TRIBUNE : « La paix est le premier objectif d’Israël » parAliza Bin-Noun, ambassadrice d’Israël en France
Les jours que nous vivons actuellement sont d’une grande importance pour notre région. Des signes inquiétants s’amoncellent. Les attentats barbares qui se déroulent dans notre pays, en Europe et dans le monde présentent la dure réalité à laquelle Israël est confronté. Dans le contexte actuel, la guerre idéologique que certains lancent à Israël risque d’envenimer la situation sur le terrain au lieu de l’apaiser. Car la réalité terroriste frappe partout. Israël vit dans une réalité où la terreur frappe nos citoyens partout.
Hamas, Hezbollah, l’État islamique (Daech) sont des expressions différentes pour la même idéologie islamiste-djihadiste qui confronte le monde entier à un niveau d’escalade terroriste extrême dans notre région comme en Europe. Malheureusement, même à proximité de nos voisins de l’Autorité palestinienne, il existe des voix qui incitent et enflamment la haine – dans des expressions qui sanctifient la terreur, dans l’éducation des enfants à la haine et à la violence, sans conscience historique ou du droit de l’Autre.
Israël, vers la paix
Aujourd’hui, la menace terroriste pèse sur l’ensemble des démocraties et des pays arabes modérés. Le conflit que connaît notre région n’est pas un conflit entre Israéliens, Arabes ou Palestiniens mais entre extrémistes et modérés. Pour nos adversaires, l’extrémisme n’est pas une tactique. C’est une idéologie.
Il est de la responsabilité de chacun de présenter la situation telle qu’elle est. L’État d’Israël s’oriente pleinement vers la voie de la paix. C’est une valeur clé et notre premier objectif.
Cela correspond à la vision d’un État juif et démocratique qui vit en paix et dans la coexistence avec ses voisins. Les accords de paix avec l’Égypte et la Jordanie ont prouvé qu’il était possible de parvenir à la paix lorsqu’il se trouve des partenaires enclins à la signer. Israël a déjà prouvé son engagement pour obtenir une paix réelle et pérenne au prix de lourdes concessions.
Israël est encore le seul pays de la région qui garantisse la défense des droits de l’homme et la liberté d’exercer son culte et toute pratique religieuse, quelle que soit la religion. L’un des seuls États de la région où tout citoyen est défendu par la loi et de manière équitable.
Les négociations pour la paix en difficulté
Le peuple israélien est inquiet que le terrorisme soit la réponse à l’impasse de négociations. « Je respecte le désir de souveraineté de votre peuple et suis convaincu qu’il est possible de le concilier avec les besoins de sécurité d’Israël », a déclaré le premier ministre Benyamin Netanyahou au président Mahmoud Abbas. Mais aujourd’hui, l’État d’Israël est en droit de s’interroger sur la volonté réelle de ce dernier d’avancer vers la paix. Pourquoi les Palestiniens refusent-ils de reprendre les négociations de paix ?
Notre histoire a prouvé que l’État d’Israël respecte ses engagements et les compromis qui résultent de négociations. C’est le seul moyen efficace : des négociations directes pour un avancement commun en faveur d’une paix juste et équitable.
Israël se trouve de nouveau face à des facteurs extrêmes parmi lesquels il faut également mentionner la République islamique d’Iran qui, malgré toutes les belles et souriantes déclarations, reste un acteur négatif pour toute la région. L’Iran continue de soutenir, d’armer et de financer des mouvements comme le Hezbollah et le Hamas.
Le dialogue, seule solution
L’Europe soutient financièrement l’Autorité palestinienne en Cisjordanie et à Gaza. Il en va aussi de sa responsabilité ainsi que de celle des États membres, de vérifier l’usage à des fins pacifiques de ces fonds.
En revanche, encourager de manière unilatérale des pressions économiques, culturelles ou politiques à l’encontre d’Israël donne une légitimation susceptible de renforcer les actions violentes des extrémistes. Des pressions extérieures ne rendent service à aucune des parties. En ajouter et encourager une atmosphère propice au boycott ne permettra pas d’élaborer les étapes successives nécessaires à établir la confiance entre les parties. Israël veut entendre avant tout de la part des Palestiniens – mais aussi de la part de la communauté internationale – qu’ils le reconnaissent en tant que foyer national du peuple juif tandis que le futur État palestinien sera le foyer national du peuple palestinien.
Le dialogue direct est la seule solution à la situation tendue entre les parties, susceptible d’amener à un processus constructif qui fera cesser la violence et redémarrer la négociation.
Enfin les israéliens ont fini comprendre ce que les arabes ont compris depuis longtemps : laisser les militaires bourrus sur le champs de bataille et être représenté en Europe par des femmes, de préférence belles et intelligentes. Surtout en France…
Encore une fois, il faut souligner la qualité remarquable du personnel diplomatique, dans la plus grande partie des pays.
La position d’Israël est présentée de façon claire et convaincante, dans son environnement, sans les grands cris qui résonnent habituellement en France.
Quand j’ai envie de voir une belle femme en dehors de ma famille, j’ai mes photos de Theda Bara. L’intelligence donne le plus grand plaisir, particulièrement après les boues des media.
« La paix est le premier objectif d’Israël » !
Voilà un titre digne d’un spectacle fait sur mesure pour le théâtre de la Main d’Or! Ça serait une vraie torture pour les zygomatiques et les énurétiques!
Pas besoin de bande annonce! Le programme entier est dans l’intitulé; où l’auteur a réalisé l’exploit extraordinaire d’assembler dans la même phrase des termes contextuellement hautement antinomiques!
C’est comme si l’on affirmait que « La démocratie est le premier objectif de Kim Jung Un! » et que « Le mariage gay est le premier objectif de Daesh! » Pas très crédible, mais fichtrement gondolant! Bref, du pur humour……..politique!
« La paix est le premier objectif d’Israël »
Cette phrase est une insulte à
l’insulte à l’intelligence!
En effet, Israël fait tout le contraire de la paix: vol du territoire palestinien par la colonisation qui ne s’arrête pas, violation du droit international, politique d’apartheid.
Si Israël étai sincère en matière de paix,il suffit de rendre les territoires des palestiniens.
La vérité est qu’Israël ne veut pas faire la paix car cela ne l’intéresse pas: le pillage des terres palestiniennes est plus intéressant.
Smyslov connaît-il l’Histoire de la Palestine mandataire entre le 29 novembre 1947 et le 15 mai 1948 ? Je doute fort !
Comme tous les Arabes et comme tous les gauchistes du monde, Smyslov est adepte de la formule « qui perd gagne ».
Eh bien, non !
Aussi, je propose à Smyslov de se renseigner sur …Wikipédia, par exemple, pour savoir pourquoi ses propos ne tiennent pas la route.
On s’en tape de ta propagande Momo. On la connait par cœur et face à la mauvaise foi il n’y a rien à faire ni encore moins à discuter. Comme disait un célèbre président français « ça m’en touche une sans bouger l’autre »…