Lecteur, l’overview effect, t’en souvient-il ? Cette photo à nous tous familière, Blue marble, la bille bleue, ce cliché qui imposa que le vaisseau de l’équipage d’Apollo 17[1] soit situé exactement entre la terre et le soleil afin qu’aucune ombre ne vienne oblitérer une partie de la planète, permettant cette vision globale si singulière et l’occasion unique d’observer notre monde dans son ensemble. Cette expérience aurait eu sur les membres du vaisseau un effet considérable, un décalage cognitif dans la conscience que Frank White, en 1987, nomma overview effect[2].
T’en souvient-il, Lecteur ? Le court-métrage Overview, réalisé par le Planetary Collective[3] en l’honneur des 40 ans de Blue Marble, nous l’expliqua, cet effet, les astronautes décrivant leur expérience avec ce phénomène cosmique et racontant comment ils furent concrètement impactés par la fragilité de la planète bleue perdue au milieu de l’espace, petite et fragile boule de vie, point bleu pâle suspendu dans le vide, protégé et nourri par la seule couche ténue de l’atmosphère, mince comme une feuille de papier, notre Terre qu’ils comparèrent tous à un organisme vivant duquel il fallait urgemment prendre un soin immense : le protéger, en somme.
Ainsi, à les entendre, certaines façons de regarder un monde qui nous est familier pourraient changer notre attitude : prenant, toi et moi, Lecteur, un zeste de distance, nous changerions notre regard sur le monde et nous changerions dans la foulée, qu’ils disent, et puis, comme nous changerions, le monde changerait ? Que t’en semble, Lecteur ? Si toi et moi, en cette rentrée, nous délestions de ce scepticisme pesant. Juste pour voir. Parce que nous n’avons plus rien à perdre. Si nous nous essayions à le regarder de loin, ce monde familier, qu’il s’agît de notre sphère privée, de notre environnement social, professionnel, ou encore politique. Si, laissant s’éloigner nos collaborateurs, collègues, et puis aussi ceux qui nous sont chers, et puis encore ceux pour lesquels nous ne nourrissons que colère, mépris, voire peur, nous nous appliquions à les regarder de loin, désormais fragiles et infiniment petits devant l’immensité de l’océan, par exemple.
Imagine : ça s’appliquerait aux locaux-même de ton entreprise, mais aussi à un Soral, un Ramadan, un Dieudonné, tu sais, celui qui annonce sans rire qu’il se rendra en Corée du Nord ce mois-ci afin d’œuvrer pour la paix, ça s’appliquerait à un Kim Jong-un, Grand soleil du XXIème siècle pour les intimes, et à son concours de quéquette avec Donald Trump qui fit dire à un internaute Demain est annulé. Ça s’appliquerait aux terroristes, mais aussi à ceux-là qui prétendent nous gouverner, tu sais bien, nous protéger, qu’ils disent.
En somme, tu l’auras compris, Lecteur, je t’exhorte en cette rentrée à prendre du recul, de la hauteur. Imagine qu’il en ressortît, comme il advint aux astronautes, l’envie en chacun de nous de prendre davantage soin d’autrui ; l’envie collective encore d’enfin l’avoir, ce courage, et de le prendre, ce virage qui changerait quelque chose dans notre trajectoire. Imagine. Ici aussi, comme dans les espaces infinis, tout paraîtrait possible. Et même que nous aurions envie de mieux revenir dans le débat, le combat. Envie de tous nous appliquer, ensemble, à l’éteindre, le feu qui couve. Tous boostés par l’overview effect, validant ce sentiment d’interconnexion décrit par les astronautes tournant leur regard vers la Terre[4], ce lien cosmique, cette sensibilité accrue à notre place dans l’Univers.
Je ne sais pas pour Toi, mais moi, c’est juste ce dont j’aurais besoin, ce petit quelque chose en plus. Ce serait un peu comme le bruit de fond décrit par Michel Serres: Nous n’entendons jamais si bien le bruit de fond qu’à la mer. Ce brouhaha tranquille ou véhément semble établi là pour l’éternité […]. L’espace est envahi, entier, par la rumeur. Nous sommes occupés, entiers, de la même rumeur.
