Fabien Gilot, star de la natation française, fait sa demande en mariage à Jérusalem

C’est ce qui s’appelle joindre l’utile et le très, très agréable : désigné Ambassadeur de la délégation française pour les Maccabiades 2017, compétition sportive juive organisée tous les quatre ans en Israël sur le modèle des Jeux olympiques, Fabien Gilot a profité de sa présence en couple à Jérusalem pour demander sa compagne, Audrey Selles, en mariage. Elle a dit oui ! 

Le nageur nordiste licencié au Cercle des nageurs de Marseille, président du Conseil national du sport depuis le mois de mars, et la ravissante avocate marseillaise ont l’un et l’autre partagé l’heureuse nouvelle via Instagram. « Elle a dit oui », a sobrement jubilé Fabien Gilot, 33 ans, en légende d’un selfie à deux devant la Tour de David qui a suscité une flopée de félicitations – dont celle de la nageuse Charlotte Bonnet.

She said yes 😉 @audrey.sls

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Audrey, quant à elle, a adressé une flamboyante déclaration d’amour à son chéri, membre du relais 4×100 m nage libre champion olympique à Londres (2012) et vice-champion olympique à Rio (2016) :
« Il est ma plus belle histoire d’amour. Tout ce dont une femme peut rêver. Il est exceptionnel, extraordinaire et c’est l’homme le plus merveilleux de la Terre. Je l’aime plus que tout.
Je suis à cet instant la plus heureuse et la plus chanceuse de toutes les femmes. J’ai dit ‘oui’ @fabien_gilot », s’est-elle extasiée, complétant son message d’une salve de hashtags tout aussi euphoriques : « mon amour », « mariageenapproche », « le seul et unique », « montout », « toutsimplementlemeilleur ». Beaucoup, beaucoup d’émotion…


Fabien Gilot et Audrey Selles ont pu partager leur bonheur avec les autres ambassadeurs des Maccabiah Games 2017 présents à leur côté : l’acteur Pascal Elbé, le producteur Elie Chouraqui et le rugbyman Pascal Papé.
On notera par ailleurs que le choix de Fabien Gilot de faire sa demande en Israël n’était peut-être pas qu’une question d’opportunité, mais aussi un choix symbolique : en 2012, des médias israéliens avaient été intrigués par son tatouage en hébreu, signifiant « Je ne suis rien sans eux » et interprété comme un hommage à son grand-père Max Goldschmidt, rescapé des camps de la mort.

Source koide9enisrael

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