« Quand des femmes et des hommes cachent leur identité, c’est la France qui renonce à sa fraternité », lit-on suite à la présentation du clip réalisé par Katia Lewkowicz à l’initiative de Maurice Levy, président d’honneur de Publicis Groupe et président du conseil de surveillance de Publicis, et Mario Stasi, sous l’égide de la LICRA, clip qui sera diffusé ce dimanche 14 juillet sur toutes les chaînes de télévision et sur toutes les plateformes digitales avant la finale de l’Euro 2024 et le match Angleterre-Espagne, afin, nous dit-on, de montrer au plus grand nombre « la solitude et la peur des Juifs français depuis le 7 octobre ».
« Si vous voulez tout savoir de l’antisémitisme, il suffira de lire les commentaires sous la vidéo, lorsque je la posterai dimanche », assure -à raison- le producteur et animateur Arthur, lui aussi partie de l’initiative.
Pourtant, même si on acquiesce aux mots de Maurice Lévy lorsqu’il rappelle que « c’est le silence de la communauté nationale, le fait qu’il n’y ait eu que 200 000 personnes pour manifester après le 7 octobre, contre 1 million après la profanation du cimetière juif de Carpentras en 1990, qui doit alerter », on ne peut s’empêcher de penser à la non-efficacité potentielle de ces images qui s’attardent sur les peurs … juives.
En miroir, aujourd’hui 14 juillet aussi, à l’occasion de l’Ouverture à Paris des Jeux olympiques et paralympiques, est présenté le clip réalisé pour l’occasion par la Compagnie El Al, clip qui sera diffusé chaque fois qu’un de nos athlètes remportera une médaille et que le drapeau israélien flottera au son de l’Hatikvah.
Un clip réalisé en France. L’autre en Israël. Contraste , plus criant que jamais, entre l’Israël, fier, qui se bat, et la diaspora juive française que ses dirigeants n’aiment jamais autant que lorsqu’elle a … un genou à terre.
Sarah Cattan
» le fait qu’il n’y ait eu que 200 000 personnes pour manifester après le 7 octobre, contre 1 million après la profanation du cimetière juif de Carpentras en 1990 »
.
En 1990 la gauche était motivée car il s’ agissait d’ accuser, à tort, le Front National.
Quand on est un israelien reçent comme moi , qui ai vecu cet horrible periode en Israel apres tant d années en France , on comprend pourquoi c est vital que le peuple juif rentre a la maison pour marcher la tete haute au lieu de quemander une » union nationale » aussi pathetique qu inexistante a une France perdue dans sa propre dissolution .
Les jeunes israeliens , garçons et filles , ces gosses a peine sortis des jupons de leurs mamans juives m ont enseigné depuis le 7/10 comment affronter , sans pleurnicher , sans se plaindre , juste affronter quand la vie ne vous laisse pas d autre choix .
quelle émotion face à ses deux clips
je comprends la.peurde.la.communaute et vela est.inadmissible et honteux dans ce pays
il va falloir éduquer et transmettre les vrais principes à une part de la.population française. Jamais il.ne faudra plier face à ces gens.Nous avons une force intérieure qui.jamais.ne disparaîtra
Ce n’est pas malheureusement avec un seul clip vidéo que la France pourra combattre l’antisémitisme. On sait d’où cela vient, une partie des français issus de l’immigration, l’extrême gauche, des ultra(identitaires). Il faut que les politiques agissent fermmement tolérance zéro et prison, si besoin. Quant aux personnes de confession juive, surtout vous devez êtres fiers et forts face à tous ces haineux, ce n’est pas facile. Les antisémites ne gagneront jamais. Et la force des juifs, vous avez réussi à contruire un pays fort, prospère, en pointe dans plein de domaines. Et cela cela doit être une fierté et une revanche sur la vie sur tous ces gens haineux et faschistes.Am Israël Haï.
Comment en étant française ne pas avoir honte. Les deux clips sont poignants. Tout ce que je peux dire c’est : vous n’êtes pas seuls
Comme vous avez raison, chère Sarah Cattan, de mettre en contraste le clip larmoyant et défaitiste (et donc contre-productif) de la LICRA et celui de l’Etat d’Israël. La LICRA, qui découvre depuis le 7 octobre les conséquences d’une situation qu’elle a accompagnée depuis des années, devrait faire amende honorable et présenter des excuses pour avoir laissé l’antisémitisme prospérer, en faisant le jeu des antisémites, puisque tous ceux qui, à l’exemple de Georges Bensoussan, pointaient l’origine d’un antisémitisme d’importation, ont été poursuivis en justice à l’instigation de ces associations pour qui il fallait régler les controverses historiques dans les prétoires (il y a un petit côté procès stalinien dans cette façon de procéder).
