Il faut comprendre pour quelles raisons les « Palestiniens » ainsi que tous ceux qui ont fait de ce problème leur principale et unique source d’indignation, n’ont ni aucun intérêt ni aucunement l’intention de promouvoir, malgré leur sémantique parfois policée, une quelconque paix avec Israël.
Il en va de leur survie en tant qu’individu, tellement ils se sont identifiés à cette cause, étant même, pour certains d’entre eux, devenus plus palestiniens que les Palestiniens, c’est dire.
Le concept de « peuple » palestinien fut inventé de toutes pièces, à une époque où la « libération des peuples opprimés » était en vogue, et où libération signifiait instauration d’un régime dictatorial aligné sur l’ex-URSS, et où opprimé signifiait aligné, mais sur les USA. Un tyran pouvait se permettre de massacrer ses voisins, son propre peuple, menacer la terre entière de ses diatribes enflammées, promouvoir et financer le terrorisme de masse, l’appartenance au bloc des « non alignés alignés sur Moscou », lui tenait lieu de blanc-seing. Du moment que son discours parlait de « révolution », toutes les légions de trots, mao, stalino, anarcho, … sans oublier les fameux « intellectuels de gauche », étaient soudain pris de vertige.
Je me rappelle avoir dansé dans la rue à l’arrivée des khmers rouges et du camarade Pol Pot (à cette époque, je militais chez Krivine, erreur de jeunesse…). On connait le résultat, mais qu’importe, c’était la « révolution » khmère.
Et quid de la « révolution palestinienne », chantée et glorifiée par Arafat et ses sicaires dans les 70’, et remplacée au pied levé par le « jihad », plus porteur dans l’imaginaire arabe. Mais gare à l’autocrate ou même au régime réformateur qui n’était pas dans cette norme, il était systématiquement balayé par un courant extrémiste agissant sous le couvert d’un pseudo verbiage gauchisant et droit de l’hommiste et qui, bien entendu recevait la bénédiction de tous les bien-pensants de l’époque. A y regarder d’un peu plus près, la situation est identique, mais la sempiternelle « révolution » s’est muée en jihad, les « non alignés » se sont alignés sur l’Iran, la Chine et sur la Ligue arabe, et les mêmes décervelés islamo-gauchisto-wokes sont toujours là pour les encenser.
Donc, pour en revenir à nos moutons, que se passerait-il en cas de paix entre les Israéliens et les Palestiniens ? Je parle bien entendu d’une vraie paix, avec échanges culturels, économiques, tourisme, etc.… et avant tout, avec reconnaissance mutuelle de chacun.
On en est loin, je sais, mais on peut toujours fantasmer, non ? Si un tel cas de figure survenait, que deviendraient les Palestiniens ? Dans la mesure où ils n’ont jamais été, ni un peuple, ni un état, mais simplement une arme de destruction du peuple Juif, conçue comme telle et uniquement dans ce but, comment une telle paix n’est ne serait-ce qu’imaginable ?
On le voit bien avec les manœuvres menées à l’ONU, au TPI et à l’Unesco, dont les « Palestiniens » se fichent totalement, mais dont ils se servent comme arme contre les Juifs. C’est ce qu’ils ne cessent de répéter sur toutes les ondes en y déversant leur tsunami de mensonges haineux et racistes. Leur seule et unique préoccupation est d’occuper l’espace diplomatique et médiatique, en se faisant passer, en anglais pour des pauvres victimes d’un nouveau nazisme devant nos médias lobotomisés, et devant les médias arabes, au contraire, apparaitre comme le fer de lance qui les conduira à la victoire, c’est-à-dire à l’anéantissement d’Israël et du peuple Juif.
Leur pire cauchemar est donc de ne plus exister au plan médiatique, et de passer dans les oubliettes de l’information (qui se souvient encore du Timor oriental ?), ce qui arriverait inéluctablement en cas de paix, et qui les mettrait face à leur destin. Il en va de même de toute les hordes glapissantes des adorateurs de la « Palestine », la paix signifierait leur disparition, plus de subventions, plus de caméras braquées sur eux, plus de manifs hebdomadaires, plus de tweets rageurs, plus de « flottille de la paix », plus de centaines de « reporters » agglutinés comme des mouches à m… devant une gamine de huit ans payée pour aller provoquer les soldats sous l’œil des caméras de ces ordures, plus de saccages de rayons « sionistes » dans les supermarchés par des nazillons à keffieh et des retraités nostalgiques du führer ou de Staline, qui n’auraient plus rien à faire de leur temps… plus possible de masquer leur haine des Juifs derrière la « lutte contre l’impérialisme sioniste et sa politique génocidaire ».
