Lors d’une rencontre au Vatican pour la paix,
l’imam prie pour la victoire du jihad !
Ce sont nos confrères et coreligionnaires italiens du site Informazione Corretta qui relèvent l’affront que le Vatican tente désespérément de minimiser.
Ils reprennent l’article d’Andrea Morigi du journal Libero du 20 juillet intitulé « La prière de l’imam au Pape : Qu’Allah batte les mécréants ».
Andrea Morigi, journaliste et rédacteur du quotidien « Libero »spécialiste de l’islam, de l’immigration, de la sûreté et du terrorisme.
La prière pour la victoire du jihad en plein Vatican révèle l’idée de la paix que s’en fait la plupart des religieux islamistes.
L’imam présent à la rencontre entre Shimon Peres et Abu Mazen a donc prié pour la victoire de la guerre d’agression islamiste contre Israël.
On peut se demander pourquoi le Vatican, et le Pape François, qui ont eu la traduction du texte de l’imam, n’y ont répondu que par un stupéfiant silence.
Va te fier aux palestiniens que tu invites à prier pour la paix et ils en profitent pour prêcher la guerre sainte.
L’épisode advenu le 8 juin dernier, dimanche de Pentecôte, au sein du Vatican, en dit long, si c’était encore nécessaire, sur la fiabilité des propositions de trêve et d’apaisement des palestiniens.
L’imam palestinien sunnite menace sous forme de prière : « Tu es notre patron, donne nous la victoire sur les mécréants ».
Il récite ainsi la conclusion de la sourate 2 du Coran Al Baqara.
Dommage que le texte n’ait pas été préalablement communiqué aux organisateurs de la journée, initiée par le Pape François durant son récent voyage en Terre Sainte.
Ceux qui connaissent l’arabe ont feint de ne pas comprendre les propos de l’imam, mais les vidéos de l’évènement les montrent embarrassés.
Les autres, y compris le Pape, ne saisissent pas la portée de l’affront.
Ce n’est que quelques jours plus tard que le Vatican, avec une incroyable complaisance, minimise l’incident au niveau officiel.
Il est indubitable que le Vatican se soit aperçu de sa bévue, puisque le passage de l’imam disparaît au montage de la vidéo.
Le père jésuite Bernd Hagenkord, responsable des transmissions en allemand de Radio Vatican, tentera d’éclaircir l’équivoque en donnant une version « arrangée » du verset.
Bien sûr nous n’avons pas bien compris. L’imam n’indiquait qu’un élan messianique !
Devenus nerveuses, les autorités pontificales publient le 10 juin un démenti qui accuse les protestataires d’être paranoïaques et privés de bon sens.
Ben voyons !
Effet boomerang, car la partie incriminée de l’intervention de l’imam restait sur Youtube et un traducteur arabe, Hamed Abdel-Samad, en a diffusé la traduction complète.
Il faudrait que les dignitaires ecclésiastiques, avant leurs prochaines rencontres interreligieuses, soient formés à la taqiyya, la tactique de dissimulation pratiquée par les musulmans avisés.
Les israéliens y sont confrontés lors des demandes de trêves du Hamas qui ne leur servent qu’à se réarmer.
Mahomet s’en servit pour conquérir La Mecque en 628.
Lui aussi parlait de paix.
Même s’il ne pensait qu’à l’islamisation et à l’anéantissement de son ennemi d’alors, les élites mecquoises Quraysh, qu’il convertit de force à l’islam.
Pascale Davidovicz
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