En somme, Lecteur, on le créerait, cet espace. Un espace pour tenter d’entrer en relation. Quels que soient nos groupes, nos cultures. Du chaos à l’effet d’ensemble : un espace de médiation opérerait.
Mufti Al- Husseini
Alors ? Alors, Lecteur, toi qui commences à me connaître, et qui les sais, ce que d’aucuns appellent mes obsessions, tu me rejoindrais et le regarderais autrement, cet Islam politique par exemple, que nous avons laissé, pleutres ou inconscients que nous étions, entrer et envahir nos vies. Cette escroquerie intellectuelle, cette idéologie mortifère, cette soumission en marche, ces infiltrés proches du CCIF ou membres de Lallab[5] qui copulent aujourd’hui, sous nos yeux ébahis, avec la République[6]. Ceux-là-même qui ont tué les nôtres et persistent à se présenter comme des victimes, avec la complicité de nos représentants politiques qui continuent de nourrir la bête qu’ils prétendent combattre. Je te reparle en vrac du mufti Al-Husseini, de l’insupportable refrain qui nous chante que non, l’islam ce n’est pas ça, je te redis les livres saints qui prônent la lapidation pour adultère, la décapitation, la mutilation des voleurs, la ségrégation des sexes, la polygamie, l’infériorité de la femme, le meurtre des homosexuels, l’assassinat des apostats, l’extermination de tous les infidèles, le mariage des petites filles, la peine de mort pour les enfants, la prohibition de l’alcool, de la danse et de la musique, l’enfermement symbolique des femmes, l’excision, la crucifixion des chrétiens, la haine du Juif, et j’en passe.
Kamel Daoud
Imagine. Exhortés par l’overview effect, nous retrouverions le courage de dire non. Sans plus rien attendre de l’Etat providence, nous œuvrerions à la réparer, notre société à l’agonie. Portés par la parole libre d’un Boualem Sansal, d’un Waleed Al Husseini, d’un Kamel Daoud, qui nous montrent la route, nous retrouverions la force de nous lever, concrètement, pour leur dire encore que résolument oui , nous sommes contre la doctrine, le dogmatisme et l’idéologie totalitaire et barbare prônés par l’islam et qu’en conséquence nous acceptons de l’encourir, le risque d’être taxés d’islamophobie.
Toi, moi, eux, tous, nous dénoncerions dans la foulée le silence de la mégère, pardon, de la Présidente du FN mais aussi l’attitude de l’Europe qui prétend garder son honneur et financer en même temps généreusement l’autorité palestinienne, celle-là-même qui continue à officiellement salarier les terroristes emprisonnés ou tués et distribua, cette seule année, 345 millions de dollars de versements indemnitaires à leurs familles. Soit la moitié des 693 millions de dollars reçus principalement de l’Europe.
Imagine : tous, nous écouterions pourquoi Kamel Daoud la refuse, la solidarité avec la Palestine, cette solidarité sélective. Celle qui s’émeut du drame palestinien parce que se sont des Israéliens qui bombardent. […] Celle qui ne s’émeut pas du M’zab, du Tibet ou de la Kabylie il y a des ans, du Soudan, des Syriens et des autres douleurs du monde, mais seulement de la « Palestine ». […] Cette solidarité au nom de l’Islam et de la haine du juif ou de l’autre. Cette « solidarité » pleurnicharde et émotive qui vous accuse de regarder le mondial du Brésil au lieu de regarder Al Jazeera. Cette « solidarité » facile qui ferme les yeux sur le Hamas et sa nature pour crier à l’indignation […] au nom de l’orthodoxie pro-palestinienne que l’on ne doit jamais penser ni interroger. Cette « solidarité » qui vous vend la fin du monde et pas le début d’un monde, qui voit la solution dans l’extermination et pas dans l’humanité, qui vous parle de religion pas de dignité et de royaume céleste pas de terre vivante ensemencée.
Imagine encore, Lecteur, on ne la tolérerait plus passivement, cette tendance lourde du personnel médiatique et politique occidental à psychiatriser le terrorisme islamique : souviens-toi que l’assassin qui défenestra, après l’avoir torturée, Sarah Halimi, ne passa pas par la case prison et fut d’emblée placé dans un établissement psychiatrique, car voir la question à travers le prisme de la psychiatrie évite de se poser les questions dérangeantes[7], écrit Gilles-William Goldnadel, qui nous parle de nous lorsqu’il évoque cette société occidentale devenue névrotiquement masochiste.
