Elle s’appelle Rauma Kedem. Sa fille Tamar, son gendre John, et ses 3 petits-enfants ont été assassinés le 7 octobre par le Hamas
« My loved ones, No one can bring you home. Our beloved Tamari, John, Arbeli, Shahar and Omeriko, I wrote you names on my skin, but I want the whole world to know what a great and shining light you are for us, in this world and the next. I love you my fairies and angels, forever and ever light up our world. Mom and Grandma ».
Rauma Kedem vit ou survit à une épreuve trop douloureuse. Porter les prénoms de façon indélébile sur son bras témoigne de l’association de cet évènement historique à un autre qu’a vécut le monde juif il y a 70 ans!
Qui parle de réponse « proportionnée »?