Iran: Les pratiques d’amputation judiciaire, via une guillotine moderne, calibrée pour sectionner précisément les doigts

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QUAND L’ONU MET LA MAIN À UN SYSTÈME IGNOBLE

QUAND GUTERRES DONNE SA MAIN AUX MOLLAHS

QUAND LES MAINS SONT COUPÉES, DANS LE SILENCE DES HYPOCRITES

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L’Iran trace une ligne sanglante dans l’histoire du XXIe siècle avec ses pratiques d’amputation judiciaire, transformant des vols en mutilations légalisées. Les chiffres sont glaçants : 237 condamnations, 129 exécutions confirmées en 20 ans. Et une accélération brutale ces trois dernières années.

Le raffinement macabre de la méthode est édifiant : une guillotine moderne, calibrée pour sectionner précisément les doigts. Une industrialisation de la barbarie qui rappelle les pires heures de l’histoire des châtiments corporels. Le chef du système judiciaire, Gholamhossein Mohseni Ejei, revendique fièrement ces mutilations comme « un commandement divin » – une rhétorique moyenâgeuse servie par une technologie contemporaine.

La mécanique est implacable : vol prouvé = amputation des doigts. Une équation simpliste qui réduit la justice à un acte chirurgical, transformant les juges en bourreaux et les prisons en salles d’opération carcérales. Les cas récents s’accumulent : huit suspects à Téhéran, deux frères à Urmia, deux voleurs présumés de coffres-forts – tous promis à la mutilation légale.

Les organisations de défense des droits humains soulignent que ces chiffres officiels ne représentent que la partie émergée de l’iceberg. De nombreuses amputations sont réalisées dans l’ombre, hors des registres, multipliant potentiellement le nombre réel de victimes par un facteur inconnu.

Pendant ce temps, le silence d’António Guterres résonne comme une complicité tacite. Le Secrétaire général de l’ONU, si prompt à condamner d’autres violations des droits humains, même imaginaires, semble frappé d’une curieuse aphasie face à ces mutilations systématiques.
Son silence assourdissant illustre la faillite morale d’une institution qui permet à l’Iran de siéger dans ses instances de droits humains tout en pratiquant des châtiments dignes de l’Inquisition.

L’ONU se ridiculise en maintenant l’Iran dans sa Commission de la condition de la femme jusqu’en 2026, tandis que le pays perfectionne ses techniques d’amputation et réprime violemment ses citoyens.

Cette mascarade diplomatique a transformé depuis belle lurette les Nations Unies en théâtre de l’absurde, où les bourreaux jugent les victimes et où le silence institutionnel couvre le bruit des guillotines.

Guterres, Khamenei : Coupables ! Les gens de bien ne vous regretteront pas.

© Joel Hanhart

Joel Hanhart is Ophthalmologist @ Shaare Zedek | Head of the Medical Retina Unit. Jerusalem

Source : https://lnkd.in/dFfpZufd

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