Otages libérés par Israël, « Maître de son destin »: Mais les media, nombreux, traitent l’Affaire de manière partisane et taisent le rôle des « civils palestiniens », geôliers desdits otages

L’opération de secours des otages de Gaza, au cours de laquelle Noa Argamani, Almog Meir Jan, Andrey Kozlov et Shlomo Ziv ont été sauvés, a certes été traitée par les médias internationaux.

Mais comme attendu, alors que certains choisissaient de se concentrer sur l’information, à savoir les otages libérés et les réactions des familles et amis, d’autres préférèrent devancer Mahmoud Abbas et l’ONU, choisissant de mettre en avant le sort des Palestiniens tués pendant l’opération, ce « massacre sanglant », « ce carnage », sans jamais pointer du doigt que nos 4 otages étaient détenus par des civils de Gaza, au sein de leurs appartements privés, lesquels étaient  situés dans un lieu aussi densément peuplé, près du marché.

Les mêmes n’ont pas insisté sur le fait que lesdits otages avaient été sommés de lire quotidiennement le Coran, mais encore d’apprendre l’arabe.

Des civils, répétons-le: 3 des 4 otages, pour exemple, ont été captifs au sein d’une famille aisée dont le père était médecin et le fils … journaliste. « Journaliste ». Supposément d’Al Jazeera. Qui précise lâchement: « Il fut juste pigiste »… « Il eut juste un CDD«  Lorsque Tsahal confirme ce soir : « Journaliste d’Al Jazeera affilié au Hamas »

Des civils, redisons-le, sans doute nombreux à savoir qu’en ces lieux voisins, étaient embastillés des otages. Lâches ou complices. Quelle différence ici.

TJ

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