France. Toujours vivante avec un encéphalogramme plat

Au milieu du balagan, que dis-je, du tsunami qui a emporté via France et s’est comme calmé avant d’hélas mieux revenir, nous laissant tous sidérés et à tout le moins profondément déprimés pour ne pas dire découragés et furibards, restent les points « annexe » à éclaircir, « annexes » car la bombe devait arriver :

Notre police a-t-elle tiré inconsidérément?

Le petit ange avait-il refusé d’obtempérer.

Comment seront indemnisées les victimes.

Quid de la suite.

C’est quoi, au fait, ces cagnottes qui désormais s’ouvrent systématiquerment.

À propos de cagnottes, chacun pense évidemment à celle lancée par Jean Messiha sur la plateforme GoFundMe et qui est « montée » à 1 636 200 euros pour aider le policier qui a tiré.

Ladite cagnotte, fermée depuis le 4 juillet, a connu un succès éloquent.

La famille de « Nahel » ayant porté plainte contre Messiha pour … « escroquerie en bande organisée », le polémiste a répondu via un tweet lui aussi polémique et visionné … plus d’1,8 million de fois.

À ce niveau du … « débat », eh bien TJ ne voudrait pas que ses lecteurs, demain, au cours du déjeuner dominical ce soir en clôture de shabbat, aient le sentiment de n’avoir pas suivi … l’actu.

Cher lecteur, Sache encore que c’est bien Maître Yassine Bouzrou qui défendra les proches de « Nahel », le ténor impliqué dans des procès tels celui du Gang des barbares ou du dossier Tariq Ramadan, et demain dans « l’affaire Alain Delon-Hiromi Rollin », ce qui légitimera le titre de l’entretien accordé ce jour au « Parisien »: « Il refuse d’être ‘l’avocat des violences policières' ».

Sarah Cattan

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