Il arrive qu’un homme rencontre l’institution comme un symptôme sa maladie.
Le International Committee of the Red Cross – ICRC porte un lourd héritage historique. Son odieux patron flirtait avec les dignitaires nazis et préférait regarder ailleurs lorsque la Shoah battait son plein : après tout, ce n’était que des Juifs qu’on exterminait. Tout cela est archi-documenté, comme l’est le biais antisémite de l’après-guerre, avec notamment le refus d’intégrer le Magen David Adom et la complaisance sordide à l’égard des assassins de Juifs.
Cette organisation persiste et signe, confirmant son biais antisémite par la nomination à sa tête de Pierre Krähenbühl, le sulfureux Commissaire général de l’agence la plus pourrie de l’ONU, l’UNRWA, repère d’antisémites radicaux.
Les deux organisations se sont naturellement jumelées : les Lazzarini, Krähenbühl, Sporljaric Egger passent de l’une à l’autre, sous les applaudissements de la presse de propagande structurellement liée à ces institutions (un grand bonjour aux futurs licenciés en masse du journal pro-qatari Le Temps).
Cette clique n’a rien à craindre : aucun audit en vue, aucune supervision à redouter. Les dirigeants se cooptent et jouissent d’une immunité à vie.
Et Krähenbühl continue son bonhomme de chemin, entre népotisme, copinage et voyages en première classe.
Il rencontre, comme en février 2017, les génocidaires :
– Ali Baraka du Hamas
– Abu Imad Al-Rifaï
– Ali Faisal du FPLP-D
Il souligne l’esprit de partenariat, nous fait le remake en plus hard de Burkhardt en 1944, promet monts et merveilles aux djihadistes, obéit à leurs requêtes, les aide à tuer du Juif. Et aboutit naturellement au CICR, le repère des brigands : là où l’on sait ne pas parler des otages juifs tout en relayant les fake news dès lors qu’il s’agit de taper sur Israël.
Mais un jour, cela changera !
Et tombera le couperet, signant la fin de cette mafia antisémite.
© Joel Hanhart
Joel Hanhart is Ophthalmologist @ Shaare Zedek | Head of the Medical Retina Unit. Jerusalem
Nous savons désormais à qui ne pas donner la moindre agora.