Imagine encore : la judiciarisation djihadiste que l’on sait, celle qui s’exerça contre les quelques courageux qui osèrent parler et les convoqua au Tribunal sous notre regard pétrifié. Ce CCIF qui, sur son site, vous rassure : il vous accompagne désormais juridiquement, fixant des limites aux discours de haine à chaque fois que cela sera nécessaire.
Shaker Elsayed
Imagine. Nous nous lèverions lorsque Tariq Ramadan volerait une fois de plus au secours de l’imam Shaker Elsayed[8], oui, celui-là qui recommande l’excision pour éviter l’hypersexualité chez les femmes : Il faut nous lever pour défendre nos opinions, et avant de réagir de manière précipitée sur quelconque sujet, nous devons avoir une discussion interne, qu’il répliqua, Frère Tariq, intimant aux yeux de tous une injonction à la solidarité communautaire et à la soumission au groupe, d’autant plus impérative, ajoute le sachant, qu’il y a conflit entre l’islam et l’occident. Tu le sais bien, Toi qui en es, Lecteur : cet occident qui veut la perte de l’islam. Tu la reconnais bien, à force, cette arme, cet instrument de conquête, cette mystification nommée islamophobie, new concept qui vise à fédérer une communauté musulmane autour d’un projet politique fondamentaliste qui entend faire prévaloir la Charia sur les règles du pays où ils vivent, ces musulmans.
Imagine, Lecteur, si nous avions porté crédit aux propos de Boualem Sansal stupéfait de notre torpeur devant cette France en voie de faire allégeance au Califat. Ce n’était pas faute qu’il nous eût prévenus, ni qu’il nous l’eût décrit, le funeste programme islamiste: briser les résistances, éteindre les Lumières avec un grand L et installer les mécanismes d’une islamisation en profondeur de la société, l’islamisme ne commençant véritablement son œuvre qu’après le passage du rouleau compresseur de la terreur, puisqu’à ce stade la population est prête à tout accepter avec ferveur, humilité et une vraie reconnaissance. Il raconta comment on en était là en Algérie, où le programme se déroule bien, les islamistes travaillant comme à l’usine, contrôlant tout, surveillant tout, et déplora que la France ne sût toujours pas se déterminer par rapport à l’islamisme : est-ce du lard, est-ce du mouton, est-ce de la religion, est-ce de l’hérésie ? Nommer ces choses, elle ne sait pas, c’est un souci. Pendant ce temps, le boa constrictor islamiste a largement eu le temps de bien s’entortiller, il va tout bientôt l’étouffer pour de bon. Insouciante qu’elle est, la mignonne est allée faire amie-ami avec les gros cheikhs du Golfe que chacun sait être les géniteurs et les dresseurs du boa et surtout d’anciens redoutables détrousseurs de caravanes. Ce n’était pas faute qu’il nous l’eût répétée, son inquiétude de voir cette grande nation laïque et avant-gardiste exhiber à tout bout de champ ses imams et ses muftis, ses pachas de l’UOIF, ses commandeurs du CFCM, et, pour la note moderne, deux trois sœurs cagoulées à l’arrière-plan : On croirait que la laïcité y a été abrogée par un édit du grand imam, concluait-il.
Houria Bouteldja
Elizabeth Lévy ? L’entends-tu, de là-haut, Lecteur, dénoncer les Zones de non-France, racontant[9] cette contre-société islamiste qui menace la République, prévenant sans relâche contre cet islam rigoriste, littéraliste et sécessionniste qui poursuit son entreprise de conquête et de contrôle des esprits musulmans en France : La guerre qu’il mène n’est pas faite de grandes offensives ni même de vacarme médiatique, c’est à bas bruit qu’il avance ses pions. Il grignote des territoires où il devient majoritaire, pratique l’entrisme là où il est déjà fort – RATP, stades, prisons, pour ne prendre que les exemples sur lesquels nous avons enquêté –, saisit les tribunaux pour intimider des intellectuels comme Georges Bensoussan et Pascal Bruckner, et fait tomber, jour après jour, des dizaines de ces petites citadelles mentales qui sont les avant-postes de notre monde commun. Les islamistes s’attaquent à ces mille riens qui font notre humeur collective, notre façon de vivre ensemble et d’habiter l’espace public. Ce projet politique n’aurait jamais pu emporter tant de victoires sans une incroyable accumulation de bons sentiments dévoyés, de complaisances intéressées, de lâchetés inavouées, d’aveuglement volontaire et d’une énorme dose d’imbécillité à visée électoraliste.
