Coupable, le Juif, de ne pas se laisser égorger par des fous furieux auxquels nous offrons, à genoux, notre postérieur béant en échange de quelques contrats. Par Eric S.

Ils sortent de trous dans la terre, ils envoient des roquettes sur les villes, poignardent, égorgent, violent, pour tenter de semer la mort, s’en prendre de la manière la plus lâche et la plus fanatique à des civils, hommes, femmes et enfants ! Voilà le spectacle que nous offrent encore une fois les « glorieux » palestiniens. Un pur produit djihadiste comme ils savent si bien le faire par là-bas. Prêts à sacrifier un million de « martyrs » (entendez leurs propres civils) pour satisfaire leur folie homicide pendant que leurs dirigeants se terrent bien au chaud au fond d’abris protégés par des femmes et des enfants ou dans les palaces de Doha ou d’Ankara. 

Je vois la presse, toute obédience confondue, cette presse que je n’oserais même pas faire lire à mon fondement, ses titres sournois, qui appellent sans avoir l’air d’y toucher à la haine anti juive, je vois d’ici les « reportages » gracieusement fournis par le hamas ou l’OLP aux « journalistes » qui vont espérer en tirer quelques bénéfices en les revendant aux chaînes de télé ou aux journaux pour enrichir leur quota d’images « choc » pour la grande messe de 20H00 ou la Une du lendemain. 

Mais qui dira que le décompte macabre qu’on nous sert chaque jour concernant le nombre de victimes « palestiniennes » sans plus de précisions est fourni par le hamas ? N’ont-ils pas intérêt à gonfler le nombre de victimes « civiles » ? C’est bien là aussi leur technique, un tueur psychopathe tué pendant l’exercice de ses fonctions devient une victime « civile », et nos agences de presse se régalent de ces mensonges. Dans quel autre conflit a-t-on un décompte horaire de chaque mort, de chaque blessé ? Quand on ne nous repasse pas, en boucle, avec force trémolos dans la voix, toute l’histoire de la famille… Sont-ils stupides au point de ne rien voir ? Non, je ne le pense pas, mais quand on fait du « reportage » à Gaza (et à Ramallah aussi), il faut faire très attention à ce qu’on y dit, les « activistes » -comme ils les nomment- n’aiment pas vraiment qu’un journaliste se pose des questions, et quelques-uns ont payé de leur vie d’avoir mis à jour les supercheries du hamas ou d’autres groupuscules de la même veine. 

Et que dire de ceux qui, chez nous, en France, n’ont aucune honte à défiler à côté de fanatiques religieux ou des nouveaux S.A. portant keffieh et appelant à égorger les Juifs (pauvre Lev Davidovitch Bronstein qui doit se retourner dans sa tombe !) ? Eux aussi, sont-ils cons au point de ne rien voir ? Oui, ce coup-ci, je le pense, quand j’entends les Mélenchon, les Panot, les Obono, Soudais, Caron, etc… les EELV (même l’écologie conduit à l’antisémitisme !) et certains socialistes ou « républicains », je mesure leur débilité profonde, leur crétinisme hallucinant, et je me demande comment un cerveau humain, si complexe que nul superordinateur n’arrive au millionième de ses capacités, oui, comment peut-il tomber si bas ? Je ne vois pas d’autre cause qu’une idéologie, stupide, aveugle, qui a enfanté tous les totalitarismes du siècle passé, y compris le nazisme, c’est bien pourquoi tant de gauchistes ont trouvé dans ces thèses un lit bien confortable pour leur cerveau primitif. 

Les millions de morts, femmes, enfants, massacrés par les condisciples de ceux-là-même aux côtés  desquels ils hurlent leur haine, ça, ils ne le voient pas, ne veulent pas le voir, ça n’existe pas, n’étant pas imputable aux « sionistes ».

L’Histoire les jugera comme elle a jugé les collabos des nazis, mais avant cela, des temps difficiles nous attendent, la route pour que nos démocraties réagissent enfin à cette guerre que nous ont déclarée l’islam radical et ses janissaires gauchistes sera longue et pavée de morts, juifs, chrétiens, athées, bouddhistes, musulmans aussi, de massacres abominables comme seuls savent encore commettre les fanatiques de la religion de « paix ». Jusqu’au jour où, la goutte de sang ayant fait déborder le vase, les peuples comprendront enfin que leur survie est en jeu, et ce jour-là, décideront d’en finir une bonne fois pour toutes avec ces barbares. Les Allemands et les Japonais ont payé un très lourd tribut pour avoir basculé dans le fanatisme et suivi, qui leur führer, qui leur empereur dans leur folie.

A ce moment-là, on ne parlera plus de « disproportion ». Quand votre ennemi glapit sur tous les tons que son but est votre anéantissement, il n’y a pas de réponse autre que de l’éradiquer jusqu’au dernier. C’est lui ou vous. Et qu’on ne vienne pas nous parler de civils « innocents ». Qui sont le Hamas, d’où viennent les miliciens, les cadres, les hordes de serial killers fanatisés depuis le berceau qui se pavanent le doigt levé en hurlant leur haine du juif ? Ce sont leurs enfants, leurs frères, leurs cousins. Nulle famille de Gaza n’a pas en son sein un membre dans les « activistes » du hamas ou autre. Les nazis n’étaient-ils pas aussi des « civils » Allemands ? Si les « civils palestiniens » dansent sur les toits à chaque fois que le sang Juif coule, si les mères louent leurs enfants quand ils se font exploser au milieu d’une foule, si leurs dirigeants les exhortent à tuer du Juif, alors qu’ils en assument les conséquences et qu’ils ne viennent pas nous jouer le Grand Air du « pauvre peuple innocent génocidé ». Quand ils comprendront que la haine qu’ils ont semée dans les âmes de leurs enfants depuis des générations ne leur apportera jamais autre chose que le désespoir et la misère, peut-être qu’un espoir de changement se fera jour. Mais laissez-moi douter de leur capacité à se remettre en question, surtout quand il s’agit de tuer du Juif.

