Anouk Aimée Et Marceline Loridan-Ivens, dans La petite prairie aux bouleaux

Photo Franziska Krug/Getty Images

Myriam, rescapée des camps de la mort, décide de retourner à Birkenau sur les traces de son passé. Elle y rencontre un jeune photographe allemand, petit-fils d’un colonel SS. De l’horreur du vécu de Myriam et de la culpabilité d’Oskar naît une amitié improbable.

À travers le personnage de Myriam, c’est son propre passé et le choc violent du retour à Cracovie que raconte la réalisatrice.

Rescapée du camp d’Auschwitz-Birkenau où elle a été déportée à 14 ans, Marceline Loridan-Ivens s’est « libérée » par la pellicule, offrant une réflexion sur la mémoire et l’oubli, la réconciliation et l’espoir.

Avec l’autorisation exceptionnelle de tourner dans l’enceinte du camp de Birkenau, la réalisatrice restitue des sentiments d’une grande intensité, empreints de souvenirs douloureux.

France / Allemagne / Pologne, 2003, 90 min, Mascaret Films / Ciné Valse / Capi Films (France), P’Artisan Filmproduktion GmbH (Allemagne) / Heritage Films (Pologne)

Avec Anouk Aimée (Myriam) et August Diehl (Oskar)

Ours d’or d’honneur à Anouk Aimée en 2003

Ce film a reçu le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.

La petite prairie aux bouleaux, de Marceline Loridan-Ivens

Rencontre avec Anouk Aimée et Marceline Loridan-Ivens au Mac Mahon à Paris le 20 mars 2015 avant la projection du film « La petite prairie aux bouleaux »

Marceline Loridan-Ivens et l’actrice Anouk Aimée, en 2003 devant le camp d’Auschwitz, lors du tournage du film La Petite Prairie aux bouleaux.

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1 Comment

  1. Anouk, vous qui allez rejoindre à jamais Marcello et Federico et Nino. Embrassez-les pour moi, s’il vous plaît.
    Vous aurez rendu possible, avec tant d’autres, « La dolce vita ». Plus qu’un chef d’œuvre, une raison de ne pas maudire la vie. Mille grazie, Anouk.

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