L’enfant que les israéliens ont sauvé en Haïti en 2010.
Après le terrible séisme survenu dans l’ouest d’Haïti le 12 janvier 2010, touchant la capitale Port-au-Prince et qui a fait plus de 230 000 morts, Israël a été le premier à avoir immédiatement réagi et envoyé de l’aide, rejoint par beaucoup d’autres pays.
Deux jours après le séisme de magnitude 7 sur l’échelle de Richter, Israël a dépêché sur place les Forces de Défense d’Israël qui a rapidement mis en place un hôpital de campagne.
La délégation d’aide est composée de 236 membres, dont 218 soldats et officiers de Tsahal, de 18 civils, sans compter les membres du Maguen David Adom et de ZAKA.
Les équipes de Recherche et Sauvetage ont porté secours à plusieurs dizaines de victimes coincées sous les décombres.
Au bout de quelques jours de recherches, alors que les cyniques autorités haïtiennes encourageaient les aides étrangères à plier bagage parce que pour elles il n’y avait plus aucun espoir de retrouver des survivants, les sauveteurs israéliens se sont obstinés et ont refusé de partir.
De mémoire, je crois que les français et les américains les ont suivis et ont aussi refusé de partir.
Le miracle de l’obstination et de la vie.
Une femme est déterrée des décombres et donne naissance à un bébé à l’hôpital de campagne israélien le 16 janvier 2010.
La maman est arrivée à l’hôpital de campagne enceinte de 8 mois, le major Dr Shir Bar et le major Efrat Shayer ont accueilli un petit garçon en bonne santé que la maman décide de prénommé Israël.
La délégation israélienne est partie sous les hourrahs des haïtiens qui scandaient « Israël good job ! ».
Je ne sais pas si le petit Israël va bien, mais nous le souhaitons tous.
Au cours de son intervention en Haïti, la délégation a traité 1111 patients, a effectué 317 interventions chirurgicales avec succès et a participé à 16 naissances.
L’hôpital de campagne des Forces de Défense d’Israël était le plus grand fonctionnant à Port-au-Prince avec différents spécialistes et disposait d’une maternité, de soins intensifs, de pédiatrie, d’une pharmacie, et de salles d’opération.
Avec un effectif de plus de 40 médecins, il pouvait traiter jusqu’à 500 patients par jour.
Une partie du matériel apporté par la délégation est resté en Haïti après son départ dont des tentes, des médicaments et du matériel médical.
L’ancien président des Etats-Unis Bill Clinton, émissaire spécial des Nations unies en Haïti, avait salué au Forum de Davos l’action d’Israël en Haïti et déclaré : « Je ne sais pas ce que nous aurions fait sans l’hôpital israélien en Haïti, l’hôpital israélien était la seule installation qui était en mesure d’effectuer des opérations chirurgicales et des analyses de pointe ».
En revanche, et comme souvent, voire toujours, l’implication d’Israël dans les secours fournis ne fut pas relayée par les médias français !
Haïti a été l’un des rares pays à avoir ouvert
ses frontières aux juifs fuyant le nazisme.
Comme un juste retour des choses, l’aide d’Israël envers Haïti répond à celui qu’Haïti procura aux juifs fuyant le nazisme.
Car si Haïti est connue pour les plaies en tous genres qui ont affecté son histoire récente, elle l’est malheureusement moins pour son passé exemplaire, à bien des égards, envers la communauté juive.
Haïti a en effet été l’un des rares pays à avoir ouvert ses frontières aux juifs pendant la Deuxième guerre mondiale.
Et bien avant déjà, pendant l’Inquisition, Haïti avait aussi su accueillir les juifs persécutés.
La Syrie soupçonne Israël
d’avoir volé des organes en Haïti.
A l’époque, la TV syrienne, aux ordres du pouvoir, s’était empressée de raconter que la véritable raison de l’intervention israélienne en Haïti était de voler des organes sur les cadavres haïtiens et d’exploiter la tragédie.
La vraie tragédie c’est maintenant celle que connaissent les syriens.
Les atrocités, les tortures, et les crimes contre l’humanité perpétrés par le régime contre son propre peuple ont fait 300 000 morts à ce jour.
La TV syrienne ne dit pas si les énucléations pratiquées sur les opposants lors des séances de torture ont permis aux dignitaires syriens de faire du trafic d’œil.
Elle ne dira pas non plus que des blessés syriens ont été pris en charge dans des centres médicaux israéliens.
Ils sont passés par un hôpital de campagne mis en place par l’armée israélienne quelque part sur le plateau du Golan, à proximité de la frontière.
Son existence a été révélée par le quotidien israélien Yediot Aharonot.
Le serment d’Hippocrate comme seul credo et qui sauve une seule vie, sauve le monde entier.
Pascale Davidovicz
Sources : israelmagazine.co.il – tsahal.fr – lepoint.fr
Il y a des évidences qu’il est bon de rappeler …
Bravo. Bien sûr concernant l’hôpital du Golan, les minables franco-quelque chose « antisioniste » mais pas antisémite n’est-ce pas, en ont profité pour raconter leurs habituelles saloperies du genre qu’Israël soigne les jihadiste de Daech puisque, et comme le raconte aussi la ridicule et vulgaire « franco-marocaine » primée à Cannes, c’est Israël qui est derrière Daech…