Trump favori dans les Swing States ce mercredi matin, les républicains obtiennent la majorité au Sénat, Kamala Harris renonce à s’exprimer (En cours)
Donald Trump pourrait prendre la parole avant 7h, heure française, et annoncer sa victoire de manière très anticipée: ses « chances de victoire », calculées par le « New York Times » sur un modèle reposant sur les sondages sorties des urnes puis sur les résultats partiels aux USA, sont en sa faveur, avec ce matin 90% de probabilités de gagner.
Les résultats encore partiels de l’élection américaine placent en effet Trump nettement en tête. Si l’évolution des résultats reste à suivre, ce matin Donald Trump est sûr d’avoir 230 grands électeurs et Kamala Harris 205 sur les 270 nécessaires à la victoire.
Le républicain, donné en tête dans au moins 6 des 7 Swing States, particulièrement en Caroline du Nord qu’il a remporté, mais aussi en Pennsylvanie, dans le Michigan, le Winsconsin, la Géorgie, est le grand favori, même si rien n’est encore joué, Kamala Harris pouvant encore jouir d’un retournement de situation historique: le camp démocrate continue de miser sur les trois swing states du mur bleu pour l’emporter: le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin.
« Fox News » annonce que les Républicains ont réussi leur renversement au Sénat, après avoir assuré la victoire dans deux sièges jusqu’alors détenus par les Démocrates. Cette majorité républicaine au Sénat s’ajoutera probablement au maintien de leur contrôle de la Chambre des représentants, la chambre basse du Congrès. Si Trump est élu président, cela signifie que le Parti républicain contrôlera les trois branches du pouvoir pour au moins les deux prochaines années, lui donnant une marge de manœuvre considérable dans la mise en œuvre de sa politique.
Trump proche de la victoire avec une avance de 248 grands électeurs contre 216 pour Harris
A noter:
À 7h du matin, le candidat républicain est largement en tête du vote populaire, avec plus de 66 millions de voix, contre 61 millions de suffrages pour Kamala Harris. Il a d’ores et déjà battu son score de 2016, où il avait été élu sans remporter le vote populaire (62,9 millions).
Les Islamonazis et les Eurofascistes vont pleurer…I shall drink their tears.
Le service public d’information traverse une période bien difficile. Pensez donc coup sur coup : Lucie Castets, oubliée, Benjamin Netanyahou, victorieux, Kamel Daoud, lauréat, Donald Trump, élu. Pourtant, ce n’est pas faute de nous avoir expliqué à longueur de temps que Castets était une chance pour la France, Netanyahou, un nazi, Daoud, un islamophobe, Trump, un repris de justice… Mais rien n’y fait. Visiblement la réalité n’écoute pas Radio-France. C’est bien regrettable. Il faudrait songer un jour à changer peut-être de réalité. En trouver une plus conforme au woko-islamo-écolo-progressisme que Radio-France diffuse avec cette ferveur infatigable qu’on lui connaît.
Oui, mais on ne fait pas du neuf avec du vieux ! Les journaleux collabos et sectaires doivent être mis à la retraite ! On a besoin de gens qui décryptent la réalité et pas qui la réécrivent selon leur partis-pris !
Bonne Chance au Président Trump, en espèrant qu’il soutiendra Israel.
Il serait bon et utile de réviser le Dictionnaire des idées reçues du bon Gustave, en vue d’une nouvelle édition :
TRUMP – tonner contre. Son élection est un échec de la démocratie mais pas du parti démocrate.
(Remarque : c’est l’opinion bêtifiante de M. Pierre Jacquet, polytechnicien et économiste de gauche (pléonasme ?), entendue sur Franceinfo, cela va sans dire. Une crise de la démocratie en effet quand vous êtes élu démocratiquement avec 72 millions d’électeurs, soit 5 millions de plus que votre adversaire. S’il faut suivre M. Jacquet, la démocratie ne se porte bien que dans les pays où ce sont les partis wokistes qui gagnent. Quand ce n’est pas le cas, c’est le signe que les fascistes ont réussi un coup de force antidémocratique. Hitler redivivus…)