Cette semaine, j’ai une pensée pour les familles Sandler, Monsenego, Chennouf, Legouad, Ibn Ziaten et pour Loïc Liber blessé et aujourd’hui paralysé.
Depuis le 2 octobre, s’est ouvert le procès d’Abdelkader Merah, le frère de l’assassin terroriste islamique de Toulouse et Montauban.
Depuis 15 jours, les familles des victimes ont devant eux l’essence même de l’idéologie mortifère qui a arraché à la vie un ou plusieurs de leurs enfants.
Depuis le 2 octobre, dans la salle de procès, se confrontent deux mondes, celui la vie et de la lumière et celui de l’obscurantisme et de la mort.
Dans la même salle, se retrouvent chaque jour des familles de ceux qui ne demandaient qu’à vivre et ceux qui enfermés dans l’idéologie islamique se sont donnés le droit de vie ou de mort au nom d’un Dieu de guerre et diffuseur de haine. Un dieu ordonnant le Djihâd .
Depuis le début du procès, nous assistons à la confrontation de deux types de familles :
celles frappées dans leur chair, dont les enfants sauvagement assassinés, jouaient dans la cour de leur école, diffusait le savoir ou qui servaient avec fierté dans l’armée de la République et celle du terroriste Merah avec l’idéologue complice et surtout, Zoulikha Merah, la génitrice des monstres qui ont semé la mort.
Je ne peux l’appeler « mère » tant ce mot a de valeurs et de sens.
Aux mensonges s’ajoute l’outrance , à chacune de ses paroles, nous avons pu voir l’origine même de ce qui a fait de trois de ses enfants des monstres. Pas un mot de regret sincère, pas la moindre compassion, pire elle se place même en victime.
Lors de ce procès, jour après jour, le portrait véritable des criminels et de leur idéologie se dessine. Malgré les coups de gomme que tente de mettre l’avocat de l’accusé. Chaque jour, le masque tombe et derrière le visage d’Abdelkader réapparaît une maxi tête associant les visages de Mohamed, celui de Souad sa sœur et celui de Zoulikha qui les a mis au monde.
Au fur et à mesure des déclarations, c’est le visage de l’islamisme radical qui apparaît et s’installe. Au palais de justice, une page importante de notre avenir est en cours d’écriture. La justice sera rendue mais force est de constater que tous les complices ne sont pas assis sur le banc des accusés.
Dans certaines de nos banlieues, les Merah sont des héros et Zoulikha pourrait devenir à son tour une icône.
Aujourd’hui, au nom des victimes du terrorisme, la sentence doit être exemplaire. Dans nos villes, dans nos banlieues, dans nos écoles, ne laissons pas triompher l’idéologie diabolique et destructrice des Merah.
Brisons les visages de haine des Zoulikha et accompagnons avec force le message fraternel et humaniste porté par Latifa Ibn Ziaten, cette mère courage et exemplaire.
Il s’agit là d’un véritable enjeu de société.
À nous de choisir, à nous d’agir, à nous de vaincre. Pour aujourd’hui, pour demain, pour la France des lumières et du vivre ensemble.
Gil Taieb
Le vivre-ensemble est un leurre, en France. Car le multiculturalisme laisse s’installer l’islam, lequel ne tolere que…lui-meme.
Plus qu’à tout autre, j’en veux aux Présidents successifs et à leurs gouvernements qui jouent au jeu de l’aveugle et du sourd. Le fait de tolérer et même d’encourager la construction de mosquées, la prière dans les rues, l’islam radical et surtout la venue de centaines de milliers de migrants tous musulmans, infiltrés par des terroristes de Daesh, le fait de nous imposer le « vivre ensemble » avec des gens qui ont des mœurs du moyen-âge, le fait d’accepter que les Français soient confrontés à la pire violence, aux menaces, au crachats ET A LA MORT n’est pas digne d’un gouvernement responsable et qui se respecte. Le gouvernement actuel, comme celui qui l’a précédé, expose sciemment et en première ligne le peuple face aux terroristes islamiques laissés libres dans nos villes. En revanche, le Chef d’Etat a bien pris ses précautions pour se protéger, ainsi que sa famille. Les ministres et députés également. Le nombre de gardes à l’Elysée a doublé, ainsi que les gardes du corps et chauffeurs, tous armés. Les voitures ont été blindées, et l’avion présidentiel a été équipé d’un système antimissiles. Pour le peuple, rien n’est fait. Quel mépris et quelle arrogance de la part de ces politiciens. Qu’ils n’oublient pas que c’est ce même peuple qui les a élus et qui leur verse leurs salaires.