Georges Bensoussan: Ce qui nous arrive. Expertise. « L’islamisation de la société française »

Source: Europe1-CNews « Le Grand Rendez-Vous » Entretien mené par Romain Desarbres

Les Origines du conflit israélo-arabe (1870-1950)
Georges Bensoussan
Collection: Que sais-je ?

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17 Comments

  1. Je ne suis pas juif (personne n’est parfait 😊) et je ne suis absolument pas sympathisant des thèses d’extrême droite.
    Maisnen effet, je constate une présence et une visibilité de plus en plus forte de l’islam dans les lieux publics ainsi qu’une pression. Outre les signes vestimentaires de plus en plus nombreux, le nombre de magasins et fast food contenant le mot « Isla » a explosé. Ça n’est pas le cas des autres religions. Voit-on des fasts food ou magasins de vêtements appelés « Catho food » ou « Judéo fringues » ? Si c’était le cas on nous tomberait dessus en criant au prosélytisme.
    Mais concernant l’islam, on ne dit rien.
    Il faut définitivement et urgemment bannir de l’espace public ce genre de signes.

  2. Comment ne pas dénoncer certains médias notamment électroniques qui étrillent
    et salissent jusqu’à maintenant le bon professeur Georges Bensoussan
    dont l’un est tenu par « un intellectuel Français ».

  3. L’approche de Georges Bensoussan, notamment dans son que sais-je, est habile et partiale. Dommage qu’elle bénéficie de l’aura officielle de la collection. Je lui préfère celle de Henry Laurens, plus profonde et équilibrée. Cf La question de Palestine en 5 volumes

  4. Pas une farce, une tragédie. Je continue à lire TJ. Pour entendre chaque voix. Aucun début de remise en question dans les pages de TJ. Triste et dangereux. Êtes-vous donc tous sur la ligne Naouri Nili ?

    • Vraiment? Parce que nous avons 2 auteurs de IsraelForEver, vous décrétez que nous sommes « tous sur la ligne Naouri Nili »? C’est qu’alors vous lisez mal. Mais en effet si vous cherchez ici, en ce moment précis, 24 jours après le pogrom, une voix qui mettra à égalité Hamas et Israël, Allez chercher ailleurs: Ici vous ne trouverez que des esprits éclairés qui ont su mettre de côté leurs divergences. Pas Vous. Le danger, C’est vous. Sarah Cattan pour TJ

  5. Je ne décrète rien, je pose une question. Continuerai à vous lire. A l’écoute, entre autres, de critiques envers les gouvernements israéliens successifs et leur politique que l’ont peut qualifier d’assassine et suicidaire.

    Je ne mets rien ni personne à égalité, je cherche à comprendre la causalité.

    Pourriez-vous m’éclairer sur les divergences dont vous parlez ? Sur quelle position commune leur « mise de côté » a-t-elle débouché ? Vraies questions.

    Par ailleurs, j’essaie d’en savoir davantage sur l’authenticité du document du ministère du Renseignement révélé par Local Call et +972. Auriez-vous des informations ?

    • Votre question est étrange mais je vous réponds donc: durant la scission du pays concernant la réforme judiciaire, ( C’est un exemple, récent, et pas n’importe lequel, n’est-il pas, vu ce qui est arrivé le 7/10), nous avons obstinément publié les tenants des 2 côtés. Shmuel Trigano fut un de ceux dont nous eûmes la « chance » de suivre les doutes, les thèses avancées, les points retenus in fine. Nous n’avons publié que des auteurs arguant avec puissance. Ce qu’ils ont mis de côté? Eh bien Ils se sont lus réciproquement, nos lecteurs aussi, ont débattu, ont douté ou sont restés sur leur position. Ce que nous savons, c’est que le 7 octobre, chacun a eu la décence de laisser pour « plus tard » les mises en accusation, et, à l’image du pays, nous avons été « ensemble », chacun dans son domaine, livrant un essai d’expertise psychanalytique, politique, historique, sociologique … de ce était arrivé, de ce qui nous arrive. La position commune? Elle est juste celle-là: ensemble. Résolument convaincus qu’il faut se défaire de cet ennemi barbare. Résolument convaincus de la solitude juive. Résolument convaincus qu’il faut « faire le job ». Pour le document en question, nous espérons demain vous le livrer.

