Paul Germon. Nos « féministes » ont opéré un tri et déshumanisé les femmes suppliciées du 7 octobre. Cela s’appelle « l’inhumanité ». Celle que décrivait Primo Lévy sur les responsables du tri du camp d’Auschwitz

Témoignage bouleversant d’une femme violée et mutilée par les terroristes palestiniens. ©EPN/Newscom/SIPA
© Joann Sfar

Le collectif féministe #Noustoutes s’est rassemblé le 25 novembre à Paris pour manifester contre les violences faites aux femmes.

Cependant, tous les rapports relatent que lors de cette manifestation, les femmes venues exprimer leur solidarité avec les femmes juives victimes de viols commis par le Hamas le 7 octobre non seulement n’ont pas été entendues ou soutenues mais de plus traitées quasiment comme des parias.

Un seul mot vient à l’esprit : indigne.

Ces viols, ces massacres sexuels, ont été prouvés et des images prises par les criminels eux-mêmes ont été diffusées notamment à l’Assemblée nationale.

Cela ne semble pas suffire …

Ces faits, ces images, ont suscité une immense indignation en France et dans le monde y compris auprès de personnes hostiles à Israël.

Cela ne semble pas suffire …

L’absence de commentaires ou de soutien envers les femmes israéliennes violées, suppliciées, martyrisées, torturées, massacrées « après usage » de la part de ces femmes censées défendre une noble cause soulève des questions sur leur crédibilité et leurs motivations.

De quoi cela porte-t-il le nom ?

On ne le sait que trop…

Ce Collectif de féministes est-il vraiment attaché à la lutte contre les violences faites aux femmes ?

On ne le sait plus trop …

Ou alors les femmes juives ne seraient pas tout à fait des humains de sexe féminin ?

Cela porte un nom : l’inhumanité et puis un autre nom que nous ne citerons pas.

L’ARCCI (Association des centres d’aide aux victimes de viol) en Israël s’est également indignée de cette situation.

Il est troublant de constater que, malgré l’évolution de la charge de la preuve en matière de viol, les femmes juives seraient donc les seules dans le monde à devoir fournir une preuve scrupuleuse de leurs martyres ?
La question se pose d’autant plus qu’en outre, là, les preuves foisonnent.
Cela ne semble pas suffire …
Indigne …

De quoi cela porte-t-il le nom ?
On ne le sait que trop …

Ou alors les femmes juives ne seraient pas tout à fait des humains de sexe féminin ?

Cela porte un nom : l’inhumanité. Celle que décrivait Primo Lévy sur les responsables du tri et les gardiens allemands du camp d’Auschwitz.
Nos « féministes » ont ainsi opéré un tri et déshumanisé les femmes suppliciées du 7 octobre.

Il faut effectivement donner un nom à cette situation, ce comportement ces silences , ces rejets et s’interroger sur les motivations et les valeurs réelles des associations qui prétendent lutter contre les violences faites aux femmes.

La crédibilité de ces associations doit être remise en question face à leur silence ou à leur manque de soutien dans des cas spécifiques de violences contre des femmes juives.
Indigne .

À noter: Olivia Cattan, Présidente de « Paroles de Femmes » et Alain Beit, Président de « Beith Haverim”, furent les premiers, depuis Israël, à interpeller lesdites associations, rejoints par l’ARCCI, « Association of Rape Crisis Centers in Israel », et Orit Sulitzeanu.

© Paul Germon

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1 Comment

  1. Je vois cette jeune femme toute pâle, qui marche avec des béquilles encadrée de deux misérables du hamas, avec leur déguisement militaire, cagoulés, un chiffon vert autour de leur tête au cerveau de primate. Ils sont moins fiers ces clowns quand ils sont prisonniers et interrogés par l’armée israélienne ,ils parlent ils parlent ils ne peuvent plus s’arrêter et on découvre de pauvres types qui, s’ils n’étaient pas des monstres, feraient presque pitié. Comme ces soit-disant féministes, embrigadées, pro palestine ,idiotes et sans intêret.

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