La Cour internationale de justice (CIJ) entre en conflit contre Israël

Interdiction des boucliers humains
Le Droit international humanitaire interdit par son article 97 tout usage de boucliers humains dans les conflits armés.

L’armée israélienne opère à Gaza depuis les massacres et tortures commis par l’organisation criminelle hamas en Israël.

La riposte militaire israélienne à Gaza vise deux catégories criminelles.

1- Les criminels du hamas, leurs complices enregistrés comme fonctionnaires et contractuels de l’ONU et des résidents civils et militaires de Gaza.

2- Les infrastructures militaires en général et balistiques, sous-terraines et de lancement de missiles, en particulier.

Interdiction des conflits armés entre Etats
Les règlements des Nations-Unies (ONU)interdisent la résolution des conflits par voie de guerre.

L’Etat d’Israël subit depuis sa création en 1948 une série de guerre que lui déclarent ses ennemis arabes et iraniens.

Interdiction des crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité
Les conventions de Genève de 1949 interdisent les crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité(assassinats, tortures, persécutions, etc) de militaires et de civils sans défense)

Les victimes civiles et militaires ont subi le 7 octobre 2023 en IsraËl des massacres et tortures commises sur leurs personnes par les criminels du hamas et complices.

Interdiction des prises d’otages
La convention internationale contre la prise d’otage ratifiée en 1979 interdit toute prise d’otage dans les cadres de conflits militaires, eux aussi prohibés.

Violation du plan de partage de la Palestine britannique
En violant la décision-résolution de l’ONU portant numéro 181 consacrant le partage de la Palestine sous mandat britannique en un Etat arabe et une autre hébreu, les ennemis d’Israël portent la responsabilité unique et historique du conflit israélo-arabe.

Le mensonge comme élément de Droit international (DI)
De ces cinq violations du Droit international, personne ne parle!

Les mentors-menteurs publics évoquent, invoquent, provoquent, à longueur des media coupables de les accueillir sans contradicteur, un DI inexistant sans être jamais en mesure d’en détailler aucune mesure!

Ils se gardent bien de citer les véritables dispositions de DI qui atterrent leurs argumentaires à charge unique d’Israël.

Vide juridique du dossier sud-africain
Le dossier préparé par les représentants du gouvernement sud-africain contre Israël est vide en Droit.

Il ignore les interdictions ici précitées.

Les faits y dénoncés présentent tous un aspect falsifié aisément démontrable et démontable.

Les allégations sud-africaines suent la collision organique avec les criminels contre l’Humanité du hamas.

Le comportement judiciaire de Pretoria est celui d’une bande organisée aux fins totalitaires, idéologiques et exterminatrices.

Impéritie internationale
Il est patent que la passivité de la réaction internationale contribue à la déchéance supplémentaire d’un organe juridique de l’ONU qui viole, quant lui, sa propre déontologie!

Impéritie judiciaire
Il est ahurissant et inquiétant de constater l’agrément de la CIJ à donner suite à telle plainte, en dépit des violations multiples et manifestes qu’elle comporte sur le fond et sur la forme.

La grossièreté procédurale est telle qu’elle dépasse le zéro éliminatoire à quelque concours de Droit!

Influence djihadiste sur la CIJ
Après avoir infiltré la diplomatie, l’administration de l’ONU & celles de nombreux Etats qui assoient leurs autorités par la peur, la finance et les menaces des djihadistes internationaux…elle dispose désormais d’une puisante assise judiciaire.

La décision de la CIJ de ne pas débouter la plainte pourtant « cochant toutes les cases » d’une plainte à débouter pose la question de son indépendance juridique et son exonération de tout élément politique et diplomatique.

Sur le fond, la CIJ a adopté l’argument de l’aile juridique du Hamas qu’est le gouvernement sud africain…sans oser violer plus avant sa propre règle par une violation supplémentaire de sa jurisprudence.

Nécessaires réactions de la Défense israélienne
La procédure n’est pas terminée.

La partie israélienne a tout loisir…

1- de solliciter une investigation relative à l’ indépendance des juges de la CIJ & éventuellement d’en demander la ou les récusations.

2- de déposer une ou des plaintes en diffamation motivées par les allégations des alliés sud-africains du hamas.

En toutes hypothèses, il faut bien déplorer par ce dossier la chute d’un nouveau mur de la maison ONU et le rejet éthique des règles établies en 1945 par le professeur René Cassin.

© Pierre Saba
28 janvier 2023

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*