Argenteuil, lundi 17 octobre 2016. Un enseignant de CE2 de l’école Paul Langevin 1 a été agressé devant sa classe par deux jeunes hommes. Ils l’ont traité de « raciste » alors qu’il venait de disputer une de ses élèves en revenant d’un cours de sport.
« Les enfants ont pleuré, ils étaient sous le choc. Ils voient leur maître par terre se prendre des coups, ce n’est pas anodin. » Ce lundi après-midi, à la sortie de l’école Paul Langevin 1 d’Argenteuil, dans le quartier du Val-d’Argent sud, la violente agression d’un enseignant de CE2 est sur toutes les lèvres. Un père arrivé immédiatement après les faits explique avoir récupéré une classe « en panique ».
Il est 11 h 30, les élèves reviennent à pied d’un cours d’éducation physique au stade du Marais, quand leur instituteur de 50 ans est soudainement attaqué par deux jeunes hommes. Le professeur venait de remettre à sa place une de ses élèves qui disait des gros mots et qui sortait du rang. Les deux agresseurs sont sortis de leur voiture et lui ont crié : « Tu lui parles pas comme ça, raciste ! » L’enseignant a alors rétorqué : « Mais je suis leur maître. » Tout en s’approchant du quinquagénaire, l’un des assaillants a alors répondu : « Et moi, je suis une racaille. »
Le visage tuméfié, la victime a été transportée à l’hôpital. Dans l’après-midi, il est allé porter plainte avec le directeur de l’école. Selon l’inspection académique, l’enseignant aurait refusé de prendre ses jours d’incapacité totale de travail. D’après les parents concernés, la victime, qui travaille depuis plusieurs années à Paul Langevin 1, reviendrait dès ce mardi assurer ses cours.
Une attaque vivement condamnée par la direction académique et le maire de la ville, Georges Mothron (LR), qui dénonce une « agression totalement gratuite ». « Nous lui apporterons toute forme d’aide dont il pourrait avoir besoin », ajoute l’inspection.
Françoise Houttemane, secrétaire générale du syndicat Snuipp 95, déplore « une attaque violente de l’institution ». Elle a demandé la mise en place d’une cellule psychologique : « Notre collègue est extrêmement choqué, l’école est bouleversée. » A la sortie des classes, les parents sont effectivement stupéfaits : « C’est incroyable. En plus c’est le professeur que tous les enfants veulent parce qu’il est gentil », raconte une mère de famille. « Il n’est pas raciste mon professeur, je l’aime bien », lance une de ses élèves âgée de 8 ans.
Les agresseurs, à peine majeurs selon les témoignages, sont toujours en fuite. L’enquête a été confiée au commissariat local. Il devra notamment déterminer s’ils ont un lien de parenté avec la fillette qui s’est fait sermonner par l’enseignant.
Devenu tellement banal!
Il est à parier que ces agresseurs, que l’on va sûrement retrouver, ont eux-même un passé en rupture avec l’école (nationale) et une influence qui a malheureusement pignon sur rue aujourd’hui. Les carences de comportement de l’état auprès de ces jeunes induit des incivilités en cascade. On en paie le prix.
Notre ministre de l’éducation a promis de sévir contre toute violence faite au corps enseignant.
Elle veut faire plus fort que la police et la gendarmerie. Permettez-moi d’en douter.
Le jour, qui arrivera forcément, où la patience du peuple de France sera épuisée, l’algérienne islamisée Bouteldja et ses congénères qui le menacent chez lui vont vraiment se rendre compte que ce pays est encore à 80% un pays d’hommes blancs et non musulman. Et je crains que ce retour au réel ne soit très douloureux…
Mais, allez-vous me demander, pourquoi parler « d’hommes blancs » et mêler l’algérienne islamisée Bouteldja à ces racailles lâches ? Pour ceci :
« Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc. Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront çà. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres. Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous. C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos peaux, c’est maintenant. »
C’est un extrait d’une lettre à Zemmour où la Bouteldja, après nous avoir assuré qu’elle les avait « tant aimé » et avoir tout fait pour ressembler aux françaises (ce qui pour elle se résume en gros à porter une minijupe et à manger du porc…) se lâche enfin.
Noter le fond de l’affaire, le reste n’étant qu’hypocrisie et jalousie : 1830…
Il faudra quand même expliquer à la Bouteldja, qui a la nationalité algérienne, que la France est un pays libre et qu’elle est libre d’en partir. Il parait que l’Algérie est un beau pays où il fait bon vivre, non ?…
ps: la Bouteldja n’étant pas très courageuse, elle essaie quand même de se trouver un paratonnerre en mêlant à sa guerre civile future, tout en les dissociant du peuple français, les juifs : d’où le titre de son livre « Les blancs, les juifs et nous »… Mais je doute que cette fois cela fonctionne car « les blancs » ont bien compris qui leur tiraient dessus à la kalachnikov et réduisaient en bouillie avec un camion leurs enfants en vacances…