En même temps, ces associations devenues gauchistes ne voulaient pas regarder en face le côté de l’hémicycle où l’antisémitisme déguisé en antisionisme politique était le plus à même de s’exprimer : la gauche qui, politiquement et médiatiquement, a fourni le terreau idéologique favorable à l’antisémitisme musulman.
Sans généraliser l’origine de cet antisémitisme présent depuis déjà 25 ans en France et en Europe (cf. https://www.tribunejuive.info/2024/05/24/bas-les-masques-du-jourdain-a-la-tayelet-les-antisemites-ont-toujours-aime-les-juifs-comme-leurs-steaks-saignants-ou-bien-cuits-jean-marc-2-2/), étant descendant de sépharades d’Algérie, je rappellerai volontiers (aux ignares crasses achkénazes et autres de la LICRA et d’autres associations « représentatives » qui n’y voient qu’un folklore) que le million de Juifs originaires des pays arabes (expulsés, spoliés ou parfois assassinés entre 1948 et les années 1970) et leurs descendants savent très bien ce qu’ils doivent à l’antisémitisme musulman (et au statut de dhimmi). Dès le début des années 1950, le FLN affichait en Algérie des affiches « Les Arabes au château, les Français au bateau, les Juifs au poteau ! », alors que les Juifs d’Algérie avaient souvent une présence millénaire dans ce pays.
La lutte contre l’antisémitisme ne se fera qu’avec la définition et la mise en application de valeurs universelles absolues et l’application sans faille d’une justice indépendante, non laxiste et non idéologique : le sursis n’a jamais été dissuasif et l’affaire Halimi fut une autre affaire Dreyfus. De plus, le relativisme ambiant où la gauche « intellectuelle » et les associations juives « représentatives » de gauche (pléonasme !) ont accepté (faute de le dénoncer) un antisémitisme d’Etat sur France Inter qui s’en prenait à Zemmour ou Netanyahou pose problème depuis longtemps, tout comme le geste désastreux de remettre au président Macron un prix de lutte contre l’antisémitisme, vu son bilan catastrophique ! Ne manque plus qu’une journée de lutte contre l’antisémitisme qui prendrait place entre la journée de la jupe et celle du macramé pour enterrer définitivement la lutte contre l’antisémitisme qui ne concerne pas que les Juifs, mais toute la société, parce que l’Histoire nous a appris ce qu’il advenait des sociétés qui basculaient dans un racisme ou un antisémitisme d’Etat. C’est pourquoi, il ne peut pas non plus y avoir de et-en-même-temps dans ce domaine.
La gauche a failli grandement dans l' »éducation à la citoyenneté démocratique », vaste fourre-tout, comme dans l’éducation à la Shoah, car hormis les témoins qui font un travail de transmission formidable, le prisme de l’empathie ne marche pas : il faut éduquer les jeunes par le biais de la régression des valeurs démocratiques s’appliquant de manière générale et qui rend possible toutes les dérives.
Je fais miens toutes vos prises de position, notamment https://www.tribunejuive.info/2024/06/21/la-vulgarite-intellectuelle-la-vulgarite-dame-en-quelques-secondes/ ; c’est AUSSI par l’aveuglement, le déni, l’hypocrisie et la malhonnêteté intellectuelle des Jakubowicz et Stasi qui prétendent combattre l’antisémitisme d’avant-hier avec les antisémites d’aujourd’hui que nous en sommes là !!
Le clip d’Arthur et M. Levy est nullissime ; que vient faire un jeune noir non Juif là-dedans ; et en plus il veut donner une leçon à u ne mère juive inquiète pour ses enfants.
Nul, nul, nul.
« A l’initiative de…Et Mario Stasi sous l’égide de la LICRA »…!!!
La LICRA étant une organisation aux ordres de la République Islamonazie où nous vivons, ses initiatives n’ont guère plus de valeur que celles d’Ersilia Soudais. La LICRA et SOS Racisme sont les complices du PIR, de la FI et du NFP.
Mario Stasi et Caroline Fourest me dégoûtent autant, voire plus que les nazislamistes du NFP, car ils tiennent un double langage et font semblant de combattre ce qu’en réalité ils soutiennent.
Plus largement, tout ce qui est favorable au pouvoir de l’Elysee ou de l’UE doit être considéré comme collaborationniste.
D’accord avec @Sarah378 au sujet de la LICRA, dont la principale activité consiste à s’attaquer aux lanceurs d’alerte dénonçant les violences sexistes et racistes commises par les « racisés ». Tout comme l’infame SOS Racisme, association raciste ayant décrété que le « racisme anti-blancs n’existe pas ». Fourest, la Franc-tireuse ou agent double du NFP, c’est la même chose avec en plus une paranoïa russopobe relevant de la psychiatrie et un mépris de classe assumé (la GPA qu’elle prône n’est rien d’autre que l’exploitation du corps de femmes démunies par des couples friqués).
J’ai pour ces individus et leur fanclub un mépris incommensurable.