Ils se prétendent plus d’un milliard ? Cela veut dire que 80% de la population mondiale n’adhère pas à cette idéologie génocidaire maquillée en religion, et on trouve sans doute une bonne proportion chez les musulmans eux-mêmes à ne pas se laisser emporter par le démon de l’islamisme. Comment peuvent-ils accepter de faire de leur divinité le complice et même le commanditaire de leurs crimes ? 

Mais pour vaincre cette hydre, il nous faudra renoncer temporairement à nos valeurs, appliquer les leurs et leur rendre au centuple le traitement qu’ils veulent nous réserver. L’équation est simple, soit on les écrase comme on l’a fait avec les nazis, on gagne cette guerre qu’ils nous ont déclarée, et notre civilisation à encore un peu d’avenir, soit nous ne faisons rien, et le Mal se répandra sur notre terre pour des siècles et tout ce que nous aimons disparaitra.      

Que voit-on ce jour ? Des populations entières qui se massacrent à grands coups de Allah Akbar, au nom d’une vue différente de la même religion, des hordes barbares qui pillent, violent, tuent, égorgent, emmènent femmes et enfants comme esclaves sexuels pour satisfaire l’appétit de leurs légions de démons. On se croirait durant la guerre de trente ans qui ravagea l’Europe avec ses massacres abominables. On voit des illuminés mégalomanes, se prenant pour les nouveaux califes, turcs ou arabes ou perses, rêver d’un nouvel empire dans lequel ils seraient les nouveaux « guides ». Ils ne cachent même pas leurs intentions génocidaires, ils les clament jour après jour à la face du monde, et nous, au lieu de les traiter comme ils le méritent, nous leur offrons, à genoux, notre postérieur béant en échange de quelques contrats. 

Honte, honte à nous si nous ne sommes pas capables de défendre nos valeurs, nos idéaux, notre histoire, sur lesquels nous avons construit notre civilisation. Est-ce le monde que nous voulons pour nos enfants ? Veut-on que nos femmes sortent déguisées en Belphégor ? Veut-on que nos filles soient mariées de force à 10 ans avec un obsédé pédophile ? Ou bien encore vendues sur des marchés pour quelques euros à quelque vieux bouc puant ? Veut-on de nouveau assister à des amputations, tortures, mises à mort sur les places publiques, en guise d’unique spectacle (et que feront les intermittents ?)  Veut-on que toute notre richesse culturelle, arts, littérature, musique, gastronomie, soit détruite ?  Veut-on que nos églises, synagogues, temples, nos musées, notre patrimoine, soient rasés ou transformés en mosquées ou en chiottes publiques, comme le fut le Mur des Lamentations avant 67 ? 

Réfléchissez, voilà ce qui nous attends si nous continuons à ne rien vouloir voir, et se contenter d’encore une fois désigner « le juif », rebaptisé sioniste, comme responsable de nos malheurs. 

Juste une petite chose pour les ignorants, en espérant les faire réfléchir un peu : A chaque fois que les juifs ont été laissés en paix, ont pu pratiquer leur religion en toute sérénité, le pays d’accueil s’est développé, les sciences, les arts, la littérature, la musique, ont progressé, et la liberté avec. A chaque fois que les juifs ont été persécutés, le pays a sombré dans la barbarie, le chaos, la guerre et la régression. 

A vous de choisir votre avenir, il est dans vos mains. L’antisémitisme n’est jamais une fin en soit, c’est le premier symptôme d’une maladie mortelle, le début d’un processus qui conduit directement une société évoluée au totalitarisme, au génocide et à sa destruction. Est-ce cela que vous voulez ? Ne vous demandez plus comment on a pu en arriver à l’Holocauste, mais regardez autour de vous, ce qui a conduit à la Shoah est en train de se mettre en place, là, sous vos yeux, chaque jour, à chaque article de presse, à chaque reportage télé, dans les pseudo spectacles de pseudo comiques, dans les émissions où l’on entend des pseudos « experts » en relations internationales ou des nantis du show-biz vomir sur les « sionistes » , sur les réseaux sociaux devenus les pires vecteurs de la haine, du mensonge et de la désinformation, dans chaque manifestation « antisioniste », dans nos universités et même à l’Assemblée Nationale. On commence à voir le résultat… Qui jugera un jour ces boutefeux antisémites ? Si ces mêmes étaient allés en Allemagne durant la guerre, et nous avaient inondés d’articles et de reportages sur le « pauvre peuple allemand génocidé par les Alliés », Hitler aurait gagné la guerre.

Pour finir, imaginez une manif d’extrême droite dans laquelle on hurlerait des « Mort aux Arabes » et que des mosquées et magasins soient pillés et incendiés, on appelle cela comment ? Une ratonade. Mais quand il s’agit de juifs et que les nazis sont d’extrême gauche ou islamiste, bizarrement, on ne parle pas de pogrom, mais « d’incidents » dans lesquels la presse et les « intellectuels » trotskistes, ou d’autre obédience toute aussi extrême, au mieux, renvoient les deux parties dos à dos, au pire, comme le Nouveau Parti Antisémite (NPA) ou LFI sur le dos des Juifs. Coupable, le Juif ! Hier, c’était d’être déicide, d’amener la peste, la famine, les inondations, les tsunamis, d’être cannibale, ou communiste, ou capitaliste, ou cosmopolite, etc. aujourd’hui, c’est d’être « sioniste » et de ne pas se laisser égorger par des fous furieux. Demain ce sera quoi ?

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