La majorité des Israéliens, jusqu’ à ce samedi noir du 7 octobre 2023, pensaient que le souvenir des Juifs raflés, déportés et assassinés en masse appartenait au passé. Un passé remémoré chaque année en Israël sous le nom de Yom HaShoah (le jour de la Shoah en hébreu).
Grâce à Tsahal, la mythique armée israélienne, le peuple israélien pensait être à jamais délivré de l’humiliation mainte fois ressentie au cours des siècles par ces millions de Juifs désarmés qui avaient perdu leur patrie ancestrale avant de la recouvrer en 1948.
Évidemment, par la suite, les Arabes n’eurent de cesse de combattre les Juifs tant en Israël que dans la diaspora. Le terrorisme fut toujours leur arme de prédilection : Il suffit de rappeler, par exemple, le massacre de Maalot perpétré en 1974 dans le nord d’Israël par les terroristes du Front démocratique pour la libération de la Palestine ( le « FDLP » de Nayef Hawatmeh). Les tueurs « palestiniens » attaquèrent à la grenade et au fusil d’assaut l’école de la ville israélienne de Maalot. Le bilan fut terrible : vingt-deux écoliers, trois enseignants ainsi qu’un couple et leur enfant de quatre ans furent assassinés de sang-froid. Les attentats et massacres de ce genre ne cessèrent jamais et avaient même commencé bien avant la refondation de l’État juif (Citons pour exemple le pogrom de Hébron de 1929 ).
Mais, malgré les attentats incessants, les Israéliens pensaient : « Nous sommes chez nous après plus de deux mille ans d’exil ; les humiliations, les familles séparées de force, les tueries de masse appartiennent au passé ».
Le Juif errant était finalement arrivé – pour paraphraser le titre du livre d’Albert Londres – et il avait enfin confiance en l’avenir.
Tout a donc volé en éclats samedi dernier quand les Israéliens ont vu leur glorieuse armée totalement débordée et quand ils comprirent que leurs légendaires services secrets avaient été frappés d’une totale cécité.
Je pense que le traumatisme de la Shoah ne s’est jamais autant fait ressentir sur le sol même d’Israël que ces derniers jours : des hommes, des femmes, des enfants et des vieillards réveillés au saut du lit par les Einsatzruppen islamistes du Hamas, assassinés de sang froid pour les uns, raflés et déportés vers Gaza pour les autres. Le spectre d’une nouvelle Shoah hante depuis samedi la conscience juive israélienne…
© Frédéric Sroussi depuis Israël
Lorsqu’on.voit tous ces néo nazis pro Hamas en Europe de l’ouest et aux USA on peut également craindre de nouvelles nuits de cristal dans le monde occidental. En particulier en France, Allemagne, Belgique et Grande Bretagne (les 4 pays européens les plus islamisés et indigénistes).
Jérôme j’ai peur pour nous tous je pleure pour Israël en guerre j’espère pour eux .je suis devastee par la souffrance du peuple israelien.Cela n’en finira jamais.
Il n y aura pas de nouvelle shoah en Israel car notre armée reprend les choses en main et va ecraser definitivement le hamas qui est devenu un monstre par la politique cynique et debile de Bibi qui devra rendre des comptes au peuple .
Personne ne peut vaincre le peuple juif sur sa terre , et ce drame va guider les changements drastiques pour les 20 prochaines années ici .
Pour la diaspora , je suis inquiet , pour mes freres , mes enfants livrés en France a un gouvernement de collabo et de laches , pour mes amis a la merci des 20 millions de barbares qui prennent peu a peu le controle de la France insidieusement , pas seulement grace a des bandits communistes comme LFI mais aussi et SURTOUT grace a des institutions corrompues par la propagande antijuive , et des elites françaises veules et applaties qui sont les enfants directs des vichyssois et des petainistes .
C’est une seule et même guerre qui dure déjà 18 ans. Avoir pitié pour les civils des assassins, ces mêmes civils qui font que le Hamas est à nos portes, n’est pas une division pour régner mais pour se soumettre.
Si les Américains n’avaient pas rasé Dresde, il se peut que la Deuxième guerre mondiale aurait continué encore aujourd’hui, avec sa ronde de trêves et de cessez-le-feu. Donc…