Les autorités, qui accusent Omar Shakir de soutenir le boycott d’Israël, ont mis fin à son permis de résidence : Shakir a 14 jours pour quitter le pays.
Les autorités israéliennes ont donné deux semaines au directeur local de l’ONG Human Rights Watch (HRW) pour quitter le pays. Omar Shakir est accusé de participer activement à la campagne de boycott d‘Israël menée par le BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions), l’une des bêtes noires des autorités israéliennes. « Le ministère a décidé de mettre fin (à son) permis de résidence », selon un communiqué du ministère de l’Intérieur israélien, consulté mercredi 9 mai par l’AFP.
Le BDS est une campagne globale de boycott économique, culturel et scientifique d’Israël, destinée à obtenir la fin de l’occupation et de la colonisation des Territoires palestiniens. Mais l’ONG Human Rights Watch dément que son directeur ait soutenu le BDS, et affirme vouloir saisir la justice israélienne. « Ce n’est pas de Shakir qu’il s’agit, mais bien de museler HRW afin de faire taire les critiques contre les violations des droits de l’Homme en Israël », déclare HRW dans un communiqué.
C’est la première fois qu’Israël ordonne le départ d’un membre de HRW, précise l’ONG. « Mais ce n’est que la plus récente illustration de l’intolérance croissante dont Israël fait preuve vis-à-vis des personnes qui critiquent son bilan en matière de droits humains », ajoute Iain Levine, directeur adjoint de la division Programmes à Human Rights Watch.
Engagement israélien contre le BDS
En février 2017, le ministère israélien des Affaires étrangères avait déjà indiqué que Human Rights Watch, considérée comme « partiale et anti-israélienne », n’obtiendrait plus l’octroi de visas de travail pour ses membres. Une décision qui avait été dénoncée par l’organisation.
Un mois plus tard, l’Américain Omar Shakir avait toutefois été autorisé à rentrer sur le territoire israélien, malgré une interdiction faite à son encontre quelques semaines plus tôt, invoquant le fait que HWR soit au « service de la propagande palestinienne ».
En 2011, les autorités israéliennes ont adopté une loi permettant à quiconque de déposer plainte et de réclamer des dommages et intérêts contre toute personne appelant publiquement au boycott de l’Etat hébreu.
En mars 2017, un amendement avait été ajouté à cette loi, permettant à Israël de refuser le droit d’entrée aux militants soutenant des organisations anti-israéliennes.
Sources francetvinfo et i24news
Tout le monde ne se sent pas forcément obligé d’ inviter le loup dans sa bergerie , comme nous le faisons en France depuis plus de cinquante ans.
On attend la suite des expulsions des menteurs patentés et ennemis d’Israël
Les médias comme France 24 , l’AFP,le Monde, Liberation , les ONG type b’tselem, les politiques comme la fermeture du consuat de France à Jerusalem et expulsion du consul et de son personnel, rupture des relations avec la France et d’autres pays d’Europe comme la Suède, Norvège , Islande, Belgique …
Rappel aux pays nazis de leur passé comme l’Allemagne qui se permet de critiquer Israel et aux pays bas et la France et qui se range du côté de l’Iran pour faire des affaires
Pas de pitié pour les ennemis d’Israël y compris ses gauchistes artistes et écrivains : expulsion ou déchéance de la nationalité
Mise au pas des députés arabes qui sont des ennemis d’Israël comme Zoabi . Tobi…,
Pas de pitié pour des réalisateurs israeliens antijuifs et tournant pour la nauséabonde chaîne Arte la plus sournoise
Israel doit durcir ses relations avec ces pays d’Europe