Arrivé ce matin en Israël pour une visite de solidarité au douzième jour de la guerre avec le Hamas, le Président américain, après avoir rappelé « le mal absolu, les atrocités qui rappellent les ravages les plus dévastateurs de l’antisémitisme », a affirmé: « Nous n’allons pas rester sans agir une fois de plus ».
Affichant la priorité pour le retour des otages, le Président, dans des mots simples, a évoqué la chaise vide du prochain shabbat et le souvenir du café partagé qui hantera les familles endeuillées mais il a répété: « Ils ont voulu vous mettre à genoux, ils n’y arriveront jamais, tant est exceptionnelle la solidarité du peuple hébreu ».
Rappelant que le 7 octobre avait été « 15 fois le 11 septembre », Biden, après avoir affirmé et détaillé le soutien concret des USA à Israël, a voulu redire que le Hamas ne représentait pas le peuple palestinien et que les civils devaient avoir droit à une aide humanitaire exemplaire.
Après avoir affirmé sa foi dans une solution à 2 États, Joe Biden a conclu: « Vous êtes une démocratie, vous croyez à la dignité humaine de chaque vie, Vous vous relèverez, Vous êtes la Lumière du monde ».
Des belles paroles bravo mais il fait quoi contre les Mollahs qui sont derrière ce carnage?
Tout à fait d’accord avec vous, nous allons voir la réaction du président
Aussi longtemps que les USA préféreront acheter du pétrole arabe pour préserver à long terme ses propres réserves le discours public sur l’agression islamiste sera timoré ou retenu
Mais l’essentiel ne réside pas pas les mots politiques mais le formidable armement vendu/donné à Israël et la proximité de la flotte militaire que les USA ont déployé dans la périphérie d’Israël
C’est cela un ami et un allié
@Sergio26 « Les États n’ont pas d’amis. Ils n’ont que des intérêts » (Napoléon)
Lorsqu’on connaît la véritable nature du parti bideniste et la réalité societale, politique et idéologique des USA modernes, il est impossible de considérer sérieusement les USA comme un allié d’Israël (et a fortiori de la France ou l’Europe). Les USA des années 70-80 n’existent plus. La presse et les universités étasuniennes comptent parmi les principaux relais planétaires de la propagande islamiste et djihadiste.