L’enquête pour fraude fiscale menée contre Bar Refaeli et sa mère, Tzipi Refaeli, a atteint sa phase finale et les enquêteurs de l’administration fiscale pensent qu’ils ont suffisamment de preuves justifiant des accusations pénale d’évasion fiscale.
L’enquête sur Bar Refaeli a commencé en 2015 et depuis, elle et sa mère ont été convoquées à six reprises et ont catégoriquement nié toutes ces allégations.
Par opposition à la police qui recommande ou pas de les inculper, l’administration fiscale transmet les rapports et les preuves au procureur de l’Etat sans faire une recommandation.
L’avocat de Rafaeli, Udi Barzily, a déclaré: « Il n’y a rien dans ce cas qui justifie un acte d’accusation, d’ailleurs, il n’y aura pas d’accusation parce qu’il n’y a rien ».
L’enquête se concentre sur les années 2005, 2007 à 2009 et 2009 à 2012.
Selon l’avocat de Rafaeli, elle n’était pas résidente du pays parce qu’elle était en Israël moins de 183 jours par an durant cette période et en tant que telle, elle était exemptée de payer des impôts pour le travail à l’étranger.
Refaeli est également soupçonnée d’avoir reçu des avantages et des rabais en raison de son statut de célébrité sous la forme d’appartements résidentiels et de véhicules de luxe.
La valeur des prestations dépasse un million de shekels censé être déclaré comme revenu imposable.
Tzipi Refaeli est également soupçonnée d’avoir fait de fausses déclarations d’impôt aux autorités.
De plus, Bar Refaeli est accusée d’avoir vécu dans les tour YOO (Tel Aviv) mais dans un appartement loué par son frère, afin de faire en sorte qu’elle n’ait pas de lieu de résidence en Israël.
Plus tard, Refaeli à déménagé dans un autre appartement où elle a vécu pendant trois ans. Le contrat pour cet appartement a été signé par sa mère, afin de ne pas avoir de lieu de résidence.
Belle et cupide…
Laide et désintéressée …vous préféreriez ?
Ni l’une ni l’autre mon capitaine !