Oser, après avoir visité ce qui reste du kibboutz Be’eri, faire la leçon à Israël. L’amitié d’un Joseph Borrell? Non Merci!

Bien sûr, nous pourrions décider de n’en point parler, de ceux qui se permettent l’odieux « oui mais » concernant Israël et sa détermination à se défaire du Hamas.

Bien sûr nous pourrions les ignorer. Les considérer avec le mépris de mise.

Mais la lâcheté qui est la leur est si odieuse que nous voulons que leurs noms demeurent. Qu’ils soient marqués du sceau de l’infâmie.

Le dernier en date est Josep Borrell, Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères, en visite en Israël.

Le personnage, alors qu’il s’en revient d’une visite de ce qui fut le kibboutz Be’eri, a osé établir un parallèle entre les massacres du Hamas et la réaction israélienne: « Une horreur n’en justifie pas une autre », a-t-il osé, enjoignant notre peuple à ne pas se laisser submerger par « la colère », mais encore ajoutant … qu’il parlait « en qualité … d’ami ».

Si le flou demeure au sujet de ce qui est devenu maxime: « Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m’en charge ! », nous n’avons guère mieux qui nous vienne à l’esprit ce soir. Israël comme chacun de nous fait depuis le 7 octobre le tri dans ses « amis » et l’État hébreu est bien seul, comme nous, Juifs.

Mais des amis comme celui-là, Non, Merci.

Avec Cyrano définitivement: Non, merci ! non, merci ! non, merci ! 


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4 Comments

  1. Joseph Borrell est comme beaucoup d’autres imbéciles qui font exprès ou pas de confondre deux armées qui se combattent comme pendant la dernière guerre mondiale la France et l’Allemagne , et qui pourraient entamer des négociations, mais entre Israel et le Hamas, c’est autre chose, c’est une démocratie qui combat une organisation terroriste avec qui on ne négocie pas et à laquelle on n’accorde aucune « pause ».

  2. Borrell et Macron, même combat, celui qui dit: » on ne répond pas à la barbarie par la barbarie », et Borrell qui a vu ce qui reste de Bè’eri et qui ne trouve rien d’autre à dire « qu’une horreur n’en justifie pas une autre »; voilà, ce sont les deux mêmes personnages qui ne valent rien .

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