  6. Vous aviez, en effet, sur la réforme judiciaire ouvert le débat.

    J’entends votre point de vue sur la situation actuelle.

    Merci d’avoir pris la peine de répondre à ma question.

    Pour le « document », je guetterai votre livraison.

  7. Si les deux informations suivantes s’avéraient exactes :

    1. Mr Netanyahou était au courant de l’attaque du Hamas

    2. Le ministère israélien du Renseignement recommande le transfert forcé et permanent des 2,2 millions de résidents palestiniens de la bande de Gaza vers la péninsule égyptienne du Sinaï

    ne pourrait-on qualifier de sauvage le cynisme du premier ministre – coupable envers les deux populations israélienne et palestinienne ?

    Si une telle corrélation se confirmait, elle devrait impacter l’action présente.

  8. « Ce n’est pas parce qu’on est fort, qu’on a tort » (sic!). Pour comprendre la réaction du monde occidental, tout est contenu dans cette phrase. Le monde musulman a d’autres ressorts. Dans notre monde, on n’aime pas le fort, pour le dire autrement, on préfère le faible car, grâce à lui ont devient le fort et ça nous donne une stature. C’est le syndrome du sauveur. En France, on n’aime pas les Américains (qu’on appelle de plus en plus des Etats-Uniens)à, à qui on est redevables, mais on préfère les Palestiniens, qui nous sont redevables. C’est le complexe de Monsieur Perruchon. Lorsque Chirac recevait à l’Elysées, sa position exprimait ses sentiments. Lorsqu’il recevait Bush, lèvres serrées, visage grave et sans aucun sourire de complicité, il l’attendait le pied ferme et fixe, sur le perron. C’est ainsi qu’on marque sa supériorité ou, ici, l’égalité. Quand il recevait Arafat, tout sourire et bras largement écartés, il descendait du perron pour aller prendre dans ses bras le tapeur, qui était aussi le nôtre, pour montrer que, malgré sa supériorité, il avait la générosité de traiter le petit comme un grand. La déférence est descendante. Jamais ascendante. Ce qui arrive aujourd’hui à Israël, c’est ce que disait de Gaulle quand il disait un peuple dominateur et fier. Ce n’était pas un discours construit pour être lu, mais une réponse à une question. Et, en ce qui me concerne, je ne trouve rien d’outrancier à cette phrase. Il vaut mieux être un peuple fier, qu’un peuple honteux (comme la France est en train de le devenir). Un peuple dominateur? Quel est l’antonyme de dominateur? Israel paie de prix de sa réussite. Un petit pays à peine visible sur une carte mondiale, qui n’a même pas un siècle d’existence et qui, grâce à son travail, est devenu une puissance économique alors que d’autres vivent de la mendicité mondiale. On n’aime pas ceux qui réussissent car cela est vu comme de l’arrogance.

  9. @O.Icaros En France, on a toutes les raisons de ne pas aimer les Etasuniens auxquels nous ne sommes en rien redevables. D’autant que leur presse et leurs universités aux mains de nazis pro islamistes et racistes ne cessent de balancer les pires horreurs sur la France. Quand les islamistes commettent les pires horreurs dans notre pays (c’est-à-dire tout le temps), les Immondes médias anglo-saxons écrivent que c’est la faute des Français qui sont « islamophobes ». Ils font comme nos médias avec Israël, en fait.
    Le problème c’est précisément que la grande majorité des Français aime les USA. Cela confine même à la vénération : la relation France USA est une relation sado-masochiste quasi non consensuelle.
    Dolc la France est effectivement un peuple honteux et ce depuis 1940 : cette façon de ramper devant les USA comme devant l’Allemagne, l’UE ou les pays arabes en est justement la preuve.

    Par rapport à Bush, l’Histoire a entièrement donné raison à Chirac et les USA en Irak auraient du être sanctionnés par la communauté internationale. S’il y a bien UNE chose de positive (à peu près la seule) qu’on retiendra du président mangeur de pommes, c’est d’avoir tenu tête aux USA.
    Pour croire que ces derniers luttent contre l’islamisme et l’antisémitisme, il faut vraiment être ignorant de ce qui se passe là-bas, de ce que sont leurs médias, leurs universites et même (si l’on fait le bilan) de leur politique étrangère.

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