La police a perquisitionné le siège du parti Balad ainsi que plusieurs bureaux et des maisons privées appartenant à de hauts responsables du parti arabe ce dimanche matin en raison de soupçons de corruption au sein du parti politique.
Balad est un parti arabe dont plusieurs de ses membres siègent à la Knesset dans le cadre de la Liste arabe Unifiée. Ce parti politique est dirigé par le député Jamal Zahalka.
La police soupçonne que des fonds destinés au fonctionnement du parti ont été utilisés pour une série de délits financiers.
Plus de 20 personnes ont été arrêtées durant le raid de ce Dimanche dont notamment des avocats et des comptables; ils seront présentés devant un juge dans la journée afin de prolonger leurs détentions.
L’enquête contre des hauts fonctionnaires du parti Balad a été ouverte à la suite d’un rapport du contrôleur de l’État.
L’enquête a été menée par la police ainsi que par les autorités fiscales et par le département anti-blanchiment d’argent du bureau du procureur de l’État, qui s’est joint à l’enquête alors qu’elle était en cours.
Selon les soupçons, des fonds acquis par le parti et pour le parti ont été cachés et déguisés puis l’argent a été détourné.
Les crimes qui ont été commis sont l’acceptation d’actifs sous de faux prétextes, écriture de fausses informations sur des documents, faux, usage de faux documents et blanchiment d’argent.
Les fonctionnaires impliqués dans l’affaire sont également soupçonnés d’avoir violé les lois sur le financement des partis politiques et les lois sur les municipalités.
Il se peut que des députés soient impliqués dans ces affaires de corruption et de blanchiment d’argent mais l’enquête ne fait que commencer.
Rappelons aux lecteurs que parmi les députés du parti Balad se trouvent Zoabi, Ghattas et comme nous l’avons dit plus haut Zahalka. Ces trois individu ont récemment rendu visite au terroriste qui a commis l’attentat dans le bus de la ligne 78. Rappelons aussi que Ghattas et Zoabi ont participé a des flottilles pour Gaza.Bref, souhaitons que ces trois traîtres soient destitués de leurs postes de députés et qu’ils croupissent en prison pour fraudes, corruptions et blanchiment d’argent !
La police soupçonne que des fonds destinés au fonctionnement du parti ont été utilisés pour une série de délits financiers.
Plus de 20 personnes ont été arrêtées durant le raid de ce Dimanche dont notamment des avocats et des comptables; ils seront présentés devant un juge dans la journée afin de prolonger leurs détentions.
L’enquête contre des hauts fonctionnaires du parti Balad a été ouverte à la suite d’un rapport du contrôleur de l’État.
L’enquête a été menée par la police ainsi que par les autorités fiscales et par le département anti-blanchiment d’argent du bureau du procureur de l’État, qui s’est joint à l’enquête alors qu’elle était en cours.
Selon les soupçons, des fonds acquis par le parti et pour le parti ont été cachés et déguisés puis l’argent a été détourné.
Les crimes qui ont été commis sont l’acceptation d’actifs sous de faux prétextes, écriture de fausses informations sur des documents, faux, usage de faux documents et blanchiment d’argent.
Les fonctionnaires impliqués dans l’affaire sont également soupçonnés d’avoir violé les lois sur le financement des partis politiques et les lois sur les municipalités.
Il se peut que des députés soient impliqués dans ces affaires de corruption et de blanchiment d’argent mais l’enquête ne fait que commencer.
Rappelons aux lecteurs que parmi les députés du parti Balad se trouvent Zoabi, Ghattas et comme nous l’avons dit plus haut Zahalka. Ces trois individu ont récemment rendu visite au terroriste qui a commis l’attentat dans le bus de la ligne 78. Rappelons aussi que Ghattas et Zoabi ont participé a des flottilles pour Gaza.Bref, souhaitons que ces trois traîtres soient destitués de leurs postes de députés et qu’ils croupissent en prison pour fraudes, corruptions et blanchiment d’argent !
Voilà au moins un pays où les enquêteurs n’ ont pas peur d’ enquêter ni les journalistes d’ informer et où l’ auto-censure n’ est pas de mise. Et je n’ en dirai pas davantage.