Curieux, tout de même, cette gauche wokiste, indigéniste, racialiste, qui se radicalise encore plus pour ne pas voir ce qui se passe aux USA ou leurs récentes défaites électorales.
A cause d’électeurs forcément riches, blancs, idiots et primaires.
LFI a encore franchi une nouvelle étape dans la négation de l’antisémitisme.
Caron ou cette députée LFI qui n’a vu que des génocidaires à Amsterdam : les juifs.
Chez nous, en Belgique, le PS, qui a hélas abandonné son pilier laïque pour un clientélisme absolu, s’allie désormais aux communistes du PTB, ici et là, sans vergogne. Comme les Verts.
Le concept de dénonciation et de lutte contre l’extrême gauche menaçante, insultante, pour tous et surtout les juifs et Israël, leur seul dossier depuis un an (comme Écolo chez nous et en France) ne parvient pas à être pris en compte.
Comme on l’a pourtant très bien fait et le fait encore pour l’extrême droite.
La RTBF, Le Soir, Le Monde, sont toujours le relais satisfait de cette tromperie. Comme la presse de gauche française ou américaine.
Se contentant de faire passer les droites « républicaines » pour des fascistes mussoliniens. Et leurs électeurs pour des débiles.
Ils verront donc le résultat d’élection en élection. Comme cela est déjà le cas, pourtant, des récents scrutins en France et en Belgique. En Italie ou en Allemagne ou encore aux Pays-Bas.
Mais ils se taisent sur les femmes afghanes ou iraniennes, les kurdes ou yezidis, et évidemment les femmes juives massacrées par le Hamas. Les otages. Ou sur Erdogan et Poutine. Et évidemment Amsterdam.
Pendant ce temps-là, Macron joue au ping-pong, après avoir voyagé avec Yacine Belattar.
Trump ne déclarera la guerre à personne. Au contraire. Il fera peut-être, avec MBS, le prince saoudien, Israël et l’une ou l‘autre personnalité palestinienne émergente, des Accords d’Abraham II.
Et mettra le Hamas et le Hezbollah hors d’état de nuire au peuple palestinien. Et à Israël. Quant à l’Iran et l’ONU… et ce procureur de la CIJ empêtré dans une drôle d’affaire.
Et Alexander De Croo oublie qu’il est un premier ministre belge démissionnaire et en affaires courantes. Qui par trahison des socialistes et pourtant laminé récemment, va revenir (un peu) au pouvoir. « Pour un siège avec toi, je ferais n’importe quoi… ».
© Henri Benkoski
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