Limore Yagil, historienne spécialiste de l’histoire politique et culturelle de la France sous l’Occupation, auteur de la trilogie « La France, terre de refuge et de désobéissance civile », publie ce mois-ci chez Fayard un essai consacré aux réseaux d’amitié entre artistes français et artistes juifs entre 1933 et 1945.
Elle décrit les filières de solidarité retraçant toute une géographie de l’entre-aide et interroge la signification qu’il convient de donner à des différents actes de désobéissance civile.
Si l’on connaît l’intervention de Sacha Guitry et d’Arletty en faveur de Tristan Bernard, il y en eut beaucoup d’autres révélées par Limore Yagil .
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