D’ailleurs, il est évident, pour tout observateur un peu éclairé et honnête sur cette région, que la violence chez les Palestiniens est inversement proportionnelle à leur audience médiatique. Moins le monde s’intéresse à eux, plus leur violence explose. Cette flambée de haine, voulue, orchestrée et surmédiatisée que l’on constate aujourd’hui est directement liée à la situation internationale. Des évènements infiniment plus graves et mortifères se déroulent, et le monde semblait commencer à se désintéresser des « palestiniens », il fallait bien remettre la « cause » au centre des débats… C’est fait ! Et encore une fois, ça marche ! Pourquoi s’en priveraient-ils ? Tant qu’il y aura des gens pour colporter leurs mensonges…
Qui peut dire quels sont les apports du « peuple palestinien », à la culture, à l’éducation et aux sciences ? Leur seule et unique culture est celle de la mort, leur seule éducation est celle de la haine, et leur seul apport à la science est d’avoir inventé et promu le terrorisme de masse contre les civils. Quel beau bilan qui méritait certainement de figurer en bonne place dans une officine comme l’Unesco. Mais encore une fois, tous ces organismes ont été phagocytés par les Palestiniens et leurs alliés à croire que sur cette terre, ce sont les seules personnes qui mériteraient notre attention.
Un « peuple » qui se construit, non autour d’un projet national, mais sur la haine et la volonté de destruction d’un autre peuple n’a pas d’avenir. Un pseudo peuple inventé de toutes pièces pour voler l’histoire d’un autre, et qui dénie à l’autre peuple vieux de plus de cinq milles ans ne serait-ce que le droit d’exister, et même d’avoir un jour existé, un tel « peuple » n’apportera jamais autre chose que la mort et la désolation, et sera une tumeur cancéreuse pour toute la planète. Un « peuple » qui danse dans la rue quand le sang Juif coule est une monstruosité abjecte qui ne devrait même pas exister en cauchemar. Ils sont tellement enfermés dans leur schizophrénie haineuse, qu’ils sont prêts à appeler le perse à balancer sa bombe A sur Israël sans même se rendre compte que dans un tel cas, ils disparaitraient en même temps que leur délire de « Palestine », réduite en cendre radio actives. Mais qu’importe, on n’est pas à ça près, qu’est-ce que la vie de millions d’arabes si c’est pour tuer un seul Juif ?
En créant les « Palestiniens » de toutes pièces, la ligue arabe a enfanté un monstre, et ce golem leur a échappé et les détruira en même temps qu’il se détruira lui-même. Quant au peuple Juif et à Israël, on ne parlera plus de « palestinien » depuis des siècles, qu’ils continueront à apporter à l’Homme son génie, sa culture immense, et la lumière qui tant fait défaut.
N’en déplaise à tous les afficionados de la « cause », à tous les assassins fanatiques barbus ou moustachus. L’Histoire est remplie de ces empires, tyrans, rois, religieux, … qui ont voulu détruire le peuple Juif. Ils sont morts, leurs empires, leur Reich, leur califat ont disparus dans les chiottes de l’histoire, et c’est ce qui attend pour bientôt ceux qui de nouveaux, rêvent de rallumer les fours.
© Eric S.
Je me sens d’autant plus autorisé à relever un paradoxe pour lequel je n’ai aucune explication convaincante, que je suis quasiment totalement d’accord avec l’analyse qui nous est présentée. Éric S nous confesse avec honnêteté, mais désinvolture me semble-t-il, son engagement auprès des Khmers rouges l’un des régimes le plus sanguinaire du XXe siècle. L’ « erreur de jeunesse » d’hier ne peut-t-elle pas être admise aujourd’hui ? Interrogation légitime qui est me semble-t-il le nœud du problème. Il faudrait démontrer en quoi l’engagement pour les Khmers rouges, entre autres et celui pour le Hamas palestinien ne se placent absolument pas sur le même plan pour de multiples raisons. J