Et puis il y eut Lui encore, Laurent Bouvet, écrivant sans relâche qu’il est un crime contre l’esprit que des universitaires défendissent Houria Bouteldja[10], la porte-parole des Indigènes de la République, cet emblème du dévoiement du combat antiraciste dans une partie de l’extrême-gauche et de la gauche, broyées par le piège identitaire bien plus encore que ses échecs économiques depuis qu’elles ont fait des musulmans les nouveaux damnés de la terre, en remplacement des travailleurs, prolétaires et autres ouvriers, permettant à ce cancer identitaire d’envahir le débat public.
Attika Trabelsi
T’en souvient-il, Lecteur, des revendications de la femme voilée dans cette émission politique sur France 2 ? Lallab, déjà. Attika Trabelsi, militante présentée comme individu lambda, normalienne de son état, venue nous expliquer que le discours contre l’islamisme et contre la bigoterie des voilées blessait et violentait ses semblables, suivant en cela la stratégie d’islamisation de conquête de l’Europe par le monde musulman, l’affichant clairement, son projet de conquérir l’espace public et de plier notre société à sa vision pathologique des rapports hommes-femmes- , tout cela pendant que Lallab, donc, faisait sur twitter la promo de celle qui n’était pas moins que sa trésorière : Ce soir on a besoin de votre soutien et de beaucoup de love pour cet exercice très difficile : faire entendre les voix plurielles des femmes musulmanes ! L’émission commence à 21h mais notre intervention sera vers 21h40. Lallab qui ce mois-ci a demandé à l’État, cet État que les racialistes auxquels elles appartiennent dénoncent comme néocolonial et islamophobe, l’attribution de trois services civiques financés par le contribuable pour développer leurs activités prosélytes.
Lallab et ses représentantes qui veulent faire plier la République pour qu’elle s’adapte à leur radicalité, Lallab vêtue de ses plus beaux atours pour séduire en instrumentalisant le féminisme et la lutte antiraciste, Lallab dont les armes s’appellent voile et victimisation, Lallab qui, brandissant le concept d’islamophobie, entend tous nous faire taire, Lallab, ce club de sœurs jumelles du CCIF ou de l’UOIF. Lallab qui nie l’apartheid sexuel dont le port du voile est le symbole. Lallab et leur marraine Asma Lamrabet, qui considère que le droit à l’avortement ne constitue pas pour les musulmanes une priorité et dont un des ouvrages a été préfacé par Tariq Ramadan. Lallab qui se présente comme une association areligieuse, aconfessionnelle et apartisane victime de cyber harcèlement, mais Lallab en réalité association 100% religieuse, qui participe aux hijab days et oublie ses sœurs égorgées pour avoir refusé de le porter, le dit hijab.
Karim Akouche
Toutes ces fois où nous avons laissé faire. Ce serait fini. Imagine, Lecteur. Toi, moi, tous, nous boycotterions France Info et son sujet sur le pèlerinage à la Mecque, là où celle-ci dit combien elle est désormais lourde à porter, la connotation d’Allahu Akbar. Est-ce à elle que tu réponds, Karim Akouche[11], lorsque tu écris que le mot Allah est devenu la devise algérienne. Il est partout : dans toutes les bouches, dans toutes les têtes, sur tous les murs, dans tous les disques, tous les téléphones, tous les livres, les assemblées, les écoles, les gares, les bordels. On le met à toutes les sauces. On le déverse dans tous les tagines. On le mélange à toutes les épices. On le dit pour être aimable, pour séduire, mais aussi pour corrompre. Untel est violent, il hurle : Allah est grand. Un autre est charitable, il chuchote : Allah est miséricordieux. Dieu n’espionne pas les Algériens du ciel. Il est parmi eux. Il vit en eux. Il pense à leur place. Il est dans la cuisine. Il est caché dans les institutions et les lois. Il est le guide. Il régit la vie. Il s’occupe des affaires de la cité. Les citoyens sont ses sujets. Il surveille leurs mœurs. Il contrôle la virginité des filles. Il fait la chasse aux mécréants. Il ordonne la fermeture des bars. Allah fait la politique. Allah est chef de guerre. Allah est roi. Allah est chez lui en Algérie.
