juif grec, ce qui lui avait valu les foudres de la Gestapo mais aussi, en 1993, le statut de Juste parmi les nations, et qu’elle avait formulé le vœu d’être enterrée au couvent de Marie-Madeleine, sur le mont des Oliviers de Jérusalem.
Sarah Cattan
C’est qui, c’est quoi, « un état palestinien » ?
Il ne faut pas s’étonner de l’invocation de « territoires disputés » quand les idiots utiles pro-squatters arabes les identifient comme « Palestiniens », une identité inventée par Yasser Arafat » Abou Ammar ».
« Palestiniens » n’existe plus la Palestine antique a été partagée entre Juifs et arabes : 25% pour les juifs de la Mer au Jourdain -ISRAEL et 75% aux arabes – la JORDANIE !! c’est pourtant clair !!! on ne peut pas partager un confetti cent fois !!!!!!!!