Le discours du Président français au Liban, “sans mémoire, sans sens de l’honneur, indigne d’un Chef d’État”


Les cercueils de soldats français, tués au Liban par le Hezbollah en 1983 par le terroriste Ibrahim Aquil

Après la désastreuse video que le Président français, s’adressant aux Libanais, a cru bon de poster sur les réseaux sociaux le jeudi 19 septembre au soir, l’indignation ne retombe pas

Ladite video, doublée d’entretiens téléphoniques avec le Premier ministre libanais Najib Mikati, le président de la Chambre des députés Nabih Berri, le commandant des forces armées libanaises Joseph Aoun, et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, nous montre le Président français rendant hommage aux “victimes civiles des attaques”, assure comprendre que “le Liban ne peut vivre dans la peur d’une guerre imminente”, et clame le soutien de la France, laquelle “se tient aux côtés du Liban”.

Gilles-William Goldnadel s’engage…

“Bien entendu, vis – vis d’Israël attaqué la veille, c’était déjà un manquement terrible. mais c’est beaucoup plus grave que ça. Le lendemain, l’Unité d’élite du Hezbollah a été décimée par une attaque israélienne. Israël a éliminé l’auteur de l’attentat contre le Drakkar qui a couté la vie à 58 parachutistes français. Si la France était encore gouvernée par des gens qui l’aiment, cela aurait dû être considéré comme un jour de délivrance et de souvenir. Voilà pourquoi j’ai très mal pris ce discours”, rappelle, isolé, Gilles-William Goldnadel, continuant: “Si ce pays, la France, était encore gouverné par des gens qui l’aiment, épris de sa sécurité, ç’aurait dû être considéré comme un jour de délivrance”.

Robert Mesnard aussi

Et s’élève la voix de Rawane Osmane : “Il n’a pas même mentionné le Hezbollah”

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