Hoda Charaoui
Ainsi, Lecteur, nous qui aurions pris de la distance, nous choisirions de nous référer à Hoda Charaoui, cette féministe égyptienne qui, créant en 1922 l’Union féministe égyptienne, retira son voile, cette insulte à Dieu et à son Prophète, pour poursuivre son combat tête nue. Nous ne nous tairions plus si France 2 et compères osaient nous le refaire, le coup de la femme voilée, et leurs voiles, fussent-ils élégants et de couleurs chatoyantes, nous dirions sans répit le sexisme qu’ils incarnent et la défaite de la pensée qu’ils charrient.
Hashtags #overview effect … Elle me revient à l’esprit, la puissance des réseaux sociaux et leur formidable pouvoir de rassembler les gens. Il consulte dans le monde, le Docteur Rojzman. Lui qui prétend guérir ces folies collectives en déminant, grâce à un processus de mise en confiance et de confrontation, les situations humaines explosives. Nous l’appellerions au chevet de la France, ce Docteur des âmes qui explique que la folie du monde serait la résultante des trois principales maladies de l’époque et qui pronostique que grâce à la thérapie sociale, continuation des idéaux des Lumières, le règne de la raison critique pourrait l’emporter contre le fanatisme.
C’est la rentrée. Attendrons-nous en nous demandant où il tombera, le prochain attentat ? Ou nous lèverons-nous. A défaut, elle arriverait, précédant ou suivant le prochain drame, l’étape de plus des organisations musulmanes wahhabites, ce projet de location de logements entre musulmans, d’occupation d’immeubles entiers avec comme références tous les critères prescrits par le Coran : avoir un appartement pur, sans alcool, sans porc. De seuls voisins musulmans. Et on ne pourra plus dire qu’on ne savait pas. Que t’en semble, Lecteur ?
Sarah Cattan
[1] Le 7 décembre 1972.
[2] Ou effet de vue d’ensemble, de surplomb/d’aperçu. Le concept a été décrit et nommé dans The Overview Effect — Space Exploration and Human Evolution de Frank White.
[3] Groupe de créatifs, cinéastes et penseurs.
[4] Laurent Quivogne.
[5] Nouveau visage du féminisme musulman, l’association Lallab, ( Lalla, madame en arabe, et Lab, pour Laboratoire ), fondée en 2016, pour faire entendre les voix musulmanes qui seraient au cœur d’oppressions racistes et sexistes, est soutenue par un Benoît Hamon ou une Rokhaya Diallo et pourfendue par d’autres, tels Valls ou Céline Pina qui la définissent comme un laboratoire de l’islamisme.
[6] Sarah Toumi, Présidente de Lallab, recrutée par Emmanuel Macron pour participer au Conseil Présidentiel pour l’Afrique.
[7] Romain Caillet, historien français spécialiste de la mouvance djihadiste.
[8] Du centre islamique de Falls Church, près de Washington DC.
[9] Causeur, 5 janvier 2017.
[10] Auteur du très controversé Les Blancs, les Juifs et nous.
[11] Lettre ouverte à un soldat d’Allah. Karim Akouche. Cnpnews.net
Les francais ne peuvent pas faire marche arriere , il est trop tard !
Par contre , le danger vient aussi qu il faut trouver un coupable facile a attaquer , c est le Juif , et l etat Juif , devenu le Juif de la planete ! Et cela , les francais savent y faire !
Il ne s’agit pas de faire marche arrière, cher(e) Jg, mais de résister, et ainsi limiter les dégâts. Qui ne dit rien, consent, mais qui, a contrario, développe ses capacités de résilience, peut, par ses prises de position quotidiennes, orienter en quelque sorte la suite des événements.
Sarah Cattan a exposé magistralement la situation actuelle de l’islam en France, ainsi que les problèmes qu’il est susceptible de poser au tout venant laïque. On ne peut que l’en féliciter, tout en espérant que ses lecteurs y puiseront de saines motivations pour contribuer à… »limiter les dégâts », justement.