Joel Hanhart revient sur la tempête politique et morale secoue la Cour pénale internationale

ALERTE INFO MAJEURE

Une véritable bombe, au cas où vous aviez raté cette information capitale ou que vous ne suiviez l’actualité que filtrée selon les intérêts de l’AFP.

Une tempête politique et morale secoue la Cour pénale internationale (CPI) : selon une enquête explosive du Wall Street Journal, les mandats d’arrêt récemment émis contre Netanyahu et Gallant ne seraient qu’un écran de fumée destiné à dissimuler un scandale sexuel impliquant le procureur Karim Khan.

L’enquête révèle que Khan, confronté à de graves accusations de harcèlement sexuel par une employée subalterne, eût d’abord envisagé sa démission avant qu’il ne choisît plutôt d’exercer des pressions sur la victime et les témoins.

Quelques jours plus tard seulement, il annonçait de manière précipitée son intention de poursuivre les dirigeants israéliens – et ce, bien qu’il eût promis aux sénateurs américains de ne prendre aucune décision avant d’avoir entendu la version israélienne.

Les faits reprochés à Khan sont particulièrement troublants : intrusion nocturne dans la chambre d’hôtel de la victime, enfermement dans son bureau, contacts physiques inappropriés.

Plus inquiétant encore, le mécanisme de contrôle interne de la CPI aurait étouffé l’affaire, prétextant l’absence de plainte formelle de la victime – alors même que celle-ci aurait pu être intimidée.

Cette révélation jette une ombre considérable sur l’impartialité de la CPI et soulève la question cruciale de la légitimité des poursuites engagées contre Israël, qui pourraient n’être qu’une manœuvre de diversion d’un procureur aux abois.

Entre Guterres, Krähenbühl, Lazzarini, Albanese, on ne sait plus où donner de la tête. Les scandales sont partout. Ces crapules auront définitivement enterré l’ONU et les institutions qui y sont liées.

Source : Wall Street Journal

© Joel Hanhart

Joel Hanhart is Ophthalmologist @ Shaare Zedek | Head of the Medical Retina UnitOphthalmologist. Jerusalem