L'absi se mouille pour tsahal par Sylvie Bensaid

De nombreux représentants d’associations

francophones se sont mobilisées

pour Israël dans cette période de guerre.

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Alors que la communauté internationale condamnait une fois de plus Israel estimant que se défendre était une riposte disproportionnée, pour Gil TAIEB, le président de l’ABSI (association. Pour le bien être du soldat israélien) et ses amis, Emmanuelle Adda, Pierre Levy et les membres de l’équipe, être aux cotes de nos frères israéliens et leur apporter du bien être , soulager leur quotidien,était une évidence, voire une nécessité

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Après avoir rendu visite aux soldats blesses, a ceux qui étaient mobilisés a gaza, la délégation s’est rendue a Sderot pour réconforter les enfants qui se réfugient en permanence dans des abris sans voir le jour. Des familles ont été envoyées pour quelques jours a Jérusalem au kibboutz Ramat Rahel pour souffler, loin des agressions quotidiennes. Un passage par Hebron a fait aussi l’objet d’un déplacement
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Plus de 400 personnes ont assisté a l’initiative de l’ABSI et la FIF a un grand rassemblement a la place Frischman de tel aviv pour remercier les soldats de tsahal en présence de gilbert montagne et qui avait fait l’honneur de sa présence en avant première de son concert.
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Le cessez le feu provisoire, permet aux familles de respirer et de penser au quotidien.
Pour les membres de l’ABSI,  » cela ne veut pas dire que notre action doit s’arrêter, bien au contraire, notre devoir est d’être present aussi bien dans les moments de crise que lors d’une trêve que nous souhaitons durable »
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L’équipe de l’ABSI s’est rendue a Sderot et a distribue 250 cartables aux enfants de Kita aleph א. Quel bonheur de voir ces jeunes sourire confie.
Emmanuelle Adda, revenue de Sderot et qui pense que le vrai problème d’Israël se situe exactement là bas. A Sderot, les rues sont vides, les magasins fermés, la population en détresse et désœuvrée.. sans espoir de changement, avec un sentiment d’abandon. On est loin des plages fun d’hertzlya, des nuits blanches de Tel Aviv, des religieux chics de Mamilla ou hollyland, loin des starts up, loin des universités classées,
Les habitants de Sderot, se sentent abandonnes. Qui leur donne la parole? Quel est leur avenir entre deux roquettes? Emmanuelle retourne mardi a Ashdod alors qu’elle habite Jérusalem, pour continuer l’opération cartable
Kol akavod
Sylvie Bensaid
 

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