Plusieurs affaires récentes, dont la condamnation de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy dans l’affaire dite “Bismuth” et aujourd’hui les réquisitions du Parquet dans le Procès des assistants parlementaires du FN ont mis en lumière l’existence de tensions très vives entre justice et politique. Une situation que le professeur de droit constitutionnel Bertrand Mathieu a explorée dans son ouvrage Justice et politique, la déchirure ? (LGDJ 2015)
Philippe de Villiers sur les réquisitions à l'encontre de Marine Le Pen : «Il y a deux poids, deux mesures. François Bayrou, qui était dans la même situation, a été relaxé. Pourquoi ? Parce qu'il fait partie du système», dans #FaceaPhilippeDeVilliers pic.twitter.com/SOCjm1XRtG
— CNEWS (@CNEWS) November 15, 2024
« Monsieur Joffrin, vous détestez la démocratie et redoutez le peuple français. Toute votre carrière le prouve ! » ⤵️ pic.twitter.com/W2f58Vp8lM
— Sarah Knafo (@knafo_sarah) November 14, 2024
La demande d’exécution provisoire du jugement est inique dans le contexte politique. À fortiori dans une affaire sans enrichissement personnel. J’indique que la critique du ministère public n’a rien d’offensant,les procureurs n’étant pas des magistrats indépendants. https://t.co/ZIL82se0xq
— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) November 16, 2024
Il s’agit d’une pseudo justice corrompue et raciste. Au service des criminels, assassins et violeurs et et du pouvoir lui-même criminel et corrompu. Macron et son entourage ont beau être impliqués dans des scandales y compris financiers très graves, je doute qu’ils doivent un jour repondre de leurs actes.
La France est un Etat de non-droit et une dictature de fait.