L’ACHAT D’AUTOBUS PARE-BALLES EN ISRAËL. Le prix de chaque bus blindé est de 1,5 million de shekels – presque deux fois plus que le prix d’un bus normal.
Certains bus remplaceront les vieux bus blindés qui sont devenus obsolètes, tout en augmentant le nombre de bus blindés et la fréquence de voyages sur les routes à haut risque dans la région autour de Jérusalem, les communautés de Binyamin, de Hébron et de Gush Etzion.
La coque extérieure, le toit et le plancher ont été construits selon des spécifications militaires et sont protégés par de l’acier, tandis que les fenêtres sont faites de verre pare-balles.
La protection peut bloquer des balles de 7,62 mm, des grenades et des explosifs. Un système défensif spécial pour les roues et les pneus permet au bus de continuer à voyager loin du point d’attaque. Deux portes de secours sont faciles à ouvrir, permettant de s’échapper rapidement du bus attaqué.
Chaque bus contient 53 sièges. Au cours des 20 dernières années, Merkavim a produit 400 bus pare-balles, y compris 150 du modèle actuel. (Source : Eretzaujourdhui.com)
Israël ne possède malheureusement pas une industrie automobile. Toutes les expériences ont été des échecs réels. De temps à autres dans ce secteur une bonne nouvelle émerge. Ainsi, selon un blog de DB: « Merkavim est un constructeur de bus européen, partenaire de Volvo pour le Moyen-Orient. Cette société israélienne emploie 450 personnes sur son site ultra-moderne du parc industriel de Césarée et produit environ 500 bus par an.
Source : IsraelValley
A moitié rassurant.
Dans ma jeunesse les VTT en service dans l’Armée Française protégeaient les personnels des tirs de 7,62 mm, non des munitions de 12,7mm.