Quelques jours après avoir reçu le chef de l’Etat qatari à Paris et dans l’attente de la visite de celui de l’Algérie, le président français Emanuel Macron rencontre au Brésil son homologue brésilien .
Au-delà des nécessités diplomatiques d’usage, les communs dénominateurs des Etats honorés par la France sont: l’hostilité rabique à l’endroit d’Israël, les liens étroits avec la dictature djihadiste de Téhéran et une conception autocratique et prévaricatrice de l’exercice du pouvoir.
L’actualité diplomatique du président Macron illustre ainsi parfaitement la réalité de la situation globale résumée ici en cinq points.
1- L’inversion de la norme de Droit au profit des dictatures, des États agresseurs ou bellicistes tels que l’Iran, le Qatar, le Brésil, l’Afrique du Sud, Liban, etc, et au détriment de ceux agressés et pacifiques à qui sont imposés d’interminables conflits tels qu’Israël, Taïwan, etc
2- La captation des institutions et organisations internationales par les dictatures majoritairement djihadistes, menaçantes et financières.
3- La soumission aux puissances djihadistes d’États de plus en plus nombreux qui ne résistent ni à leurs menaces ni à leurs offres de financements (France, Belgique, Afrique du Sud, Brésil, etc)
4- Conséquence de cette situation: une double tentative d’exclusion progressive décidée par cette inflation djihadiste.
Tentatives d’exclusions progressives d’États minoritaires au sein du désuet « concert des Nations » (Arménie, Taïwan, etc)
Tentatives d’exclusions progressives de publics minoritaires au sein même de leurs propres pays (Europe occidentale, USA, etc)
5- Focalisation de l’intérêt international à la destruction d’Israël par une disproportion civile, militaire, conflictuelle et par l’incantation d’un Droit inexistant au profit des agresseurs.
Les faits sont inventés, les otages sont effacés, les autres conflits sont ignorés.
Pourtant, la jonction nauséabonde de l’argumentaire antisémite désormais avancé contre Israël et contre les Juifs, de la forfaiture d’un droit inexistant à destination nocive du seul État hébreu et de la puissance financière de ses ennemis ne parviennent toujours pas à ébranler sa détermination à y résister.
Les difficultés que les djihadistes et leurs complices occidentaux imposent à Israël provoquent la haine anti-juive mais n’altèrent guère la puissance visible d’Israël à vivre.
Les gesticulations des ennemis d’Israël signent leurs impuissances à le détruire depuis 1948: ni par les guerres, ni par la terreur, ni par la propagande diffamatoire, ni encore par la diplomatie.
© Pierre Saba
28 mars 2024
j’adhère en totalité a cette analyse brève réaliste efficace; lourde de conséquences pour l’avenir de la France et le devenir de la communauté au sein de ce qui fu
t Nation… ..
La ligne politique de la France ne change pas depuis de gaule. Pourquoi macron en serait-il l’exception ?
Souvenez-vous, lors de son premier voyage à Jérusalem de son choix de reproduire, de singer l’esclandre de chirac…
L’antisémitisme suinte de ce type et, à part pour les juifs de cœur français coincés entre carrierisme et illusions, il est aisé pour les autres de constater sa détestation..